@Sarah Bocelli : "copine" de dégoût, moi non plus les escargots ça passe pas (et dans le poitou, les "cagouilles sauce luma" comme on dit, c'est impossible de passer à côté), les huîtres c'est niet, et l'aubergine, un cauchemar (au point que quand ma maman fait de la ratatouille quand je suis chez elle, j'ai droit à ma popote perso dans ma petite casserole, sans aubergine, et pareil, les jours de moussaka j'ai mon hachi parmentier rien que pour moi ^^).
D'ailleurs, tout ce qui ressemble à un escargot (donc les bulots, s'pareil), je ne peux pas.
mes autres phobies culinaires, le tout "grâce" à mon collège et à sa cantine terrible à base de peinture du plafond qui s'écaille et tombe dans les plats, de légumes froids, de viande trop cuite et à peine tiède, et d'entrées variées et avariées à base de moucherons et de perces-oreilles, sont :
- les choux de Bruxelles. Non, définitivement non. Je ne sais toujours pas dire ce qui me dégoûte le plus entre le goût et l'odeur, mais non.
- les tripes. Mon frère en raffole. De fait, ma mère ne lui en achète que les midis où elle ne rentre pas manger. Et je devais me préparer à manger plus tôt pour éviter l'odeur de la cuisine nauséabonde ces jours-là quand je vivais encore chez mes parents. Une horreur. Même combat pour les andouilles et andouillettes. J'adore les rognons et le foie, mais les tripes, non, pas possible.
- l'artichaut. Ma mère dit que c'est délicieux. Rien que l'odeur de cuisson je n'ai déjà plus faim.
- salsifi, céléri, navet, épinard, avocat, même combat, ça ne passe pas. Et bien souvent, c'est le mix aspect-odeur qui me rebute avant le goût (qui n'arrange rien). Régulièrement j'essaye, mais non. Ya bien que l'épinard quand c'est en tarte avec du chèvre (beaucoup de chèvre ^^). Et encore.
- la "soupe au gras" de mes parents : à chaque fois qu'on mange de la volaille, ça n'y coupe pas, la carcasse finit dans la soupe ... enfin la soupe ... pour moi, soupe = légumes, pas juste du bouillon gras quoi ...
- le pain mou de la veille tartiné de margarine. Souvenir douloureux d'enfance chez feue ma nounou. Je l'adorait, cette dame, sauf le matin quand on devait prendre le petit déj chez elle et que je devais tremper cette immonde tartine dans mon lait au chocolat, à une époque où je déjeunais de céréales ...
- le farci poitevin / charentais : là je fais honte à ma région, et c'est d'ailleurs assez étrange puisque, à part les épinards, j'aime à peu près tous les ingrédients du farci. Mais tout mélangé, ça ne passe vraiment, mais alors vraiment pas. Mon chéri adore, ça rattrape le coup
- tout ce qui est à base de curry (sauf le mélange tandoori, le seul assez léger pour que ça passe). De fait, je boude la cuisine indienne. mais là c'est pas qu'une question de goût, mon système digestif non plus n'apprécie pas des masses en fait ^^
Paraît que petite j'adorais la cervelle, mais depuis que j'ai du disséquer des bestioles en svt, j'sais pas pourquoi, ça ne me dit trop rien
).
. J'avais 4 ou 5 ans à l'époque et je n'ai retouché une fraise du bout des dents qu'à l'âge de 16-17 ans.
si t'aimes pas les escargots cuits, essaie d'en lecher un VIVANT. A ma decharge, quand j'avais 7 ans, et je savais pas que ca se cuisait AVANT de les manger !
).
Mais au four, parce que cette "cargolade", c'est assez barbare en effet...
), les tout petits poivrons que j'ai acheté
