Moi, ce n'est pas des douleurs physiques que je dois mater pendant mes règles, mais l'influence de mes hormones sur mon moral.
Une semaine avant le début des festivités, si j'ai une contrariété, un stress, une mauvaise nouvelle : JE SUIS AU FOND DU TROU !
Ce petites p**** d'hormones me fichent le moral à zéro.
Si tout va bien, ça passe, si ça ne va pas bien, ça ne va vraiment vraiment pas bien.
Du coup, maintenant que je le sais, quand je vois que je déprime sévère, je regarde mon agenda et je relativise en me disant "ah mais oui, p*****, c'est ces traîtresses d'hormones ! OK on respire un coup et on fait autre chose, on sort de ce cercle infernal dépressif".
Alors tout ne passe pas, hein ! Ce n'est pas miraculeux, ça n'empêche pas par exemple de me prendre des refus pour des candidatures, mais ça aide.