@Plume* si ça ne te paraît pas insurmontable, (Edit : je vois qu'en fait ça te branche pas, mais bon je laisse mon message...) tu peux te lancer dans une observation de tes cycles : température et glaire cervicale. Cela te permet d'être sûre qu'il y a ovulation et quand elle a lieu : d'autre part il apparaît que les cycles se régularisent lorsqu'on les observe... (oui je sais c'est dingue)
C'est gratuit et non invasif,
Ça demande juste un peu d'attention, et si tu ne souhaites pas "viser" l'ovulation pour les câlins, la température suffit pour te montrer après coup que l'ovulation a eu lieu.
Tu peux consulter aussi bien sûr, mais si je ne me trompe pas vous êtes en essai depuis peu, et moi avec un an et demi d'essais et deux fausses-couches à mon actif, je n'ai pas encore droit au check up, donc tu risques d'être gentiment invitée à essayer encore avant de revenir les voir...
Faire une courbe de température permet aussi de vérifier si la phase lutéale est correcte, en plus de confirmer que les cycles sont ovulatoires : c'est aussi pour ça que certains praticiens demandent qu'on en fasse sur quelques cycles, c'est un premier bilan de fertilité...
(Ça permet également, une fois qu'on sait quand a eu lieu l'ovulation, de savoir si un retard est un retard, ou juste un cycle long, et donc de savoir si ça vaut le coup de faire un test de grossesse ou pas...)
Je conseille la lecture de ce guide :
La symptothermie complète (gratuit)
Même si on décide de ne jamais prendre sa température, je trouve que c'est passionnant et un bon basique de culture générale sur la fertilité féminine...
.
Et au sujet de "sentir" des changements au cours de son cycle (poke
@Dragize et
@Angy_who), c'est clair que sous contraception hormonale y'en avait pas, c'était linéaire pour moi, mais depuis que j'ai arrêté (pour tenter de faire un bébé), je découvre plein de choses ! Une belle énergie en début de cycle, de l'enthousiasme, et puis de la libido, le sentiment d'être carrément sexy autour de l'ovulation, des SPM ensuite... moi qui ai commencé la pilule à l'adolescence alors que mes cycles étaient pas encore réguliers, autant dire que je me découvre...
J'espère ne blesser personne 
Je t'avoue que ça me remue un peu de m'imaginer en PMA.. 
c'est bête, je ne suis pas du tout contre, j'avais simplement un autre idéal en tête pour ma grossesse, je voulais que ce soit quelque chose de positif et d'intime, quelque chose de ma vie pour une fois sans angoisse. Je ne m'imagine déjà pas du tout prendre ma température tous les matins, contrôler ma glaire (
) ni faire des tests d'ovulation, alors encore moins tout le reste.
), et je sais bien qu'il va falloir que je prenne mon courage à deux mains pour prendre RDV quelque part... 
en prime.
(c'est mon rêve en tout cas d'où la licorne)
Et c'est carrément impressionnant à quel point c'est impérieux
sauf qu'en ce moment le traitement semble avoir eu raison de ma libido moins cool pour lui, pourtant je suis gavée de progestérone et d'oestrogènes mais ces hormones ont plutôt foutu la libido à la porte. Remarquez sexer alors que l'Utrogestant dégouline ça donne pas envie et c'est 3 fois par jour l'utrogestant (mon grand pote qui pourrie mes fond de culottes, m'enfin c'est pour la bonne cause 
)
