J'suis pour ainsi dire, une accro totale aux magazines féminins. Grazia, Glamour, Cosmo & Cie n'ont aucun secret pour moi. (L'anecdote de l'histoire c'est que j'ai toujours eu un look de garçon manqué au grand désarroi de mes petits copains. Mais là n'est pas le propos, enfin pas tout à fait.)
Ce que je voulais dire, c'est que je suis absolument sidérée à chacune de mes lectures, de lire tout un tas de "conseils" concernant la mode, la beauté, voire même notre comportement, censés faire de nous des femmes attirantes, brillantes, drôles, sexy... des femmes absolument parfaites quoi. C'est sans doute cet aspect impératif qui me dérange le plus, à croire qu'on ne sera jamais une personne saine et épanouie, si par malheur on ose ne pas se soumettre à l'ordre établi, mais établi par qui au juste ? Et surtout pourquoi d'ailleurs ?
Mais le plus incroyable dans tout ça, c'est qu'il y a effectivement des femmes qui se plient totalement à ce genre d'articles, et qui au final, ne sachant plus à quel sein se vouer, finissent par se défaire complètement de leur individualité pour devenir une horde de sosies sans âme. Qui s'habillent pareil, se coiffent pareil, partagent les même centre d’intérêts, qui vont jusqu’à PENSER pareil.
Et là ce n'est plus les magazines féminins que je blâme, la preuve j'en achète toujours, mais ces filles-là.
WHERE IS YOUR MIND BORDEL ?
J'ose croire que la gente féminine à encore gardé tout son esprit à l'aube du XXIème siècle, que nous sommes encore capable de penser par nous-même.
Faisons la part des choses, ayons un peu de recul, d'estime de soi, de jugeote, d'esprit critique.
J'aime les magazines féminines, parce qu'ils m'apportent une dose de frivolité que j'affectionne particulièrement, parce qu'ils me font rire parfois, parce que je trouve par-ci, par-là, quelques idées sympa de fringues à acheter ce qui m'évite de rester plantée 2 heures comme une vache dans les rayons de H&M, parce que "ah bah tiens, c'est vrai qu'un rouge à lèvre ça passe aussi très bien avec un t-shirt et un jean"... Et j'en passe.
Donc, j'ai envie de dire que...
Ralfette, j'ai aimé ton post, mais ce genre de diatribe de m'émeut plus. Parce que c'est un peu nous prendre pour des pauvres créatures écervelées, au même titre que cette fameuse presse féminine.
Ce que je voulais dire, c'est que je suis absolument sidérée à chacune de mes lectures, de lire tout un tas de "conseils" concernant la mode, la beauté, voire même notre comportement, censés faire de nous des femmes attirantes, brillantes, drôles, sexy... des femmes absolument parfaites quoi. C'est sans doute cet aspect impératif qui me dérange le plus, à croire qu'on ne sera jamais une personne saine et épanouie, si par malheur on ose ne pas se soumettre à l'ordre établi, mais établi par qui au juste ? Et surtout pourquoi d'ailleurs ?
Mais le plus incroyable dans tout ça, c'est qu'il y a effectivement des femmes qui se plient totalement à ce genre d'articles, et qui au final, ne sachant plus à quel sein se vouer, finissent par se défaire complètement de leur individualité pour devenir une horde de sosies sans âme. Qui s'habillent pareil, se coiffent pareil, partagent les même centre d’intérêts, qui vont jusqu’à PENSER pareil.
Et là ce n'est plus les magazines féminins que je blâme, la preuve j'en achète toujours, mais ces filles-là.
WHERE IS YOUR MIND BORDEL ?
J'ose croire que la gente féminine à encore gardé tout son esprit à l'aube du XXIème siècle, que nous sommes encore capable de penser par nous-même.
Faisons la part des choses, ayons un peu de recul, d'estime de soi, de jugeote, d'esprit critique.
J'aime les magazines féminines, parce qu'ils m'apportent une dose de frivolité que j'affectionne particulièrement, parce qu'ils me font rire parfois, parce que je trouve par-ci, par-là, quelques idées sympa de fringues à acheter ce qui m'évite de rester plantée 2 heures comme une vache dans les rayons de H&M, parce que "ah bah tiens, c'est vrai qu'un rouge à lèvre ça passe aussi très bien avec un t-shirt et un jean"... Et j'en passe.
Donc, j'ai envie de dire que...
Ralfette, j'ai aimé ton post, mais ce genre de diatribe de m'émeut plus. Parce que c'est un peu nous prendre pour des pauvres créatures écervelées, au même titre que cette fameuse presse féminine.