Hé bien écoute, non, c'est pas aussi simple. VDM, c'est VDM et madmoiZelle, c'est madmoiZelle. Bizarrement (non), c'est plus simple de vendre VDM que de vendre un Dico pas con pour les filles.
La preuve : quand on a eu cette idée, j'ai proposé le projet à quelques éditeurs que je connaissais, ça n'a pas pris.
En revanche, avec le succès du cahier de vacances (je sais pas si tu as suivi), d'un coup, j'ai un éditeur de l'ampleur d'Albin Michel qui m'écoute désormais. Et devine qui lui a ressorti l'idée du Dico ? (mais encore une fois, je remarque que vous préférez d'abord cogner plutôt qu'interroger, c'est fatiguant ces procès d'intention)
Mais un peu comme tous ces Français qui se prennent pour le sélectionneur de l'équipe de France, j'ai parfois l'impression que vous avez une idée très claire de ce qu'il faudrait faire pour faire tourner madmoiZelle. Mais bon, entre avoir des idées, et les réaliser, voire même les rendre profitables sur une période de 12 ans, croyez-moi, il y a UN MONDE (et deux-trois heures de boulot)
(ceci dit, je suis toujours très preneur d'idées, mais juste : faites-moi confiance pour finir au bout de tout ce temps par savoir dans quel ordre les réaliser, je pense avoir fait 2-3 preuves sur le sujet)Typiquement, cette histoire de Petite Roberte, c'est le genre d'idées qui se travaille dans le temps, tranquillement, sans s'énerver, étape après étape, succès après succès. Ça prend du temps, il suffit pas de juste décider que comme c'est une bonne idée, on va trouver immédiatement des gens qui vont nous suivre, c'est un tantinet plus compliqué que ça
Ceci dit, je te rassure : autant la box peut devenir un business rentable et intéressant dans le temps pour madmoiZelle, autant le Dico (et l'édition en général), c'est une autre paire de manches pour commencer à gagner plutôt bien sa vie
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