Oui, je suis d'accord, on le vit tous différemment, j'essayais simplement de montrer que peut-être ce n'était pas si grave, pas pour me montrer méchante ou l'enfoncer, au contraire, mais en soutien. J'ai essayé de caler deux smileys pour justement montrer que j'étais dans une optique bienveillante, mais par écrit c'est plus difficile =)
Juste, par rapport à la madz qui a dit que comme y'avait des gens qui avaient les pires maux en afrique, la madz de l'article ferait un peu mieux de la fermer (et un peu tous les coms du même acabit); j'ai lu les coms qui font un peu machine arrière mais je voudrais enfoncer le clou.
Je trouve aussi cet article un peu chelou parfois, un peu dramatique parfois, un peu "17ans" en qque sorte, MAIS "la cheville cassée de ton voisin ne t'empêche pas de souffrir de ta cheville foulée".
Si la madz-auteure dit souffrir de sa transpiration excessive, elle en souffre. On a pas le droit de lui dire de relativiser par rapport à la souffrance des autres; par rapport à toutes les autres facettes de sa vie qui vont bien, peut-être, ça pourrait lui faire du bien. Mais la souffrance n'est pas rationnelle, faut s'en rappeler. Les échelles de souffrance, c'est de la connerie (à mon sens), il ne faut surtout pas les confondre avec la décence.
Mon frère ainé est handicapé moteur lourd suite à un accident et souffre pas mal; si je me casse un bras, je vais pas me plaindre devant lui, mais je ne m'auto-flagellerai pas en pensant qu'il y'a pire, ce serait invivable.
Soyons un peu bienveillantes les madz. c'est pas compliqué et ça fait du bien à tout le monde.
Je trouve aussi cet article un peu chelou parfois, un peu dramatique parfois, un peu "17ans" en qque sorte, MAIS "la cheville cassée de ton voisin ne t'empêche pas de souffrir de ta cheville foulée".
Si la madz-auteure dit souffrir de sa transpiration excessive, elle en souffre. On a pas le droit de lui dire de relativiser par rapport à la souffrance des autres; par rapport à toutes les autres facettes de sa vie qui vont bien, peut-être, ça pourrait lui faire du bien. Mais la souffrance n'est pas rationnelle, faut s'en rappeler. Les échelles de souffrance, c'est de la connerie (à mon sens), il ne faut surtout pas les confondre avec la décence.
Mon frère ainé est handicapé moteur lourd suite à un accident et souffre pas mal; si je me casse un bras, je vais pas me plaindre devant lui, mais je ne m'auto-flagellerai pas en pensant qu'il y'a pire, ce serait invivable.
Soyons un peu bienveillantes les madz. c'est pas compliqué et ça fait du bien à tout le monde.
J'ai consulté deux kinésiologues différentes à plusieurs reprises ces dernières années, pour des problèmes d'ordre psy. Jamais je ne me suis retrouvée face à une personne qui prônait de manière plus ou moins radicale la rupture avec des habitudes de vie jugées néfastes, au profit de choix naturels et authentiques comme l’alimentation biologique, les médecines douces, les thérapies non médicamenteuses ou encore l’écologie. Jamais jamais. Et non seulement ça ne m' a fait aucun tort mais ça m'a délivrée de pleins de peurs et de blocages qui me pourrissaient la vie. Evidemment, je me suis un peu renseignée d'abord et je ne suis pas allée voir le premier charlatan venu se prétendant kinésiologue.
Je ne pense pas que la kinésiologie soit plus (ou moins) dangereuse que la psychanalyse par exemple, pour laquelle par contre n'existe aucune mise en garde. Et pourtant n'importe quelle personne pour peu qu'elle ait suivi une psychanalyse peut se revendiquer psychanalyste, aucun diplôme validé par l'état n'étant nécessaire.
Je crois à 100% à ces questions d'énergie et je suis absolument convaincue qu'on ne peut pas dissocier comme le fait la médecine occidentale corps et esprit. Les médecines non-occidentales et/ou parallèles ne peuvent pas tout guérir mais jusqu'à preuve du contraire la médecine occidentale non plus. Et quand on voit les dangereux effets secondaires de nombreux médicaments et traitements, je pense qu'on a tout a fait le droit (et le devoir) de se montrer également méfiant envers elle. Et ce d'autant plus lorsqu'on connait la puissance de l'industrie pharmaceutiques et de leur lobbys.
Je ne pense pas que la kinésiologie soit plus (ou moins) dangereuse que la psychanalyse par exemple, pour laquelle par contre n'existe aucune mise en garde. Et pourtant n'importe quelle personne pour peu qu'elle ait suivi une psychanalyse peut se revendiquer psychanalyste, aucun diplôme validé par l'état n'étant nécessaire.
Je crois à 100% à ces questions d'énergie et je suis absolument convaincue qu'on ne peut pas dissocier comme le fait la médecine occidentale corps et esprit. Les médecines non-occidentales et/ou parallèles ne peuvent pas tout guérir mais jusqu'à preuve du contraire la médecine occidentale non plus. Et quand on voit les dangereux effets secondaires de nombreux médicaments et traitements, je pense qu'on a tout a fait le droit (et le devoir) de se montrer également méfiant envers elle. Et ce d'autant plus lorsqu'on connait la puissance de l'industrie pharmaceutiques et de leur lobbys.
J'ai lu une bonne partie des commentaires et la plupart me déçoivent énormément. En effet, pour la plupart, vous portez un réel jugement négatif sur le ressenti de l'auteure vis-à-vis de cette gêne sous prétexte que vous, vous ne le ressentez pas comme ça (pour celles concernées par l'hyperhidrose). Mais chacune a son propre caractère. Moi-même je suis ultra concernée par ce sujet puisque je souffre depuis longtemps d'une transpiration vraiment, vraiment, VRAIMENT excessive et je considère réellement que ça m'handicape. Bien sûr que ce n'est pas un handicap gravissime, peut-être je suis un peu drama queen mais moi, ça me gêne vraiment dans mon quotidien : tenir la main de mon copain (même si j'ai de la chance de l'avoir lui car lui ne me juge pas), écrire en cours et voir ta feuille gondoler au fur et à mesure, sortir et être mega gênée quand quelqu'un te prend la main pour danser, etc.
Bref, arrêtez de critiquer, de porter des jugements parce qu'en fait le réel problème avec l'hyperhidrose c'est le jugement que portent les gens là-dessus donc ne nous jugeons pas entre nous quoi
Bref, arrêtez de critiquer, de porter des jugements parce qu'en fait le réel problème avec l'hyperhidrose c'est le jugement que portent les gens là-dessus donc ne nous jugeons pas entre nous quoi
Je suis "choqué" par certains commentaires, vraiment. Avoir un peu d'empathie c'est pas en option des fois.
Ok y'a pire dans le monde, c'est pas pour autant que ça veut dire qu'il faut ravaler ses problemes, toujours etre positif, etre happy 7j/7. On a tous des problemes, des complexes, tout ça. On a pas le droit de dire a une personnes oui y'a des gens qui souffre en afrique, y'en a qu'on des maladies mortelles, etc. Si une personne souffre, peu importe son soucis, elle souffre. Point barre. Ce n'est pas parce qu'elle n'est pas mourante ou autre qu'elle doit toujours relativiser et se dire qu'il y a pire. Chaque personne a un vécu, et a sa façon de voir les choses et de doser ses problemes, et de peut etre souffrir pour des choses qui nous paraissent ridicules. Il est où le soucis quoi ?
Je suis certaines que vous vous etes deja énervé dans votre vie avec une personne (ou toute seule) pour pas grand chose, alors que meme si t'es énervé tu pourrais te dire qu'il y a pire comme sujet dans la vie sur lesquels tu devrais t'énerver, au lieu d'un truc stupide, donc ça revient au meme. Est-ce que tu pense au monde autour de toi et au soucis dans les autres pays quand t'es énervé ? Je crois pas, tu réagis sur le coup la plupart du temps. Donc les leçons de morales ça va 5 minutes, car ont est toute a faire des paquets pour pas grand chose. Et si c'était pas le cas, a l'heure qu'il est on vivrait dans un monde de bisounours j'ai envie de dire.
Perso je transpire beaucoup, des mains, des pieds, encore ça ça passe. Mais je transpire énormement des aisselles, et entre les seins, dans le dos aussi. Si il fait chaud et si en plus je suis stressé, là c'est l’apothéose. J'en ai complexé pendant très longtemps, j'en ai meme pleuré, car en plus d'etre peut etre un dégout pour d'autres personnes, c'est aussi HYPER inconfortable d'etre mouillé dans ses vetements quoi. Et non ce n'est pas parce qu'il y a plus grave sur Terre que je réagirais autrement et que j'aurais renfermé ma douleur, et encaisser et encaisser au point d'exploser. Y'a des personnes qu'on besoin d'extérioriser aussi, garder tout pour soi et relativiser pour moi c'est vraiment pas bon, et ça t'enfonce encore plus dans tes problemes. Si t'as envie de pleurer, pleure, si t'as envie de crier, cris, j'ai envie de dire, si tu souffre bah souffre. Ca fait aussi parti de l'une des étapes pour pouvoir etre apte de passer a autre choses plus tard, quand tu te sentira prete. Puis j'ai envie de dire, si tu connais pas la souffrance dans la vie, si a chaque fois tu la refoule, meme pour un truc ridicule sous prétexte qu'il y a pire, tu finirais par devenir vide d'émotion, de sentiments (c'est peut etre le cas de certaines ici d'ailleurs) mais le jour où il se passera vraiment quelque chose de grave, j'ai pas envie de voir les dégats que ça vous ferait.
Ok y'a pire dans le monde, c'est pas pour autant que ça veut dire qu'il faut ravaler ses problemes, toujours etre positif, etre happy 7j/7. On a tous des problemes, des complexes, tout ça. On a pas le droit de dire a une personnes oui y'a des gens qui souffre en afrique, y'en a qu'on des maladies mortelles, etc. Si une personne souffre, peu importe son soucis, elle souffre. Point barre. Ce n'est pas parce qu'elle n'est pas mourante ou autre qu'elle doit toujours relativiser et se dire qu'il y a pire. Chaque personne a un vécu, et a sa façon de voir les choses et de doser ses problemes, et de peut etre souffrir pour des choses qui nous paraissent ridicules. Il est où le soucis quoi ?
Je suis certaines que vous vous etes deja énervé dans votre vie avec une personne (ou toute seule) pour pas grand chose, alors que meme si t'es énervé tu pourrais te dire qu'il y a pire comme sujet dans la vie sur lesquels tu devrais t'énerver, au lieu d'un truc stupide, donc ça revient au meme. Est-ce que tu pense au monde autour de toi et au soucis dans les autres pays quand t'es énervé ? Je crois pas, tu réagis sur le coup la plupart du temps. Donc les leçons de morales ça va 5 minutes, car ont est toute a faire des paquets pour pas grand chose. Et si c'était pas le cas, a l'heure qu'il est on vivrait dans un monde de bisounours j'ai envie de dire.
Perso je transpire beaucoup, des mains, des pieds, encore ça ça passe. Mais je transpire énormement des aisselles, et entre les seins, dans le dos aussi. Si il fait chaud et si en plus je suis stressé, là c'est l’apothéose. J'en ai complexé pendant très longtemps, j'en ai meme pleuré, car en plus d'etre peut etre un dégout pour d'autres personnes, c'est aussi HYPER inconfortable d'etre mouillé dans ses vetements quoi. Et non ce n'est pas parce qu'il y a plus grave sur Terre que je réagirais autrement et que j'aurais renfermé ma douleur, et encaisser et encaisser au point d'exploser. Y'a des personnes qu'on besoin d'extérioriser aussi, garder tout pour soi et relativiser pour moi c'est vraiment pas bon, et ça t'enfonce encore plus dans tes problemes. Si t'as envie de pleurer, pleure, si t'as envie de crier, cris, j'ai envie de dire, si tu souffre bah souffre. Ca fait aussi parti de l'une des étapes pour pouvoir etre apte de passer a autre choses plus tard, quand tu te sentira prete. Puis j'ai envie de dire, si tu connais pas la souffrance dans la vie, si a chaque fois tu la refoule, meme pour un truc ridicule sous prétexte qu'il y a pire, tu finirais par devenir vide d'émotion, de sentiments (c'est peut etre le cas de certaines ici d'ailleurs) mais le jour où il se passera vraiment quelque chose de grave, j'ai pas envie de voir les dégats que ça vous ferait.
Après je pense que ta gêne passera avec le temps, et assez vite. Moi-même j'ai 21 ans et c'est dingue le nombre de trucs qui me gênaient, me complexaient ou m'angoissaient quand j'avais 17 ans et dont je me contrefiche maintenant! Par exemple, j'ai une poitrine assez disproportionnée par rapport à mon buste. A l'époque, j'en faisait une maladie, je portait exclusivement des sweats trop larges, je courbais le dos en permanence, je pleurais le soir et tapais des crises d'hystérie dans les boutiques de lingerie... Maintenant ça va, même si ça fait toujours chier d'avoir le dos en miettes et de mettre presque 100 boules dans chacun de mes soutifs. Tu verras, ça ira mieux, d'autant que tu a pris l'initiative de te soigner et ça c'est cool!
Par contre, détail: il est dit dans les dérives sectaires de la kinésiologie que des gens avaient adopté un régime végétalien jugé dangereux pour la santé et que leur bébé en était mort car mal nourri car allaité par une mère carencée... C'était pas un régime que végétalien si? Je ne suis pas vegan moi-même mais une madz, appuyée par d'autres, avait témoigné qu'elle était végétalienne et en parfaite santé.
Par contre, détail: il est dit dans les dérives sectaires de la kinésiologie que des gens avaient adopté un régime végétalien jugé dangereux pour la santé et que leur bébé en était mort car mal nourri car allaité par une mère carencée... C'était pas un régime que végétalien si? Je ne suis pas vegan moi-même mais une madz, appuyée par d'autres, avait témoigné qu'elle était végétalienne et en parfaite santé.
Dernière édition :
Je rejoins @Enirac et @marine77 sur leur opinion concernant certains commentaires.
Sérieux, vous êtes qui pour dire à une personne que son problème n'en est pas un ?
Dites-moi une chose qui pour vous est un problème, et je vais m'ingénier à tourner ça en ridicule ou à le banaliser, on verra votre réaction.
Non mais sérieux, j'suis toute énervée là.
Un problème est un problème lorsqu'il est défini en tant que problème.
Si pour vous transpirer excessivement c'est pas un problème, ben tant mieux pour vous j'ai envie de dire !
Il se trouve que c'est pas le cas de cette madz pour qui sa maladie la handicape dans sa vie de tous les jours. Je trouve en plus sa démarche d'aller explorer en elle l'origine de cette maladie très courageuse (mais ce n'est que mon avis), elle peut être fière d'elle-même. Elle se donne les moyens (parfois douloureux) de comprendre d'où vient son PROBLEME, et juste pour ça j'ai envie de lui dire fonce ma belle, tu te fais un beau cadeau
Petit rappel d'une madz énervée : faites appel à votre empathie de temps en temps. Si vous êtes irritée à la seule lecture d'une madz désemparée qui ose verbaliser ses problèmes et ce qu'elle ressent, allez donc voir quel rapport vous avez à votre corps et à vos émotions
Pour finir, je voulais juste donner deux pistes à cette madz :
- Je sais pas si tu connais la métamédecine, c'est une discipline qui se rapproche pas mal de la kinésiologie.
- Ensuite, il existe une médecine indienne, l'ayurvéda (wikipédia) qui décrit différents types de constitutions physiques avec leur particularités, et il existe un type en particulier qui a tendance à pas mal transpirer ! N'hésites pas à me MP si tu as des questions.
J'espère que tu trouveras la solution à ton problème chère madz, courage !
Sérieux, vous êtes qui pour dire à une personne que son problème n'en est pas un ?
Dites-moi une chose qui pour vous est un problème, et je vais m'ingénier à tourner ça en ridicule ou à le banaliser, on verra votre réaction.
Non mais sérieux, j'suis toute énervée là.
Un problème est un problème lorsqu'il est défini en tant que problème.
Si pour vous transpirer excessivement c'est pas un problème, ben tant mieux pour vous j'ai envie de dire !
Il se trouve que c'est pas le cas de cette madz pour qui sa maladie la handicape dans sa vie de tous les jours. Je trouve en plus sa démarche d'aller explorer en elle l'origine de cette maladie très courageuse (mais ce n'est que mon avis), elle peut être fière d'elle-même. Elle se donne les moyens (parfois douloureux) de comprendre d'où vient son PROBLEME, et juste pour ça j'ai envie de lui dire fonce ma belle, tu te fais un beau cadeau
Petit rappel d'une madz énervée : faites appel à votre empathie de temps en temps. Si vous êtes irritée à la seule lecture d'une madz désemparée qui ose verbaliser ses problèmes et ce qu'elle ressent, allez donc voir quel rapport vous avez à votre corps et à vos émotions
Pour finir, je voulais juste donner deux pistes à cette madz :
- Je sais pas si tu connais la métamédecine, c'est une discipline qui se rapproche pas mal de la kinésiologie.
- Ensuite, il existe une médecine indienne, l'ayurvéda (wikipédia) qui décrit différents types de constitutions physiques avec leur particularités, et il existe un type en particulier qui a tendance à pas mal transpirer ! N'hésites pas à me MP si tu as des questions.
J'espère que tu trouveras la solution à ton problème chère madz, courage !
Je transpire énormément des mains et des pieds depuis mon adolescence. Ça arrive sans raison mais c'est fortement accentué quand je stresse ou lorsqu'il fait chaud. Vous pensez bien, j'ai eu droit aux réflexions du genre "ah, l'escargot !", d'autant plus que parfois mes mains gouttent littéralement ahah. Mais je n'en ai jamais vraiment souffert, j'ai décidé de m'en ficher royalement.
Alors c'est sûr, c'est un peu chiant quand on doit serrer la main d'un médecin ou à l'occasion d'un entretien d'embauche mais j'ai compris que plus j'y pensais, plus j'essayais de le dissimuler ou de sécher mes mains, pire c'était. Du coup, j'ai arrêté de m'en préoccuper et je passe juste les mains sur le jean avant de quitter la salle d'attente histoire de limiter la moiteur.
En ce moment, j'apprends à conduire, imaginez l'horreur sur le volant. Parfois, j'informe le moniteur, comme ça je suis détendue pour le reste de l'heure, je sais que je n'aurai pas à essayer de cacher mon petit souci.
Pour les pieds, c'est très compliqué l'été, il me faut trouver des chaussures qui ne glissent pas. Je choisis donc une semelle en cuir : même si la paire est fichue à la fin de l'été, c'est beaucoup plus confortable pour marcher !
Mon témoignage n'a pas pour but de dédramatiser la situation, manifestement cette madz en souffre et je ne le nie pas du tout. Je souhaitais simplement partager mes petites astuces pour faire face au problème. Personnellement, ma mère était exactement comme moi au même âge et ça s'est atténué avec le temps pour finalement complètement disparaître.
Je pense aussi que l'hyperhidrose est généralement purement psychologique, du moins ça l'est dans mon cas, je suis persuadée que c'est dû à mon émotivité. En tout cas, je trouve dommage de s'empêcher de vivre à cause de ça, non pas parce que c'est dérisoire (ça ne l'est pas) mais plutôt parce que l'on peut tout à fait vivre avec en adaptant ses vêtements ou en informant son entourage, d'autant plus qu'on n'a pas trop le choix étant donné l'absence totale de traitement digne de ce nom !
Alors c'est sûr, c'est un peu chiant quand on doit serrer la main d'un médecin ou à l'occasion d'un entretien d'embauche mais j'ai compris que plus j'y pensais, plus j'essayais de le dissimuler ou de sécher mes mains, pire c'était. Du coup, j'ai arrêté de m'en préoccuper et je passe juste les mains sur le jean avant de quitter la salle d'attente histoire de limiter la moiteur.
En ce moment, j'apprends à conduire, imaginez l'horreur sur le volant. Parfois, j'informe le moniteur, comme ça je suis détendue pour le reste de l'heure, je sais que je n'aurai pas à essayer de cacher mon petit souci.
Pour les pieds, c'est très compliqué l'été, il me faut trouver des chaussures qui ne glissent pas. Je choisis donc une semelle en cuir : même si la paire est fichue à la fin de l'été, c'est beaucoup plus confortable pour marcher !
Mon témoignage n'a pas pour but de dédramatiser la situation, manifestement cette madz en souffre et je ne le nie pas du tout. Je souhaitais simplement partager mes petites astuces pour faire face au problème. Personnellement, ma mère était exactement comme moi au même âge et ça s'est atténué avec le temps pour finalement complètement disparaître.
Je pense aussi que l'hyperhidrose est généralement purement psychologique, du moins ça l'est dans mon cas, je suis persuadée que c'est dû à mon émotivité. En tout cas, je trouve dommage de s'empêcher de vivre à cause de ça, non pas parce que c'est dérisoire (ça ne l'est pas) mais plutôt parce que l'on peut tout à fait vivre avec en adaptant ses vêtements ou en informant son entourage, d'autant plus qu'on n'a pas trop le choix étant donné l'absence totale de traitement digne de ce nom !
@lynnariesty @mathiglowps Comme l'ont très justement dit @zoubipass @enirac @marine77 ... gardons de la bienveillance pour les auteurs de témoignages, surtout quand dans un cas comme celui-ci, la Mad parle d'un complexe qui la gêne énormément. Elle a fait un effort pour se confier donc évitons de juger ! Comme ç'a été dit précédemment on ne peut pas vraiment évaluer une souffrance qui n'est pas la nôtre. 
Merci de ne pas minimiser le problème que ça représente pour elle, c'est une question de respect.
Pour plus de détails je vous demande de lire notre charte, et plus spécifiquement la partie attribuée aux témoignages :
Être bienveillante avec les témoignages :
N’oublie pas que les auteur-e-s des témoignages ne sont pas des professionnels. Pour la plupart, ils/elles n’ont jamais écrit et partagent simplement quelque chose de personnel, que ce soit un ressenti ou une expérience. Ils/elles ont fait un vrai effort pour se confier, donc évite de les juger ou de les rabaisser gratuitement. On est là pour discuter et aboutir à quelque chose de constructif pour tout le monde, donne ton avis même s’il va à l’encontre de ce qui est dit, mais sans être insultante.
Merci de ne pas minimiser le problème que ça représente pour elle, c'est une question de respect.Pour plus de détails je vous demande de lire notre charte, et plus spécifiquement la partie attribuée aux témoignages :
Être bienveillante avec les témoignages :
N’oublie pas que les auteur-e-s des témoignages ne sont pas des professionnels. Pour la plupart, ils/elles n’ont jamais écrit et partagent simplement quelque chose de personnel, que ce soit un ressenti ou une expérience. Ils/elles ont fait un vrai effort pour se confier, donc évite de les juger ou de les rabaisser gratuitement. On est là pour discuter et aboutir à quelque chose de constructif pour tout le monde, donne ton avis même s’il va à l’encontre de ce qui est dit, mais sans être insultante.
Dernière édition :
chère Madz, je n'ai pas la solution miracle a ton problème même si j'aimerais beaucoup mais une petite astuce dont je me sers quand je sais que je vais devoir serrer les mains des gens et ce genre de choses =) , j'ai toujours eu les mains assez moites et le gel antibactérien me les assèche pendant 1 petit moment quand j'en mets , a essayer, on ne sait jamais
Témoignage intéressant, merci à l'auteure, parce je retrouve totalement dans cet article, ou plutôt mon moi d'il y a quelques années. J'ai 18 ans, j'ai découvert par moi même cette hyperhidrose en cherchant sur doctissimo, et je m'en suis sortie seule.
Tout commence quand j'ai 13-14 ans, la puberté qui commence, alors qu'en plus je change d'école. Je suis terriblement mal à l'aise dans ma peau, les premiers jours je me souviens avoir essayer de me fabriquer une image auprès de mes camarades, je ne me ressemble pas. Je finis par me faire des amies, je tombe éperdument amoureuse d'un petit idiot qui ne me regarde pas, je me cache dans des fringues bizarres et passe mon temps à admirer les filles cools qui s'habillent en marque. Bref, la quatrième. Je remarque rapidement qu'à 8h30 du matin à peine, je porte de superbes auréoles et ne peut décoller les bras de la journée. Cette transpiration me pourrit la vie. Je me souviens les heures où je restais paralysée sur ma chaise, sentant mes aisselles s'humidifier petit à petit, mes fesses aussi, mes paumes. Les madmoizelles qui ne pensent que ce n'est pas "si" grave, essayez de faire l'arbre droit devant trente personnes alors que vous avez l'équivalent de la carte de France sous chaque bras.
C'était un cercle vicieux. J'étais angoissée en permanence, transpirais, et angoissais encore plus que quelqu'un le remarque. J'avais été une bonne élève toute ma scolarité, mais cette année ma note de participation a été nulle dans toutes les matières. Je savais que ce phénomène n'arrivait en plus que lorsque j'étais à l'école, parce qu'une fois chez moi, je pouvais passer mon weekend dans les mêmes fringues et ne pas avoir de problèmes. Je me souviens avoir supplié ma mère de m'autoriser à pouvoir rentrer le midi chez moi pour pouvoir prendre une douche et me changer avant de rattaquer l'après midi et finir une demi heure après aussi trempée qu'auparavant.
Et puis un jour j'ai regardé sur internet, j'ai épluché les sites, essayé la pierre d'alun, plus d'une trentaine de déodorants du commerce différent. A l'époque, cette étape du matin prenait plus de dix minutes, parce que j'appliquais trois produits distincts qui devaient sécher les uns après les autres.
Et puis j'ai découvert Driclor. C'est un détranspirant, il y a du chlorure d'aluminium dedans c'est vrai, mas ce produit a changé ma vie. Je me souviens en avoir appliqué le soir sans grand espoir, avec la même lassitude avec laquelle j'essayais tour à tour chaque nouveau produit miracle, mais le lendemain, c'est peu de dire que je me suis sentie revivre. Je ne transpirais plus des bras. Bien sur, je compensais ailleurs, dans le dos par exemple, mais ce n'était pas aussi gênant, surtout que ça n'arrivait que pendant les deux jours de traitement durant une semaine.
J'ai suivi le traitement deux mois il me semble, appliquant deux soirs de suite, le soir, avant de me doucher le matin. Et puis au fur et à mesure j'ai espacé les prises, et maintenant je n'en applique plus. Ma transpiration s'est calmée.
Après, il y a d'autres facteurs. Je ne souffrais majoritairement que des aisselles et un peu moins des mains et des pieds. Et lorsque ce problème a disparu, j'ai gagné une telle confiance en moi que je n'avais même plus peur de transpirer. J'étais enfin sûre de moi, j'ai grandit, j'ai mûri, j'ai cessé de me comparer constamment aux filles de ma classe, j'ai arrêté d'être amoureuse d'un idiot, je me suis éloignée d'amitiés toxiques. Il y a beaucoup de choses qui m'ont soulagé et qui ont bougé à cette époque, et peut être que les facteurs psychologiques sont plus mêlés à cette guérison miracle que je ne le pense. Mais en tout cas, maintenant, je n'applique plus de Driclor, et je ne souffre plus d'hyperhidrose.
Tout commence quand j'ai 13-14 ans, la puberté qui commence, alors qu'en plus je change d'école. Je suis terriblement mal à l'aise dans ma peau, les premiers jours je me souviens avoir essayer de me fabriquer une image auprès de mes camarades, je ne me ressemble pas. Je finis par me faire des amies, je tombe éperdument amoureuse d'un petit idiot qui ne me regarde pas, je me cache dans des fringues bizarres et passe mon temps à admirer les filles cools qui s'habillent en marque. Bref, la quatrième. Je remarque rapidement qu'à 8h30 du matin à peine, je porte de superbes auréoles et ne peut décoller les bras de la journée. Cette transpiration me pourrit la vie. Je me souviens les heures où je restais paralysée sur ma chaise, sentant mes aisselles s'humidifier petit à petit, mes fesses aussi, mes paumes. Les madmoizelles qui ne pensent que ce n'est pas "si" grave, essayez de faire l'arbre droit devant trente personnes alors que vous avez l'équivalent de la carte de France sous chaque bras.
C'était un cercle vicieux. J'étais angoissée en permanence, transpirais, et angoissais encore plus que quelqu'un le remarque. J'avais été une bonne élève toute ma scolarité, mais cette année ma note de participation a été nulle dans toutes les matières. Je savais que ce phénomène n'arrivait en plus que lorsque j'étais à l'école, parce qu'une fois chez moi, je pouvais passer mon weekend dans les mêmes fringues et ne pas avoir de problèmes. Je me souviens avoir supplié ma mère de m'autoriser à pouvoir rentrer le midi chez moi pour pouvoir prendre une douche et me changer avant de rattaquer l'après midi et finir une demi heure après aussi trempée qu'auparavant.
Et puis un jour j'ai regardé sur internet, j'ai épluché les sites, essayé la pierre d'alun, plus d'une trentaine de déodorants du commerce différent. A l'époque, cette étape du matin prenait plus de dix minutes, parce que j'appliquais trois produits distincts qui devaient sécher les uns après les autres.
Et puis j'ai découvert Driclor. C'est un détranspirant, il y a du chlorure d'aluminium dedans c'est vrai, mas ce produit a changé ma vie. Je me souviens en avoir appliqué le soir sans grand espoir, avec la même lassitude avec laquelle j'essayais tour à tour chaque nouveau produit miracle, mais le lendemain, c'est peu de dire que je me suis sentie revivre. Je ne transpirais plus des bras. Bien sur, je compensais ailleurs, dans le dos par exemple, mais ce n'était pas aussi gênant, surtout que ça n'arrivait que pendant les deux jours de traitement durant une semaine.
J'ai suivi le traitement deux mois il me semble, appliquant deux soirs de suite, le soir, avant de me doucher le matin. Et puis au fur et à mesure j'ai espacé les prises, et maintenant je n'en applique plus. Ma transpiration s'est calmée.
Après, il y a d'autres facteurs. Je ne souffrais majoritairement que des aisselles et un peu moins des mains et des pieds. Et lorsque ce problème a disparu, j'ai gagné une telle confiance en moi que je n'avais même plus peur de transpirer. J'étais enfin sûre de moi, j'ai grandit, j'ai mûri, j'ai cessé de me comparer constamment aux filles de ma classe, j'ai arrêté d'être amoureuse d'un idiot, je me suis éloignée d'amitiés toxiques. Il y a beaucoup de choses qui m'ont soulagé et qui ont bougé à cette époque, et peut être que les facteurs psychologiques sont plus mêlés à cette guérison miracle que je ne le pense. Mais en tout cas, maintenant, je n'applique plus de Driclor, et je ne souffre plus d'hyperhidrose.
C'est vrai qu'il y a des choses qui m'ont fait ouvrir de grands yeux ronds à la lecture de l'article, peut-être quelques maladresses, mais j'ai surtout été touchée par la détresse de l'auteur qui me semble perdue, qui me semble essayer de se raccrocher aux branches comme elle peut, en étudiant toutes les possibilités même celles un peu controversée apparemment... Bon, je suis d'avis de ne pas juger, de garder toute notre bienveillance, d'autant qu'un complexe est un complexe, vu de l'extérieur souvent il nous paraît anodin, pas embêtant, mais vu de l'intérieur c'est tout autre chose ! et puis ce dont souffre l'auteur n'est pas seulement un complexe visiblement, c'est plus handicapant peut-être et puis si j'ai bien compris, c'est une maladie.
Petite chose qui m'a gênée :
"J’ai alors compris que cette maladie était d’ordre émotionnel ; je peux y remédier si je cherche la cause de mon mal-être. Cependant, c’est beaucoup plus facile à dire qu’à faire, car depuis un an je cherche toujours…"
Attention, ce n'est pas parce qu'une femme s'est rendue compte que son mal être venait d'abus subis plus jeune puis oubliés que c'est le cas pour tout le monde. Il ne faut pas s'identifier trop vite à ce qu'on peut lire sur Internet ou ailleurs. L'effet peut être totalement inverse, et très néfaste : chercher à tout prix la cause émotionnelle/le traumatisme enfoui/etc. d'un mal-être peut conduire à un mal être encore plus grand encore si la cause émtionnnelle/le traumatisme enfoui n'existe pas ou si on ne le trouve pas.
Je souhaite beaucoup de courage à l'auteur et plein de bonnes choses pour la suite.
Petite chose qui m'a gênée :
"J’ai alors compris que cette maladie était d’ordre émotionnel ; je peux y remédier si je cherche la cause de mon mal-être. Cependant, c’est beaucoup plus facile à dire qu’à faire, car depuis un an je cherche toujours…"
Attention, ce n'est pas parce qu'une femme s'est rendue compte que son mal être venait d'abus subis plus jeune puis oubliés que c'est le cas pour tout le monde. Il ne faut pas s'identifier trop vite à ce qu'on peut lire sur Internet ou ailleurs. L'effet peut être totalement inverse, et très néfaste : chercher à tout prix la cause émotionnelle/le traumatisme enfoui/etc. d'un mal-être peut conduire à un mal être encore plus grand encore si la cause émtionnnelle/le traumatisme enfoui n'existe pas ou si on ne le trouve pas.
Je souhaite beaucoup de courage à l'auteur et plein de bonnes choses pour la suite.
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