Michel Raison, député UMP et le rap « issu de l'immigration »
- Initiateur de la discussion Emilie Laystary
- Date de début
Denis;2421817 a dit :
Ah d'accord, merci...
Oui encore un de ces politiques qui disent des conneries et qui s'excusent en lisant un papier écrit par leur attaché de presse...
Ce genre d'amalgame me fait vomir. Et je trouve ça encore plus lâche de se cacher derrière une "connerie", non non je fais pas partie de la droite populaire, au grand jamais. Bah tiens.
(désolée de l'avis extrêmement argumenté et mature mais pour l'instant c'est tout ce que j'arrive à sortir)
(désolée de l'avis extrêmement argumenté et mature mais pour l'instant c'est tout ce que j'arrive à sortir)
Ok je ne suis pas d'accord pour stigmatiser le rap "issu de l'immigration" Mais quand même... Certaines(je dis bien certaines paroles) paroles anti-flics, anti-blanc, anti-France,homophobes, antisémites etc c'est pas normal de laisser écouter ça à des jeunes de 14ans!!!!!
Y a que moi que ça choque sérieux??
Il y a une telle pratique de la langue de bois dans ce pays qu'on ose plus dire les choses!
morceaux choisis : "moi j'ai parlé de garce, notamment de la France..."
ouais bon alors si vous trouvez ça normal d'insulter son pays...
Y a que moi que ça choque sérieux??
Il y a une telle pratique de la langue de bois dans ce pays qu'on ose plus dire les choses!
morceaux choisis : "moi j'ai parlé de garce, notamment de la France..."
ouais bon alors si vous trouvez ça normal d'insulter son pays...
(promis je lis vos réactions toujours intelligentes plus tard. Ca y est j'ai lu 
)
Première réaction de votre serviteuse : HAHAHA, ça faisait longtemps qu'il nous avait pas balancé de conneries pleines d'amalgames/préjugés/généralisations/ (pas de mention inutile à barrer).
NAN MAIS SERIEUX. Ils font un concours c'est pas possible. A la fin du quinquennat, il y aura un tableau et celui qui aura le plus stigmatisé, et ben BAM, il aura gagné la Légion d'Honneur !
Euh, si j'entends encore une nouvelle fois l'expression "issue de l'immigration", je vais péter un cable. Mais un GROS câble. P****, mais pourquoi vous assumez pas, mais dites-le que c'est des NOIRS ET DES ARABES, voilà c'est dit ! Dites-le que c'est à ça que vous pensez, que c'est les bougnoules et les bamboulas qui foutent encore la m*** avec leur musique de sauvage, leurs casquettes à l'envers, leurs[délit de] sales gueules, leur verlan (soi-disant inventé). MAIS assumez vos pensées discriminantes à deux balles ! J'en ai trop marre de cette hypocrisie, ça y est, je suis énervée.
Dites-le qu'on est trop foncés, trop différents pour être juste français, qu'on le sera jamais à vos yeux, jamais parce qu'on est pas Blancs ! Mais dites-le un bon coup merde !
J'en ai marre d'attendre qu'on enlève ce maudit "d'origine étrangère", "issus de l'immigration". Je renie pas le fait que j'ai baigné dans la culture africaine parce que mes parents sont nés en Afrique mais bordel, je suis aussi française, je suis juste une citoyenne française. C'est ça l'intégration à la française. C'est dire, qu'avec tes origines tes différences, t'es français. Un point c'est tout. J'ai pas besoin de trucs inutiles qui vont derrière.
nellie : Tout n'est pas bon dans le rap, loin de là. Mais franchement, est-ce que t'as déjà entendu parler du rap en bien ( je veux dire, autrement que pour ceux qui écoutent). Pas moi. Ou de façon marginale. Quand on parle de rap, c'est toujours pour le stigmatiser. Jamais j'entendrais quelqu'un à la télé " la beauté et la poésie du rap de Machine ". Alors que les textes poignants et superbes dans la musique rap, il y en a.
C'est quoi les choses au juste ? Que certaines musiques de rap sont vraiment à jeter et à ch*** ? Ca c'est évident.
Forgotten90 : Ouais t'as raison. Mais bon, ya aussi ceux qui sont considérés Français que quand ils sont à l'étranger. Quand ils sont en France, ils sont considérés comme "issus de l'immigration". (ils ont même plus droit au " francais " d'ailleurs).
Pixies : Tout à fait d'accord, si ca avait été quelqu'un du PS qui avait lancé ça, j'aurais sorti le fouet (je rigole... le martinet). Et puis, je crois que pour moi, ce genre d'idée est encore plus blessant quand il vient de la gauche. C'est débile, mais c'est là que mes rêves se brisent que je me dis " même certains d'entre eux pensent comme ça ! Ben on est pas dans la merde...". Attention, je dis pas que toute l'UMP est raciste/discriminatoire/fait-des-déclarations-à-l'emporte-pièce-comme-s'il-n'avait-pas-de-conseiller-com' et encore heureux d'aiileurs !
Allez je lance un voeu ce soir : demain, tous ceux qui ont auront la nationalité française seront effectivement tous considérés comme Français, sans distinction d'origine, de sexe, d'appartenance religieuse, d'orientation sexuelle, ou que sais-je.
Tiens, ça me rappelle quelque chose...
)Première réaction de votre serviteuse : HAHAHA, ça faisait longtemps qu'il nous avait pas balancé de conneries pleines d'amalgames/préjugés/généralisations/ (pas de mention inutile à barrer).
NAN MAIS SERIEUX. Ils font un concours c'est pas possible. A la fin du quinquennat, il y aura un tableau et celui qui aura le plus stigmatisé, et ben BAM, il aura gagné la Légion d'Honneur !
Euh, si j'entends encore une nouvelle fois l'expression "issue de l'immigration", je vais péter un cable. Mais un GROS câble. P****, mais pourquoi vous assumez pas, mais dites-le que c'est des NOIRS ET DES ARABES, voilà c'est dit ! Dites-le que c'est à ça que vous pensez, que c'est les bougnoules et les bamboulas qui foutent encore la m*** avec leur musique de sauvage, leurs casquettes à l'envers, leurs[délit de] sales gueules, leur verlan (soi-disant inventé). MAIS assumez vos pensées discriminantes à deux balles ! J'en ai trop marre de cette hypocrisie, ça y est, je suis énervée.
Dites-le qu'on est trop foncés, trop différents pour être juste français, qu'on le sera jamais à vos yeux, jamais parce qu'on est pas Blancs ! Mais dites-le un bon coup merde !
J'en ai marre d'attendre qu'on enlève ce maudit "d'origine étrangère", "issus de l'immigration". Je renie pas le fait que j'ai baigné dans la culture africaine parce que mes parents sont nés en Afrique mais bordel, je suis aussi française, je suis juste une citoyenne française. C'est ça l'intégration à la française. C'est dire, qu'avec tes origines tes différences, t'es français. Un point c'est tout. J'ai pas besoin de trucs inutiles qui vont derrière.
nellie : Tout n'est pas bon dans le rap, loin de là. Mais franchement, est-ce que t'as déjà entendu parler du rap en bien ( je veux dire, autrement que pour ceux qui écoutent). Pas moi. Ou de façon marginale. Quand on parle de rap, c'est toujours pour le stigmatiser. Jamais j'entendrais quelqu'un à la télé " la beauté et la poésie du rap de Machine ". Alors que les textes poignants et superbes dans la musique rap, il y en a.
C'est quoi les choses au juste ? Que certaines musiques de rap sont vraiment à jeter et à ch*** ? Ca c'est évident.
Forgotten90 : Ouais t'as raison. Mais bon, ya aussi ceux qui sont considérés Français que quand ils sont à l'étranger. Quand ils sont en France, ils sont considérés comme "issus de l'immigration". (ils ont même plus droit au " francais " d'ailleurs).
Pixies : Tout à fait d'accord, si ca avait été quelqu'un du PS qui avait lancé ça, j'aurais sorti le fouet (je rigole... le martinet). Et puis, je crois que pour moi, ce genre d'idée est encore plus blessant quand il vient de la gauche. C'est débile, mais c'est là que mes rêves se brisent que je me dis " même certains d'entre eux pensent comme ça ! Ben on est pas dans la merde...". Attention, je dis pas que toute l'UMP est raciste/discriminatoire/fait-des-déclarations-à-l'emporte-pièce-comme-s'il-n'avait-pas-de-conseiller-com' et encore heureux d'aiileurs !
Allez je lance un voeu ce soir : demain, tous ceux qui ont auront la nationalité française seront effectivement tous considérés comme Français, sans distinction d'origine, de sexe, d'appartenance religieuse, d'orientation sexuelle, ou que sais-je.
Tiens, ça me rappelle quelque chose...
Allez je lance un petit échantillon musical. Attention, ouvrez grand vos yeux, voici quelques paroles amusantes 
:
1. Salif "tous ensemble"
"Allez-y, lâchez les pitts, cassez les vitres, quoi
Rien à foutre, d'façon en face c'est des flics
C'est U.N.I.T.Y., renoi, rebeu, babtou, tway
Mais si on veut contrôler Paris, tu sais que ça sera tous ensemble
Ca y est les pitts sont lâchés,
les villes sont à chier, les vitres sont cassées,
Les keufs sont lynchés, enfin, ça soulage,
Faut que Paris crame
Ce soir à mort Le Pen, On redémarre la guillotine, pire qu'à Djibouti
Poitiers brûle et cette fois-ci, pas de Charles Martel
On vous élimine, puisque que c'est trop tard
La France pète, J'espère que t'as capté le concept"
2. Smala "meurtre légal"
"Quand le macro prend le micro, c'est pour niquer la France
Guerre raciale, guerre fatale ?il pour ?il dent pour dent organisation radicale, par tous les moyens il faut leur niquer leurs mères Gouers (Français) c'est toi qui perds....Flippe pour ta femme tes enfants pour ta race...on s'est installé ici c'est vous qu'on va mettre dehors "
3. Lunatic "Temps mort" (ce groupe est une mine d'or, haha!
)
"ALLAH à Toi seul l'homme doit toute son adoration, les vrais savent,
On a pas oublié, l'or que le pape porte au cou est celui qui nous a été pillé.
Allo c'est B2O encore en chien d'chiennes, les hyènes ressentent la tumeur et moi j'suis d'humeur palestinienne.
Qui veut la paix, prépare la guerre, j'te l'rappelle.
...vote pour emmener les porcs à la morgue,
Eh négro ! C'est l'heure d'manger,
Brûler leur sperme en échantillons, souder leurs chattes
J'suis pas le bienvenue, mais j'suis là,(...), j'suis venu manger et chier là.
Quand j'vois la France les jambes écartées j'l'encule sans huile.
Z'ont dévalisé l'Afrique... J'vais piller la France
Tu m'dis "la France un pays libre" (...) attends-toi à bouffer du calibre.
J'rêve de loger dans la tête d'un flic une balle de G.L.O.C.K. "
4. Lunatic "Islam"
"Mains on reste pratiquants, délinquants
Nos psaumes récitées
Par nos mômes de cité à cité.
Nique la justice
Y'a qu'dieu qui peut me juger
Rien qu'j'dors plus, sur cette terre de colons impurs
L pour ma Loi suprême représentée par le I Islam. "
5. Lunatic "Violence/Déliquance"
"J'aime voir des CRS morts
J'aime les pin-pon, suivis d'explosions et des pompiers
Un jour j'te souris, Un jour j'te crève
J'perds mon temps à m'dire qu'j'finirais bien par leur tirer d'ssus.
Lunatic dans la violence incite. "
6. 113 "face à la police"
"j'crie tout haut : " J'baise votre nation " L'uniforme bleu, depuis tout p'tit nous haïssons. On remballe et on leur pète leur fion. Faut pas qu'y ait une bavure ou dans la ville ça va péter, Du commissaire au stagiaire: tous détestés ! A la moindre occasion, dès qu'tu l'peux, faut les baiser. Bats les couilles les porcs qui représentent l'ordre en France."
7. Sniper "La France"
"Pour mission exterminer les ministres et les fachos. La France est une garce et on s'est fait trahir. On nique la France sous une tendance de musique populaire. Les frères sont armés jusqu'aux dents, tous prêts à faire la guerre. Faudrait changer les lois et pouvoir voir bientôt à l'Élysée des arabes et des noirs au pouvoir. Faut que ça pète ! Frère je lance un appel, on est là pour tous niquer. La France aux français, tant qu'j'y serai, ça serait impossible. Leur laisser des traces et des séquelles avant de crever. Faut leur en faire baver v'la la seule chose qu'ils ont mérités. T'façon j'ai plus rien à perdre, j'aimerais les faire pendre. Mon seul souhait désormais est de nous voir les envahir. Ils canalisent la révolte pour éviter la guerre civile."
Je m'arrête là, ça me fatigue, mais je vous laisse chercher si vous voulez, y'en a plein d'autres...
Oh et j'oubliais. J'ai de multiples "origines étrangères", ça se voit assez, et jamais je n'ai subi d'injures en France. Est ce exceptionnel?
Par contre, je vous défends d'aller en Espagne ou en Italie par exemple (où les immigrés d'Afrique sont juste bon à vendre des lunettes merdiques sur la plage). Putain, voyagez un peu avant de dire que la France c'est le diable! Pour moi, cette haine (cf. les chansons un peu plus haut) est injustifiable.
:1. Salif "tous ensemble"
"Allez-y, lâchez les pitts, cassez les vitres, quoi
Rien à foutre, d'façon en face c'est des flics
C'est U.N.I.T.Y., renoi, rebeu, babtou, tway
Mais si on veut contrôler Paris, tu sais que ça sera tous ensemble
Ca y est les pitts sont lâchés,
les villes sont à chier, les vitres sont cassées,
Les keufs sont lynchés, enfin, ça soulage,
Faut que Paris crame
Ce soir à mort Le Pen, On redémarre la guillotine, pire qu'à Djibouti
Poitiers brûle et cette fois-ci, pas de Charles Martel
On vous élimine, puisque que c'est trop tard
La France pète, J'espère que t'as capté le concept"
2. Smala "meurtre légal"
"Quand le macro prend le micro, c'est pour niquer la France
Guerre raciale, guerre fatale ?il pour ?il dent pour dent organisation radicale, par tous les moyens il faut leur niquer leurs mères Gouers (Français) c'est toi qui perds....Flippe pour ta femme tes enfants pour ta race...on s'est installé ici c'est vous qu'on va mettre dehors "
3. Lunatic "Temps mort" (ce groupe est une mine d'or, haha!
)"ALLAH à Toi seul l'homme doit toute son adoration, les vrais savent,
On a pas oublié, l'or que le pape porte au cou est celui qui nous a été pillé.
Allo c'est B2O encore en chien d'chiennes, les hyènes ressentent la tumeur et moi j'suis d'humeur palestinienne.
Qui veut la paix, prépare la guerre, j'te l'rappelle.
...vote pour emmener les porcs à la morgue,
Eh négro ! C'est l'heure d'manger,
Brûler leur sperme en échantillons, souder leurs chattes
J'suis pas le bienvenue, mais j'suis là,(...), j'suis venu manger et chier là.
Quand j'vois la France les jambes écartées j'l'encule sans huile.
Z'ont dévalisé l'Afrique... J'vais piller la France
Tu m'dis "la France un pays libre" (...) attends-toi à bouffer du calibre.
J'rêve de loger dans la tête d'un flic une balle de G.L.O.C.K. "
4. Lunatic "Islam"
"Mains on reste pratiquants, délinquants
Nos psaumes récitées
Par nos mômes de cité à cité.
Nique la justice
Y'a qu'dieu qui peut me juger
Rien qu'j'dors plus, sur cette terre de colons impurs
L pour ma Loi suprême représentée par le I Islam. "
5. Lunatic "Violence/Déliquance"
"J'aime voir des CRS morts
J'aime les pin-pon, suivis d'explosions et des pompiers
Un jour j'te souris, Un jour j'te crève
J'perds mon temps à m'dire qu'j'finirais bien par leur tirer d'ssus.
Lunatic dans la violence incite. "
6. 113 "face à la police"
"j'crie tout haut : " J'baise votre nation " L'uniforme bleu, depuis tout p'tit nous haïssons. On remballe et on leur pète leur fion. Faut pas qu'y ait une bavure ou dans la ville ça va péter, Du commissaire au stagiaire: tous détestés ! A la moindre occasion, dès qu'tu l'peux, faut les baiser. Bats les couilles les porcs qui représentent l'ordre en France."
7. Sniper "La France"
"Pour mission exterminer les ministres et les fachos. La France est une garce et on s'est fait trahir. On nique la France sous une tendance de musique populaire. Les frères sont armés jusqu'aux dents, tous prêts à faire la guerre. Faudrait changer les lois et pouvoir voir bientôt à l'Élysée des arabes et des noirs au pouvoir. Faut que ça pète ! Frère je lance un appel, on est là pour tous niquer. La France aux français, tant qu'j'y serai, ça serait impossible. Leur laisser des traces et des séquelles avant de crever. Faut leur en faire baver v'la la seule chose qu'ils ont mérités. T'façon j'ai plus rien à perdre, j'aimerais les faire pendre. Mon seul souhait désormais est de nous voir les envahir. Ils canalisent la révolte pour éviter la guerre civile."
Je m'arrête là, ça me fatigue, mais je vous laisse chercher si vous voulez, y'en a plein d'autres...
Oh et j'oubliais. J'ai de multiples "origines étrangères", ça se voit assez, et jamais je n'ai subi d'injures en France. Est ce exceptionnel?
Par contre, je vous défends d'aller en Espagne ou en Italie par exemple (où les immigrés d'Afrique sont juste bon à vendre des lunettes merdiques sur la plage). Putain, voyagez un peu avant de dire que la France c'est le diable! Pour moi, cette haine (cf. les chansons un peu plus haut) est injustifiable.
@apprentie diva : Oui j'ai déjà entendu des commentaires encenser le rap, par exemple celui d'Mc Solaar, que j'apprécie aussi.
Mais tu vois bien (cf commentaire d'Aimata) que certaines paroles ne devraient pas être diffusées à la radio et écoutées par les jeunes! Elle incitent à la haine envers la France et ne facilitent pas l'intégration, c'est le moins qu'on puisse dire. Comment voulez-vous considérer comme des français les rappeurs qui insultent la France... Moi j'aime mon pays et ça me dégoûte que des pseudo artistes gagnent des sous en écrivant des propos choquants et racistes (eh oui le racisme anti-blanc ça existe) Les ministres ne font que dénoncer quelque chose de VRAI afin de protéger la jeunesse.
ps : je suis sûre que ce genre de rap va "disparaître", car à part dire "nique la france" et "nique les flics", ils n'ont pas grand chose à rajouter les pauvres...
Mais tu vois bien (cf commentaire d'Aimata) que certaines paroles ne devraient pas être diffusées à la radio et écoutées par les jeunes! Elle incitent à la haine envers la France et ne facilitent pas l'intégration, c'est le moins qu'on puisse dire. Comment voulez-vous considérer comme des français les rappeurs qui insultent la France... Moi j'aime mon pays et ça me dégoûte que des pseudo artistes gagnent des sous en écrivant des propos choquants et racistes (eh oui le racisme anti-blanc ça existe) Les ministres ne font que dénoncer quelque chose de VRAI afin de protéger la jeunesse.
ps : je suis sûre que ce genre de rap va "disparaître", car à part dire "nique la france" et "nique les flics", ils n'ont pas grand chose à rajouter les pauvres...
Je ne vais pas faire avancer le débat sur le fond. Juste, je trouve que présenter des paroles extraites de différentes chansons comme ça prêtre un peu à confusion ; pour un peu on croirait que c'est la même chanson.Aimata;2430877 a dit :
« On reste pratiquants, délinquants » et « Nos psaumes récitées/Par nos mômes de cité à cité » c'est dans Avertisseurs ; « Nique la justice/Y a qu'Dieu qui peut me juger » dans Mauvais oeil ; « c?est A.L.I., A pour l?Afrique, L pour ma Loi suprême représentée par le I, Islam » dans HLM 3 ; « Rien qu'j'dors plus, sur cette terre de colon impurs » dans 92I avec Malekal Morte (et c'est Issaka qui dit ça, si on veut être précis).
L'album Temps mort n'est pas un album du groupe Lunatic mais un album solo de Booba.Aimata;2430877 a dit :
daffy duck;2438130 a dit :
Merci Daffy Duck, c'est pile ce que je voulais dire, mais t'as un peu résumé ma pensée en mieux, des tas de rappeurs prônent un message de paix, mais tout ce qu'on retient c'est la violence.
Aimata : personnellement, je vois pas pourquoi tu dis qu'on devrait voyager. Cela ne concerne que la France, si tu veux la comparer à des pays qui ont des situations pires, libre à toi, mais je ne vois pas comment on pourrait améliorer la situation en prenant comme comparaison des pays qui sont pire.
Que sous-entends tu par " voyager " ? Je m'excuse si ce n'est pas le cas, mais ton propos ressemble au slogan " La France, tu l'aimes ou tu la quittes". C'est pas parce que des pays font pire que nous en matière d'intégration que pour autant on ne doit pas dire que la situation en France reste vraiment perfectible.
nellie : Je crois que tu prends le problème à l'envers ( j'espère ne pas paraître arrogante hein, c'est pas du tout mon voeu). Tu dis " Comment voulez-vous considérer comme des français les rappeurs qui insultent la France "? Et là, l'erreur est fatale. Premièrement, ils sont Français, que cela plaise ou non, malgré leurs propos que tu trouves (et tu n'es pas la seule) choquant. Donc, il n'y a pas de " considérer " dans l'histoire. S'ils ont leur carte d'identité, ils sont Français, point à la ligne.
Et tu vois, ça, ça m'irrite un peu. La carte d'identité, c'est pas un permis à point. " Bon ben ils insultent la France, bon ben ils sont plus Français ". Jusqu'à présent, cela ne marche pas comme ça.
Deuxièmement, ils insultent la France, parce qu'ils ne sont pas "considérés" comme Français, et voila tout le problème. Comment veux-tu aimer un pays qui te fait tous les jours sentir qu'il ne veut pas de toi, parce que tu n'as pas la "bonne" couleur de peau, la "bonne" religion ?
Il y en a, comme moi, qui essayent de défaire les préjugés calmement, avec les outils de l'école, coûte que coûte, mais tout d'abord, c'est de la colère. Tu ne sens pas cette colère, cette rage d'être rejeté dans leurs mots ? Moi aussi je suis en colère !
Tout ce que j'entends, c'est : " vous ne voulez pas de nous ? Ben nous aussi, on vous emmerde" .
Tu crois que s'ils ne subissaient pas le racisme ordinaire tous les jours, ils diraient "nique la France ! " ?
Dernière chose : Pour moi, quelqu'un comme le Président, qui est censé être le garant des institutions et des principes républicains, qui ose garder un ministre sous le coup de condamnations pour injures raciales, et qui bafoue la DDHC et le Préambule de la Constitution en parlant de Français "d'origine étrangère" (cf Discours de Grenoble), et ben à sa manière, lui aussi il dit " Nique la France".
Je viens de tomber sur un texte d'Anthony Pecqueux, La violence du rap comme katharsis : vers une interprétation politique. C'est parfois un peu alambiqué, mais bon (attention pavé) :
[...] [La violence des production de rap], globalement musicale, et plus particulièrement chansonnière, ne peut être balayée d’un revers de main qui prendrait les traits d’un angélisme populiste (« ce n’est pas si violent », ou « pas si grave »). [...] On s’attachera à analyser sous quelles conditions il est légitime, à la suite de nombreux auteurs, de parler de katharsis pour cette violence. Cela passera par substituer à la lecture classique de cette notion, morale et/ou psychologique, une autre tournée vers le politique. On postule par conséquent, dans cette perspective, que rappeurs et auditeurs ne souffrent pas tant d’un hypothétique problème psychologique ou social, que d’un véritable problème politique.
De la violence sociale à la violence musicale : la katharsis comme catégorie psychologique de sens commun
Le plus souvent [la réponse] consiste à appliquer plus ou moins explicitement le schème explicatif, emprunté à Aristote, de la katharsis. Ce schème [est utilisé] comme catégorie psychologique de sens commun [...] dans un sens synonyme à exutoire [...]. Cela signifie que si la violence est réelle, le fait de la proférer permet en fait de s’en éloigner [...] Le schème kathartique s’énonce par exemple de la sorte : « La provocation, dans le rap, est un défouloir, un moyen d’évacuer sa rage » (Boucher, 1998 : 231). [...]
Pour comprendre comment on en arrive à une telle conclusion et ses enjeux, il est nécessaire de reconstituer le double mouvement de pensée qui le sous-tend : d’un côté un postulat concernant la réalité sociale censée définir l’environnement du rap, de l’autre une certaine conception du langage qui y est utilisé. Le postulat tient à ce que les différents acteurs qui fondent le rap français comme pratique culturelle proviennent de, et continuent à évoluer dans un environnement social tel qu’ils subissent une violence sociale omniprésente. Celle-ci, due à leur condition sociale d’origine, est accentuée par leur lieu de vie — disons, les grands ensembles périphériques dégradés. En outre ils se trouvent, du coup, exposés à une tentation tout aussi présente : la violence physique comme solution (à travers l’appartenance à un gang et/ou le recours à l’illégalité, etc.). [...] Une telle perspective ne manque pas de soulever une objection de taille : la violence qui surgit dans le rap ne constitue-t-elle pas plutôt une incitation pour les auditeurs à adopter des comportements violents, eux qui fluctuent dans cet environnement particulièrement propice ? C’est pour éviter cette objection qu’est engagée une certaine conception du langage : selon celle-ci, la principale propriété du langage du rap est d’être codé — avant d’être, à l’occasion, violent. [...] Par conséquent, quand dans un rap affleurent des termes ordinairement violents, en fait leur signifi cation n’est pas telle mais autre — celle que les usagers du code ont établie. Par exemple, pour cette conception, « Nique Ta Mère » n’est pas une provocation violente, c’est une insulte rituelle que les membres du groupe du pairs seuls comprennent, et pour lesquels il s’agit de l’opposé de la violence (cf. Lapassade & Rousselot, 1998 : 55).
[...] Il reste à mesurer si cette réponse donnée à la violence du rap remplit ses objectifs [...] Du point de vue explicatif, un premier problème intervient avec le postulat de l’environnement social : aucune donnée statistique n’existe qui confirmerait que rappeurs et auditeurs sont issus des grands ensembles périphériques dégradés. La seule donnée existante tendrait d’ailleurs plutôt à l’infi rmer : les disques de rap français se vendant parfois à plusieurs centaines de milliers d’exemplaires (sans compter les copies), il semble difficile de continuer à soutenir que les auditeurs appartiennent tous à cet environnement social. [...] Un certain nombre d’aménagements restent à opérer ; déjà la katharsis, prise dans une acception précise, pourrait expliquer certaines paroles proférées violentes du rap, à la condition de ne concerner que certaines situations [...] Il faudrait également engager une autre conception du langage : selon celle-ci, et les exemples utilisés le montreront, le langage du rap ne se distingue pas particulièrement par son opacité, mais au contraire par le fait qu’il est commun.
Un régime énonciatif problématique : l’amour/haine
[...] Parmi les nombreuses paroles proférées violentes du rap français, on ne vise pas à produire un système explicatif total, exhaustif ; encore moins à soutenir qu’une seule réponse parvienne à toutes les expliquer. Plusieurs schèmes s’avèrent nécessaires pour couvrir les différentes situations dans lesquelles surgissent des paroles violentes. Par exemple, les effets de cadrage et modalisation (Goffman, 1991) permettent de replacer des paroles violentes dans leur contexte de profération, comme quand Akhenaton déclare vouloir « éclater un type des ASSEDIC » tout en ponctuant chacune de ces énonciations par des bruits de combat issus d’un jeu vidéo à grand succès. Il réserve ainsi l’espace de réalisation de son souhait à la sphère imaginaire (ou ludique). [...] On s’en tiendra dans le cadre présent à un type de paroles proférées violentes : celles qui actualisent un régime énonciatif double [...] — régime que je qualifie d’amour/haine. [...] Donnons-en immédiatement un exemple (sur lequel on reviendra par la suite en raison de sa nature exemplaire) : rapper en une seule et même émission vocale « Nique les nobles snobs respect aux gens sobres et humbles » (Scred Connexion, Du mal à s’confier). [...] D’une manière générale l’amour vise l’auditeur, sans description précise mais dont il est présumé qu’il partage quelque caractéristique commune avec le soi rappeur (a minima, un goût pour le rap). Tandis que la haine concerne « les autres », ceux qui ne sont ni comme les rappeurs ni comme ceux à qui ils témoignent de l’amour (policiers, huissiers, juges, hommes politiques, etc. ; toutes catégories représentant les institutions ou le système en place). [...] Ce régime constitue une classique instanciation de « Nous contre Eux » [...]
Vers une interprétation politique de la katharsis pour l’amour/haine
Je n'ai plus le temps de résumer en coupant dans le texte, donc je vous laisse cliquer sur le lien (page 65).
[...] [La violence des production de rap], globalement musicale, et plus particulièrement chansonnière, ne peut être balayée d’un revers de main qui prendrait les traits d’un angélisme populiste (« ce n’est pas si violent », ou « pas si grave »). [...] On s’attachera à analyser sous quelles conditions il est légitime, à la suite de nombreux auteurs, de parler de katharsis pour cette violence. Cela passera par substituer à la lecture classique de cette notion, morale et/ou psychologique, une autre tournée vers le politique. On postule par conséquent, dans cette perspective, que rappeurs et auditeurs ne souffrent pas tant d’un hypothétique problème psychologique ou social, que d’un véritable problème politique.
De la violence sociale à la violence musicale : la katharsis comme catégorie psychologique de sens commun
Le plus souvent [la réponse] consiste à appliquer plus ou moins explicitement le schème explicatif, emprunté à Aristote, de la katharsis. Ce schème [est utilisé] comme catégorie psychologique de sens commun [...] dans un sens synonyme à exutoire [...]. Cela signifie que si la violence est réelle, le fait de la proférer permet en fait de s’en éloigner [...] Le schème kathartique s’énonce par exemple de la sorte : « La provocation, dans le rap, est un défouloir, un moyen d’évacuer sa rage » (Boucher, 1998 : 231). [...]
Pour comprendre comment on en arrive à une telle conclusion et ses enjeux, il est nécessaire de reconstituer le double mouvement de pensée qui le sous-tend : d’un côté un postulat concernant la réalité sociale censée définir l’environnement du rap, de l’autre une certaine conception du langage qui y est utilisé. Le postulat tient à ce que les différents acteurs qui fondent le rap français comme pratique culturelle proviennent de, et continuent à évoluer dans un environnement social tel qu’ils subissent une violence sociale omniprésente. Celle-ci, due à leur condition sociale d’origine, est accentuée par leur lieu de vie — disons, les grands ensembles périphériques dégradés. En outre ils se trouvent, du coup, exposés à une tentation tout aussi présente : la violence physique comme solution (à travers l’appartenance à un gang et/ou le recours à l’illégalité, etc.). [...] Une telle perspective ne manque pas de soulever une objection de taille : la violence qui surgit dans le rap ne constitue-t-elle pas plutôt une incitation pour les auditeurs à adopter des comportements violents, eux qui fluctuent dans cet environnement particulièrement propice ? C’est pour éviter cette objection qu’est engagée une certaine conception du langage : selon celle-ci, la principale propriété du langage du rap est d’être codé — avant d’être, à l’occasion, violent. [...] Par conséquent, quand dans un rap affleurent des termes ordinairement violents, en fait leur signifi cation n’est pas telle mais autre — celle que les usagers du code ont établie. Par exemple, pour cette conception, « Nique Ta Mère » n’est pas une provocation violente, c’est une insulte rituelle que les membres du groupe du pairs seuls comprennent, et pour lesquels il s’agit de l’opposé de la violence (cf. Lapassade & Rousselot, 1998 : 55).
[...] Il reste à mesurer si cette réponse donnée à la violence du rap remplit ses objectifs [...] Du point de vue explicatif, un premier problème intervient avec le postulat de l’environnement social : aucune donnée statistique n’existe qui confirmerait que rappeurs et auditeurs sont issus des grands ensembles périphériques dégradés. La seule donnée existante tendrait d’ailleurs plutôt à l’infi rmer : les disques de rap français se vendant parfois à plusieurs centaines de milliers d’exemplaires (sans compter les copies), il semble difficile de continuer à soutenir que les auditeurs appartiennent tous à cet environnement social. [...] Un certain nombre d’aménagements restent à opérer ; déjà la katharsis, prise dans une acception précise, pourrait expliquer certaines paroles proférées violentes du rap, à la condition de ne concerner que certaines situations [...] Il faudrait également engager une autre conception du langage : selon celle-ci, et les exemples utilisés le montreront, le langage du rap ne se distingue pas particulièrement par son opacité, mais au contraire par le fait qu’il est commun.
Un régime énonciatif problématique : l’amour/haine
[...] Parmi les nombreuses paroles proférées violentes du rap français, on ne vise pas à produire un système explicatif total, exhaustif ; encore moins à soutenir qu’une seule réponse parvienne à toutes les expliquer. Plusieurs schèmes s’avèrent nécessaires pour couvrir les différentes situations dans lesquelles surgissent des paroles violentes. Par exemple, les effets de cadrage et modalisation (Goffman, 1991) permettent de replacer des paroles violentes dans leur contexte de profération, comme quand Akhenaton déclare vouloir « éclater un type des ASSEDIC » tout en ponctuant chacune de ces énonciations par des bruits de combat issus d’un jeu vidéo à grand succès. Il réserve ainsi l’espace de réalisation de son souhait à la sphère imaginaire (ou ludique). [...] On s’en tiendra dans le cadre présent à un type de paroles proférées violentes : celles qui actualisent un régime énonciatif double [...] — régime que je qualifie d’amour/haine. [...] Donnons-en immédiatement un exemple (sur lequel on reviendra par la suite en raison de sa nature exemplaire) : rapper en une seule et même émission vocale « Nique les nobles snobs respect aux gens sobres et humbles » (Scred Connexion, Du mal à s’confier). [...] D’une manière générale l’amour vise l’auditeur, sans description précise mais dont il est présumé qu’il partage quelque caractéristique commune avec le soi rappeur (a minima, un goût pour le rap). Tandis que la haine concerne « les autres », ceux qui ne sont ni comme les rappeurs ni comme ceux à qui ils témoignent de l’amour (policiers, huissiers, juges, hommes politiques, etc. ; toutes catégories représentant les institutions ou le système en place). [...] Ce régime constitue une classique instanciation de « Nous contre Eux » [...]
Vers une interprétation politique de la katharsis pour l’amour/haine
Je n'ai plus le temps de résumer en coupant dans le texte, donc je vous laisse cliquer sur le lien (page 65).
Je viens de lire vos messages, pas en détail, mais en gros j'ai vu que vous avez déjà parlé de ce que je voulais dire :
Que le rap n'a pas le monopole de la critique sur la France, y a des mecs comme Renaud ou même Sardou qui ont écrit des textes là-dessus.
Le truc du rap, c'est que je trouve, personnellement, que les rythmes même de ce style de musique sont agressifs et peu mélodieux (je trouve tout plus doux quand c'est mélodieux). Donc tout dans leurs chansons/messages sont agressifs à mes yeux. Quand on y ajoute des propos insultants (pas toujours je sais, je parle juste de ce qui ressort du peu que j'entends du rap), des critiques pas hyper développées (je sais que j'ai tort sur ce point, mais j'ai l'impression que c'est toujours un peu la même chose "La France c'est de la merde" "On va tout casser pour faire payer la souffrance qu'on nous inflige" "Faut que la police crève" ...), ça ne me donne pas envie d'écouter ce que ces chansons racontent.
Il FAUT des chansons contestataires, mais je trouve que dans le rap c'est plus maladroit et agressif que sarcastique. Je trouve que les critiques ont toujours plus de crédit quand on est posé et qu'on ne parle pas avec véhémence.
Que le rap n'a pas le monopole de la critique sur la France, y a des mecs comme Renaud ou même Sardou qui ont écrit des textes là-dessus.
Le truc du rap, c'est que je trouve, personnellement, que les rythmes même de ce style de musique sont agressifs et peu mélodieux (je trouve tout plus doux quand c'est mélodieux). Donc tout dans leurs chansons/messages sont agressifs à mes yeux. Quand on y ajoute des propos insultants (pas toujours je sais, je parle juste de ce qui ressort du peu que j'entends du rap), des critiques pas hyper développées (je sais que j'ai tort sur ce point, mais j'ai l'impression que c'est toujours un peu la même chose "La France c'est de la merde" "On va tout casser pour faire payer la souffrance qu'on nous inflige" "Faut que la police crève" ...), ça ne me donne pas envie d'écouter ce que ces chansons racontent.
Il FAUT des chansons contestataires, mais je trouve que dans le rap c'est plus maladroit et agressif que sarcastique. Je trouve que les critiques ont toujours plus de crédit quand on est posé et qu'on ne parle pas avec véhémence.
Van Damsel;2451357 a dit :
Oui c'est sur et certain, et je le dis dans mon message je ne me base que sur ce que j'ai entendu pour dire cela (et ce n'est qu'un échantillon de ce qui se fait en rap, j'en suis consciente), c'est mon avis et rien d'autre.
Mais je me dis que si moi je le ressens comme ça, d'autres doivent le ressentir aussi de cette façon et ne pas comprendre.
Discussions similaires
