J'ai fait la guerre à mes poils pendant des années, surtout parce que pendant le collège et le lycée je faisais de la natation de compétition 2 à 3 fois par semaines, et que la pression sociale concernant l'épilation était assez forte dans ce domaine, même les mecs s'épilaient pour 'aller plus vite". A cette époque je faisait tout au rasoir, bonjour les irritations de peau et les boutons en quasi permanence . En plus j'avais un traitement pour une sudation excessive te ça me niquait encore plus l'épiderme au niveau des aisselles
Ce n'est que récemment (1 ou 2 ans) que j'ai commencé à accepter mes poils, et ma peau me dit merci! Honnêtement, je continue à m'épiler, mais beaucoup moins souvent, et pour mon propre plaisir: j'apprécie la sensation d'une peau douce et lisse, et je me sens un peu plus sexy/jolie comme ça, mais c'est une préférence personnelle et qui n'engage que moi, je laisse aux autre, femmes et hommes, le soin de gérer leurs poils comme ils l'entendent.
MAIS je ne me prend plus la tête le jour où j'ai pas le temps, pas envie, pas les moyens (financiers ou techniques): je peux aller au boulot avec les aisselles poilues, la plage avec des jambes de castor ne me fait plus peur, et mon maillot fait sa vie tranquille la plupart du temps. L'épilation est devenue une préférence personnelle, mais n'est plus une obligation. Et je dois rendre justice à mon copain qui m'a beaucoup aidé à décomplexer sur le sujet: si lui aussi apprécie que je m'épile, il ne m'a jamais mis la pression pour ça, voire est parfois le premier à me dire de ne pas m'emmerder avec ça
Je pense que l'essentiel c'est de trouver ce qui nous plaît, et de ne pas porter de jugement sur les autres, mais il est vrai que savoir faire la différence entre ses goûts personnels et ce à quoi on se sent "obligé" ce n'est pas évident, et je pense qu'il faut soit avoir été libre de toute influence dès le départ (pas évident, dans un sens comme dans l'autre), soit parvenir à une certaine maturité ou un certain recul sur soi pour savoir réellement ce qu'il en est et puis aussi connaître les impacts de l'épilation sur la santé ça peut peser lourd dans la balance
Ce n'est que récemment (1 ou 2 ans) que j'ai commencé à accepter mes poils, et ma peau me dit merci! Honnêtement, je continue à m'épiler, mais beaucoup moins souvent, et pour mon propre plaisir: j'apprécie la sensation d'une peau douce et lisse, et je me sens un peu plus sexy/jolie comme ça, mais c'est une préférence personnelle et qui n'engage que moi, je laisse aux autre, femmes et hommes, le soin de gérer leurs poils comme ils l'entendent.
MAIS je ne me prend plus la tête le jour où j'ai pas le temps, pas envie, pas les moyens (financiers ou techniques): je peux aller au boulot avec les aisselles poilues, la plage avec des jambes de castor ne me fait plus peur, et mon maillot fait sa vie tranquille la plupart du temps. L'épilation est devenue une préférence personnelle, mais n'est plus une obligation. Et je dois rendre justice à mon copain qui m'a beaucoup aidé à décomplexer sur le sujet: si lui aussi apprécie que je m'épile, il ne m'a jamais mis la pression pour ça, voire est parfois le premier à me dire de ne pas m'emmerder avec ça
Je pense que l'essentiel c'est de trouver ce qui nous plaît, et de ne pas porter de jugement sur les autres, mais il est vrai que savoir faire la différence entre ses goûts personnels et ce à quoi on se sent "obligé" ce n'est pas évident, et je pense qu'il faut soit avoir été libre de toute influence dès le départ (pas évident, dans un sens comme dans l'autre), soit parvenir à une certaine maturité ou un certain recul sur soi pour savoir réellement ce qu'il en est et puis aussi connaître les impacts de l'épilation sur la santé ça peut peser lourd dans la balance