Mr. Big

26 Mai 2008
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St Thibault des vignes
Mon Mr.Big je l'ai connu il y a deja 10 ans!! à cette epoque j'en avais 19 ans et lui 15 !!mais je le trouvais attirant charmant brillant et ses yeux bleus me faisaient totalement craqués!!!bien que j'étais avec quelqu'un j'ai pas hesité a faire de lui mon amant,je l'aimais trop pour m'en passer et pas assez pour faire de lui mon mec officiel ,au bout de 8 mois de double vie,ils ont finis par decouvrir mon double jeu et j'ai perdu les 2!! je savais que mon jeune amant avait beaucoup de mal à s'en remettre et bien que j'étais en totale deprime de l'avoir perdu ,je ne pouvais pas assumer cet histoire!!
2 ans se sont écoulés et j'avais quelqu'un d'autres ds ma vie avec qui j'étais bien!!ms un soir je l'ai rencontré par hasard,il était encore plus beau et seduisant qu'auparavant,j'étais complétement sous le charme,j'ai pas hésité à deserter le lit de mon officiel pour me retrouver a nouveau ds son lit ms je ne pouvais toujours pas assumer cet histoire alors j'ai preferé y mettre un terme!!
1 ans plus tard,on se retrouve a nouveau par hasard et c'est repartis pour une histoire passionnante et des nuits torrides mais incapable de m'investir,je met un terme a l'histoire!!
2 ans plus tard,je ne l'ai ni jamais revu,ni meme croisé et voila qu'il debarque au magasin ou je travaille et
je fond complétement,il a mûri et encore plus beau et je retombe complétement ds le love et cette fois je suis sure de moi,c'est lui que je veux et je veux m'investir sauf que cette fois,c'est lui qui ne veut plus ,pendant un an je suis totalement à ses pieds,acceptant ses coups bas,ses mensonges et ses tromperies en comprenant qu'il me faisait payé mes coups du passé!!je me suis juré des centaines de fois de ne plus me laissé avoir ms à chaque fois qu'il me rappellait,je n'hésitais pas à tout lacher pour lui jusqu'au dernier coup de couteau ou il finis par me quitter sans explications pour une autre avec qui en 3 mois il s'installe et fais un enfant!!
j'ai mis un an pour m'en remettre et au bout de 3 ans et demi,voila que par un site je recois un message et c'étais lui,j'essais de ne pas craquer,j'ai quelqu'un qui m'a aidé à remonter la pente et je ne veux pas retomber dedans!!mais je suis trop faible,je finis par le revoir et il me ressort ses belles paroles,je finis encore par recommencer cette histoire exclusive et ces nuits torrides,j'ai l'impression d'être a nouveau vivante ms encore plus malheureuse,j'avais pourtant finis par être bien dans ma tête et dans ma peau!!
j'ai pris mon courage a deux mains et j'ai mis un terme à cet histoire...
Je suis toujours obsédé par lui,j'en rêve même la nuit,j'ai l'impression de retourner 3 ans en arriére quand j'étais en deprime à cause de lui..ms je sais que c'est le bon choix !!
 
6 Avril 2008
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LYON
Mon mr Big... Je crois que c'est tout à fait le type d'histoire à laquelle tu penses, Catatonic...
J'avais 15 ans. Lui, un peu plus, mais peu importe. Je vais essayer de ne pas mettre assez de détails pour éviter que l'on ne nous reconnaisse, qu'il ne me reconnaisse. J'expliquerai après. J'ai 22 ans maintenant.
On était amenés à se croiser régulièrement, plusieurs fois par semaine. Je l'avais remarqué, il était comme un rêve éveillé pour moi qui venait de découvrir le monde, à travers le lycée loin de mon petit village et de mes anciens amis, à travers la musique rock- et surtout l'esprit qui va avec- et à travers les manifestations suivant le passage de Jean-Marie Le Pen au second tour de la présidentielle, moment auquel j'ai découvert la joie et l'horreur de l'école buissonnière.
Je l'avais remarqué donc. Lui aussi. Un jour, il m'a regardée, dans les yeux, fixement. Comme pour me lancer un défi. Que j'ai relevé. Je lui ai rendu son regard. Et vraiment, vraiment, c'est comme si on avait tous les deux compris et voulu au même moment ce que devrait être la suite des évènements. J'ai tout de suite eu peur, j'ai tout de suite adoré ça, j'ai tout de suite eu envie.
Un peu plus tard, il m'a abordée.

Après ça, le délire.
J'aurais (j'ai presque) foutu ma vie en l'air pour lui. Rien à foutre de rien. Peur au ventre à longueur de temps... Plus sommeil, plus concentrée, plus rien. Lui ou le désert.
Et les coïncidences se multiplient pour nous rapprocher.
Et les signes venant de lui sont de plus en plus clairs, et de plus en plus compliqués. On se cherche et on se fuit, et qui perd gagne. On veut et on veut pas.
Finalement, ce qui devait arriver arrive, et je me trouve dans un état très proche de la folie. C'est une obsession... Pourtant c'est décevant- et je pense "je suis décevante". Et ça se termine, très vite, trop vite. Pas le temps de m'aperçevoir que ce qui est décevant, c'est lui. Qu'il a fuit pour ça. Que son délire est à la fois plus petit et plus grave que le mien- il a mené le jeu, je l'ai suivi. J'ai été naïve, certes, mais lui a été incapable de se montrer sous son vrai jour. Que, bien sûr, je devinais largement, et que j'aimais. J'aimais ses raisons de jouer son jeu, pas le jeu en lui-même...

Je n'ouvre pas la bouche pendant 3 jours quand il me quitte, ou je pleure.
Pendant de longs mois je l'évite, quitte à lourdement compliquer ma vie. Je ne supporte pas que quiconque le connaissant ne me voit. Je m'en veux de ne pas m'être défendue, d'avoir accepté ce jeu, de ne pas m'être respectée, de ne pas l'avoir forcé à le faire. C'est très, très, très dur, longtemps.
Quand ça va mieux... Le revoilà. Une soirée chez son voisin, à laquelle il apprend que je suis: le voilà à la porte, m'attendant dehors. Panique à bord, et jeu avec mes nerfs toute la soirée. Je résiste du mieux que je peux. Je le veux toujours lui, mais pas son jeu. Je ne peux pas comprendre qu'il ne peut pas arrêter de jouer.
On se revoit donc, je rencontre ses amis.
Il joue toujours, et ne veut pas montrer de sentiments, mais devant ses amis, sains et sincères, eux,le jeu est moins violent. L'un de ses amis finit par, disons, me montrer de l'intérêt et je m'y trouve sensible :o.
Qu'en dis monsieur? Les signes clairs-obscurs se multiplient, mais quand interrogé directement sur d'éventuels sentiments, mossieur répond " [mon nom] sort avec mon meilleur ami", avec un air à la kennedy déclarant "Ich bin ein Berliner". Une nuit au téléphone avec Miranda en résulte, bien entendu.

L'ami et moi, ça ne dure pas. Ce qui m'a brisée lorsque Mr Big m'a quitté n'en finit pas de me hanter, par contre, et dépasse amplement le cadre de notre relation. L'important n'est pas ce qu'il a fait, bien que je finirais par voir beaucoup plus clair dans son jeu, mais comment j'ai réagi. Je ne m'en remets pas. Enfin, si, mais non sans gros heurts. Au cours de ce processus, pendant lequel, malgré la connaissance qu'il en a, Mr Big ne daigne pas descendre de ses grandes chimères. Presque fier d'être la cause officielle à tout ça, du moins d'en marquer le début. Son numéro de téléphone, son adresse finissent par passer à la poubelle. Pas parce qu'un trait est tiré, mais parce que la tentation est toujours là, et que je ne suis pas sûre d'être capable de résister. C'est incroyable, d'ailleurs, mais si. Toujours, malgré tout.

ça fait 5 ans qu'on ne se voit plus. Quand je le croise dans la rue, je me cache. J'explique pourquoi juste après.
Je vis avec un zhomme a-do-ra-ble, respectueux, sans perversité (si c'est possible), qui assume ses faiblesses, type de personnalité qu'il m'a fallut un temps fou pour remarquer et aimer, d'ailleurs. Et ne voilà pas que Mossieur m'appelle, un soir d'hiver. Où je suis seule chez moi. Et ose parler tranquillement d'aller boire un café, parler du bon vieux temps. Fureur (rentrée). Parce qu'il n'a pas saisi que je ne voulais plus JAMAIS, jamais avoir affaire à lui. Parce qu'il ne me respecte toujours pas, dans cette décision, tacite, certes, mais assez claire- je veux dire, on s'est croisés à tout bout de champ pendant 2 ans, et soudain, incroyable, on ne s'aperçoit même plus, pendant 5 ans: comment est-ce possible? Je ne veux plus te voir, ducon.

Je ne veux plus te voir parce que je ne veux rien te montrer de ce que tu m'inspires. Parce que tu t'es toujours nourri des sentiments positifs ou négatifs que tu m'inspirais et que je te montrais, et que je ne te donnerais plus ce plaisir. Donc tu ne verras plus rien, donc tu ne me verras plus.
Voilà. Pourtant il est toujours question de maîtrise de soi. Non, parce que vous savez quoi? J'ai été tentée de le croire, de croire qu'on pouvait boire un café ensemble, parler du bon vieux temps, que peut être je verrais la personne que je n'avais jamais réussi à forcer d'ôter son masque. C'est dinque.

Il faut dire qu'en même temps, je lui dois beaucoup, je lui dois de m'être éveillée à certaines choses qui m'accompagneront toute ma vie- et j'ai une chance immense par rapport à lui, je suis capable d'aborder ces choses là, et beaucoup d'autres, avec authenticité. C'est ce qui lui manque, je crois, toujours, pour en tirer ce qu'il y a réellement à en tirer- et bon, de la vie en général. C'est lui le plus malheureux des deux, depuis le début, je crois. Les hommes manipulateurs sont malheureux. Mais ça n'est pas une excuse, y a plein de gens malheureux qui ne ressentent pas le besoin de briser les autres pour se sentir mieux.
 
22 Octobre 2006
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Espagne
J'ai eu deux Mr Big, enfin deux histoires qui m'ont fait vraiment du mal.

La première. Je parlais souvent avec un copain (au début c'était juste une connaissance) sur MSN, le courant passait très bien entre nous, mais était donné que l'on se parlait juste sur MSN (même si on se connaissait par le collège) un jour on a décidé de se voir en dehors. Là l'ambiance était vraiment électrique (dans le bon sens) Cela nous a beaucoup rapproché. Sur MSN, les "je t'adore" se sont vite transformés en "je t'aime". Un jour où l'on s'était engueulé (pour une connerie en plus...) il a avoué à une copine à moi qu'il pensait être amoureux de moi, mais je n'étais pas censée être au courant. Une autre fois où on s'est vu, on était dans les bras l'un de l'autre, et on s'est embrassé et je lui ai dit que je ne pouvais pas, que je l'aimais, mais je ne voulais pas sortir avec lui... Oui c'est bizarre, mais je ne veux pas vous dire la raison pour laquelle je ne voulais pas sortir avec lui. Je lui ai fait la même chose deux fois : s'embasser et après "Non je ne veux pas". La deuxième il m'a engueulé parce qu'il en avait marre, que je ne savais pas ce que je voulais. Oui c'est vrai, je ne savais pas ce que je voulais... On ne s'est plus parlé pendant 3 ou 4 mois, quand on se voyait à l'école on se regardait mal, et si j'avais le malheur de parlé avec un mec, là il me fusillait du regard.
Après on s'est reparlé, on est redevenu amis on est toujours très proche, mais on a jamais reparlé de ces deux fois là, car on était très amoureux et cela nous a fait beaucoup de mal à l'un comme à l'autre. Cette histoire était il y a un peu plus de trois ans, et à chaque fois qu'on se voit il y a toujours un truc entre nous. Hier soir encore, je l'ai eu au téléphone on est resté plus d'une heure et à chaque fois c'est comme ça, et on a un tas de chose à se raconter. On peut se dire n'importe quoi on sait que l'autre ne nous jugera pas.


Mon deuxième Big. On est sorti ensemble, mais en fait en y repensant c'est comme raconte Florence Foresti : moi j'étais ensemble à fond, mais lui beaucoup moins que moi... Du jour au lendemain, je n'ai plus eu de nouvelles, ou très rarement, et après il m'a largué et m'a dit que s'il ne me donnait plus de nouvelles, c'était juste pour "me préparer"... Sympa ! Je l'ai oublié très longtemps après : je l'appelais souvent, je lui envoyais des messages pour savoir si on pouvait se voir, comment ça allait et tout ça. On s'est revu en boîte, et là je lui ai avoué que je pensais toujours à lui, que je ne l'avais pas oublié, que je voulais qu'on resorte ensemble, et on est sorti ensemble. Je devais allé le voir dans son appart (parce que depuis il avait déménagé, il était parti faire ses études à environ 150/200Km de la ville où on habitait). Ce week-end là, une copine m'avait invité à aller avec d'autres copines passer le week-end, car elle aussi avait déménagé à plus de 200Km (mais dans l'autre sens). Du coup, j'ai dû entre une copine que je n'avais pas vu depuis presque un an, et une histoire dont je savais qu'elle ne durerait pas très longtemps, j'ai choisi la copine. Il m'a refait le même coup, c'est à dire plus de nouvelle. J'ai mis quand même du temps à m'en remettre.
Un jour j'étais à boire un verre avec une copine sur une place où tous ceux de ma ville vont, et comme par hasard il était juste derrière moi, mais je ne l'avais pas vu. La copine avec qui j'étais me dit (exprès puisqu'elle l'avait vu) :
" - Maintenant tu t'en fous ou quoi de Charly ?
- (Moi) Bah oui carrément, ce n'est qu'un pauvre con, il a été méchant avec moi, lâche, il ne m'a jamais parlé franchement : c'est un enculé !!"
10/15 minutes plus tard on s'en va et au moment de prendre ma veste qui était sur le dossier de la chaise, je le vois, il m'a bien vu puisqu'on s'est regardé droit dans les yeux. Je suis restée conne sur le coup, mais après j'étais bien contente. Même si il s'en foutait de moi, je ne pense pas qu'il ait bien pris ce que j'avais dit. Se faire traiter de con et d'enculé dans la même phrase, ça ne fait pas forcément plaisir !


J'ai eu d'autres copains, mais ils ne m'ont pas fait souffrir donc ça ne sert à rien que j'en parle !
Depuis la deuxième histoire, c'est à dire un an (la deuxième fois que l'on est sorti ensemble c'était il y a un peu plus d'un an) je n'ai pas eu d'autres copains. Je n'ai pas trouvé l'alchimie, et je n'ai pas envie de me faire ramasser à la petite cuiller à cause d'un mec. Du coup je suis comme une conne sans copain à me faire chier. Ca me fait d'autant plus chier quand j'entend que ma petite cousine qui a 13 ou 14ans ne va pas en vacances avec ma tante (sa grand-mère) car elle a un copain. J'ai bientôt 18 ans...
Et puis le truc qui fait bien chier c'est les " Pourquoi tu n'as pas de copain?" de la part de ma famille, car je n'ai jamais voulu présenter mon prétendant tant que ça n'était pas sérieux. Je pense qu'il croit que je n'ai jamais eu de copain. Bref on s'en fout, je m'écarte du sujet...
Désolée pour le pavé...
 
14 Novembre 2007
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marignane
Mon "Mien" eest dans ma classe,j'avais déja flashé sur lui en début d'année eet lui aussi là première semaine de cours.Il mla pas dit...Donc voilà après il l'a su fin TOUT LE COLLEGE l'a su.EEt aussi j'ai découvert qu'il habite a meme pas 50 mètres de chez moi....Fin c compliqué on habite dans une rue ou ya plein d'allées bah ya une alée entre les notres^^
Mais il ma di texto qu'il voulait pas sortir avec moi donc...
VoILZA
 
7 Juillet 2008
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amiens
Mon Mr Big à moi sa fera 7 ans en décembre qu'il est avec moi. J'avais 15 ans et lui 19 ans et depuis on ne s'est pas laché! Je l'aime de plus en plus chaque jour et je suis sûre que c'est l'homme de ma vie!
 
22 Novembre 2010
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La Roche sur Foron
Mon Mr-Big à moi n'est plus d'actualité, mais en lisant le topic, je l'ai tellement reconnut dedans, qu'il fallait que je partage.
Ralala, ce type m'a "hanté" deux ans, deux longues années ou je ne voyais que par lui. On a couché une fois ensemble, puis les choses on fait que on a pas directement poursuivit, et quand on y était plus ou moins décidé, les choses on fait que non. Il s'était finalement trouvé une fille, mais "revenait" plus ou moins, m'écrivait, souhaitait me voir pour mieux repartir après, et je m'accrochai alors constamment. Et puis le jour ou depuis de longs mois je n'avais plus eut de nouvelles, ou j'avais réussis à (je croyais) l'oublier, et entamais une relation avec un garçon qui me plaisait beaucoup, il a fallut qu'il retombe sur ma route, j'ai lâché "l'autre" pour lui sans me poser de question, et finalement ça n'aura duré que 3 semaines au total. Mais au final j'ai put me rendre compte qu'il n'était pas fait pour moi, et que c'était surtout phyisque et son mystère qui m'attirait. J'ai par contre ensuite revu "l'autre", qui n'a jamais été le même que celui que j'avais connut au départ (compréhensible). J'ai beaucoup souffert de ses situations, mais aujourd'hui je me dis que si je ne serai pas passé par là, je n'aurai certainement pas rencontré celui qui me rend vraiment heureuse aujourd'hui, et qui m'a fait réellement comprendre le sens du mot "aimer".
 

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