@Imago Après l'avantage c'est que c'est pas une fiction, tu peux très bien lire un chapitre et y revenir plus tard, faire les exercices ou non, etc. J'espère que ça t'apaisera et te donnera des clés
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@-June- C'est fait pour ça les fêtes ! Et puis tu me fais marrer avec tes 2/3 chocolats
. Ici, sur les vacances, à deux on a défoncé deux boites de 500g de Jeff de Bruges + j'ai descendu en 2 soirs une boite de 350g. Et je mange du Nutella tous les matins actuellement
. Et des desserts de fête évidemment. Alors bon
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Et je pense profondément que c'est comme ça qu'il faut vivre les fêtes (si on en ressent l'envie). Cette année, je ne me suis rien refusée. Même sans faim (qu'est-ce que c'est déjà ça ?
), même les lendemains de repas de fête. J'ai envie de manger 2 viennoiseries couvertes de nutella alors que je me suis fait une pizza et un fondant au chocolat la veille ? Pas de problème. J'ai envie de tartines de nutella alors que la veille c'était le diner de réveillon ? Challenge accepted
. (La vraie question est : d'où me vient cette envie quotidienne de nutella alors que c'est pas trop ma came ?
).
Je suis à ce rythme depuis le 22 décembre, j'ai pas fait une seule séance de sport et je fais des nuits de 12 heures (chose qui ne m'arrive jamais). Je me pèse régulièrement juste pour voir (pour la science, j'aime bien les expériences
), j'atteins des sommets non atteints depuis 3 ans et ça me fait marrer
. Parce que je fais confiance à mon corps.
Je fais bien, parce que je sens depuis hier que ça se calme (bon, moules frites à midi quand même, faut pas déconner). Je recommence à avoir envie de bouger, mes envies de gras/sucre diminuent, et mon corps ben, il est toujours là en un peu plus moelleux
.
Pour en revenir au chocolat, j'avais aussi l'impression quand je dévorais nos boites que j'étais innarrêtable (et peut-être que si j'en avais sous le nez j'en mangerais, no se), mais tu vois c'est passé, j'en ai même plus envie. Et ça, c'est parce que je suis allée au bout de mon envie.
Donc tout va bien, fais-toi confiance !!
Ca me fait penser qu'on a pris quelques photos à Noël, et on a aussi feuilleté des albums en famille. Et mon dieu, quelle différence. Sans parler de poids, on s'en fout. Mais quand je compare mon air à celui que j'avais il y a quelques années sur les photos, j'ai envie de pleurer sur celle que j'étais. Je suis si triste putain. Mon regard est si... je sais pas comment dire, j'ai l'impression de voir quelqu'un sur un bûcher dans mes yeux. Evidemment, tout n'était pas lié à mon poids (qu'un symptôme), mais même si parfois je regrette un peu mes mensurations, je ne regrette absolument pas cette époque. Je suis tellement plus épanouie, vivante, aujourd'hui
Donc, je vous souhaite pour 2018 plein de bienveillance à votre égard, d'apprendre à vous faire confiance et d'avancer avec votre corps et non contre lui.
, et vous faire un retour sur Le poids un enjeu féministe (poke 
)
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