100drillon a dit :
Sauf en France, les malheureux deviennent des assistés.
J'ai entendu pas mal de fois le mot assistanat ce mot continue à m'énerver au plus haut point.
C'etait à Seguela qu'il avait demandé au début je crois.
Sarkozy (interview TV du 25/04/08)
- Initiateur de la discussion 100drillon
- Date de début
Sauf en France, les malheureux deviennent des assistés.
J'ai entendu pas mal de fois le mot assistanat ce mot continue à m'énerver au plus haut point.
C'etait à Seguela qu'il avait demandé au début je crois.
Moossye a dit :
J'ai peur de dire une bêtise mais je crois que Seguela ne s'occupe que de la com pour la gauche...
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EDIT: Petite recherche (Vive Google...)
Voilà j'ai trouvé! Son nouveau directeur de com est: Thierry Saussez
Avant oui, mais ça a fait polémique car il avait abandonné la gauche pour rejoindre Sarkozy.
Mais je crois que c t au tout début.
http://jeanmarcmorandini.tele7.fr/article-5072.html
Et apparemment c t juste un vote et pas de participation à la com.
Mais je crois que c t au tout début.
http://jeanmarcmorandini.tele7.fr/article-5072.html
Et apparemment c t juste un vote et pas de participation à la com.
Bon alors j'ai pas regardé non plus, mais j'ai lu son discours en quasi-intégralité, et ai vu des extraits de l'émission.
Pas sûre cela dit que ça ait convaincu les foules. C'était quand même un peu gros.
- sur le pouvoir d'achat : "Je rendrai aux Français du pouvoir d'achat en obtenant soit la baisse des prix, soit la maîtrise de l'augmentation." Bon comme ça c'est clair : c'est sur les prix que ça se joue, pas sur les salaires (à part bien sûr pour ceux qui vont travailler plus pour gagner plus).
Et parlons-en tiens, de son travailler plus, avec l'éxonération de charges et d'impôt sur le revenu des heures sup'. Bon pour les entreprises c'est plutôt sympa (on n'embaûche pas ET on paie pas plus de charges). Mais pour les salariés... Un salarié qui gagne le smic ne paie quasi rien en impôt sur le revenu, alors qu'un salarié beaucxoup plus aisé aurar ses revenus supplémentaires imposés à 30 ou 40%. Ainsi, cette mesure sur les heures sup', c'est tout bénéf' pour ceux qui sont déjà des favorisés. Pour les autres, ça ne changera pas grand-chose...
- le paquet fiscal : bonne tentative pour justifier le coup du bouclier fiscal. Pas sûr que ça ait convaincu grand-monde.
- le revenu de solidarité active : il a promis de le créer, youpiiii ! La contrepartie ? réduire la prime pour l'emploi à peau de chagrin. Et oui, fallait pas rêver non plus...
- je ne discuterai même pas les chiffres du chômage, c'est une triste blague. Faire baisser artificiellement ces chiffres par le biais des radiations d'une partie des chômeurs des listes de l'ANPE (qui deviennent alors des inactifs, et non plus des chômeurs), c'est sale.
- sur les sans-papiers, ce con a confondu naturalisation et régularisation. Forcément, mieux vaut faire croire aux gens que ces affreux gauchistes demande à ce que n'importe qui puisse avoir la nationalité française, ça les décrédibilise encore un peu plus. Ou alors cette erreur était involontaire (et là c'est quand même compliqué...) ?
Bon, je continuerai plus tard...
- sur la forme :
Pas sûre cela dit que ça ait convaincu les foules. C'était quand même un peu gros.
- sur le fond :
- sur le pouvoir d'achat : "Je rendrai aux Français du pouvoir d'achat en obtenant soit la baisse des prix, soit la maîtrise de l'augmentation." Bon comme ça c'est clair : c'est sur les prix que ça se joue, pas sur les salaires (à part bien sûr pour ceux qui vont travailler plus pour gagner plus).
Et parlons-en tiens, de son travailler plus, avec l'éxonération de charges et d'impôt sur le revenu des heures sup'. Bon pour les entreprises c'est plutôt sympa (on n'embaûche pas ET on paie pas plus de charges). Mais pour les salariés... Un salarié qui gagne le smic ne paie quasi rien en impôt sur le revenu, alors qu'un salarié beaucxoup plus aisé aurar ses revenus supplémentaires imposés à 30 ou 40%. Ainsi, cette mesure sur les heures sup', c'est tout bénéf' pour ceux qui sont déjà des favorisés. Pour les autres, ça ne changera pas grand-chose...
- le paquet fiscal : bonne tentative pour justifier le coup du bouclier fiscal. Pas sûr que ça ait convaincu grand-monde.
- le revenu de solidarité active : il a promis de le créer, youpiiii ! La contrepartie ? réduire la prime pour l'emploi à peau de chagrin. Et oui, fallait pas rêver non plus...
- je ne discuterai même pas les chiffres du chômage, c'est une triste blague. Faire baisser artificiellement ces chiffres par le biais des radiations d'une partie des chômeurs des listes de l'ANPE (qui deviennent alors des inactifs, et non plus des chômeurs), c'est sale.
- sur les sans-papiers, ce con a confondu naturalisation et régularisation. Forcément, mieux vaut faire croire aux gens que ces affreux gauchistes demande à ce que n'importe qui puisse avoir la nationalité française, ça les décrédibilise encore un peu plus. Ou alors cette erreur était involontaire (et là c'est quand même compliqué...) ?
Bon, je continuerai plus tard...
- éducation : "nous avons 1 100 000 personnes au ministère de l'éducation nationale, 900 000 enseignants. Nous n'avons pas les résultats à la hauteur de l'effort financier engagé." Rentabilité de l'enseignement, ou l'éducation nationale vue comme une entreprise. Sympathique. Et on justifie les suppressions de postes par la baisse (qui n'est que conjoncturelle) du nombre d'élèves dans le secondaire. Sauf que dans 3 ans, la tendance va de nouveau s'inverser. C'est malin.
Le plus effrayant, il me semble, sont les réformes annoncées. Surtout que, quand on voit les méthodes de "négociation" du gouvernement, on sait bien que cela se fera sans les principaux concernés : les profs et les élèves. Moi je dis, c'est vrai qu'on fait beaucoup d'heures. Faut-il pour autant supprimer des matières ou alléger encore un peu plus les programmes ? Je ne pense pas, non. Et il y aurait peut-être moins de temps perdu si les classes étaient moins chargées. Plus facile d'avoir le calme, l'attention des jeunes, quand on est 20, 25 max, plutôt que 30. Et oui, alléger les classes, monsieur le Président, permettrait de faire mieux et plus vite. N'est-ce pas ce que vous souhaitez, plus de productivité : "Nous allons faire le choix de la qualité plutôt que le choix de la quantité. (?) Il y a des marges de productivité." ?
- retraite : pas de changement de ligne, on reste sur l'idée d'augmenter la durée de cotisation
Je passe sur les question de politique extérieure.
Bref, si il y a eu changement sur la forme, dans le fond rien de nouveau. On garde le cap des réformes. Si problèmes il y a eu, c'était à cause d'un défaut de communication, de manque de "pédagogie" (raaaah mais qu'est ce que je déteste ce mot dans la bouche d'un homme politique !). Pas de remise en cause des politiques menées, donc. Et tant pis si les Français ne sont pas satisfaits. Tant pis s'il n'y a eu aucun résultat. Un jour, les Français comprendront. Il a une vision, il n'y a "pas d'alternative possible". Il est notre lumière, à nous qui ne comprenons rien (et surtout pas sa politique). Toujours les slogans, les amalgames, les raccourcis pratiques... Rien de neuf, donc.
Le plus effrayant, il me semble, sont les réformes annoncées. Surtout que, quand on voit les méthodes de "négociation" du gouvernement, on sait bien que cela se fera sans les principaux concernés : les profs et les élèves. Moi je dis, c'est vrai qu'on fait beaucoup d'heures. Faut-il pour autant supprimer des matières ou alléger encore un peu plus les programmes ? Je ne pense pas, non. Et il y aurait peut-être moins de temps perdu si les classes étaient moins chargées. Plus facile d'avoir le calme, l'attention des jeunes, quand on est 20, 25 max, plutôt que 30. Et oui, alléger les classes, monsieur le Président, permettrait de faire mieux et plus vite. N'est-ce pas ce que vous souhaitez, plus de productivité : "Nous allons faire le choix de la qualité plutôt que le choix de la quantité. (?) Il y a des marges de productivité." ?
- retraite : pas de changement de ligne, on reste sur l'idée d'augmenter la durée de cotisation
Je passe sur les question de politique extérieure.
Bref, si il y a eu changement sur la forme, dans le fond rien de nouveau. On garde le cap des réformes. Si problèmes il y a eu, c'était à cause d'un défaut de communication, de manque de "pédagogie" (raaaah mais qu'est ce que je déteste ce mot dans la bouche d'un homme politique !). Pas de remise en cause des politiques menées, donc. Et tant pis si les Français ne sont pas satisfaits. Tant pis s'il n'y a eu aucun résultat. Un jour, les Français comprendront. Il a une vision, il n'y a "pas d'alternative possible". Il est notre lumière, à nous qui ne comprenons rien (et surtout pas sa politique). Toujours les slogans, les amalgames, les raccourcis pratiques... Rien de neuf, donc.
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