Se changer et changer sa vie !
- Initiateur de la discussion Leech
- Date de début
@Rocksteady et @Solal Merci pour vos réponses 
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@Noctali : Attention, gros pavé sur la perte d'un animal. Je sais pas si ce sera réconfortant ou déprimant. C'est pas mon point fort. 
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@Beki
Merci pour ton message Vous aviez l'air d'avoir une chouette relation. Personnellement, je ne pense pas que j'ai jamais eu une relation aussi "intense" avec mes animaux. J'ai déjà perdu deux chats dans le passé et je sais donc que je m'en remettrai "assez bien". (Je sais qu'il y aura un moment où je pourrai repenser à lui sans souffrir, normalement dans quelques mois).
Hier, j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps et j'ai fini par m'endormir épuisée, ça m'a fait du bien.
Bon, et puis, ce matin, je me suis réveillée complètement angoissée comme tous ces derniers matins. J'ai envie que cette panique passe... J'essaye de limiter les triggers, de bouger, de respirer calmement, de prendre l'air, mais jusqu'à présent, l'angoisse persiste. J'espère qu'elle va se lever bientôt, parce que c'est une sensation très désagréable.
Merci pour ton message
Vous aviez l'air d'avoir une chouette relation. Personnellement, je ne pense pas que j'ai jamais eu une relation aussi "intense" avec mes animaux. J'ai déjà perdu deux chats dans le passé et je sais donc que je m'en remettrai "assez bien". (Je sais qu'il y aura un moment où je pourrai repenser à lui sans souffrir, normalement dans quelques mois). Hier, j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps et j'ai fini par m'endormir épuisée, ça m'a fait du bien.
Bon, et puis, ce matin, je me suis réveillée complètement angoissée comme tous ces derniers matins. J'ai envie que cette panique passe... J'essaye de limiter les triggers, de bouger, de respirer calmement, de prendre l'air, mais jusqu'à présent, l'angoisse persiste. J'espère qu'elle va se lever bientôt, parce que c'est une sensation très désagréable.
Je ne sais pas si je suis sur le bon topic, mais il y a un truc qui m'agace et dont je n'arrive pas à me défaire, vous aurez peut-être des astuces Je suis doctorante donc je travaille en bibliothèque sur le mode "où je veux quand je veux" en principe, mais j'ai une obsession envahissante pour les horaires, je suis tout le temps stressée d'arriver trop tard le matin et de repartir trop tôt le soir, et ce même si j'ai fait ce que je voulais faire dans la journée 
J'essaie de me fixer des objectifs matériels plutôt que de me dire "je suis là de 9h à 18h aujourd'hui", mais malgré tout je continue à me sentir un peu coupable quand je pars tôt, alors que c'est justement ma chance normalement que de ne pas avoir à faire de présenteisme 
Je pense que c'est dû au fait que 1) mes proches ne font justement pas ce genre de boulot et ont des horaires précis (et en ce moment mon copain part très tard de son stage) et 2) j'ai l'impression que les autres doctorant.e.s que je connais restent tard le soir à la bibliothèque tous les jours ou presque, quand moi je pars généralement vers 17-18h. Au fond de moi je SAIS que si j'ai bien avancé et pris très peu de pauses (je déjeune seule en général et rapidement, et je fais des pauses très courtes), j'aurai travaillé plus entre 9h30 et 17h qu'entre 9h et 19h en faisant plein de pauses, mais je n'arrive pas à me sentir confiante
Est-ce que certain.e.s ici ont ça aussi/ont réussi à s'en affranchir ?
Je suis doctorante donc je travaille en bibliothèque sur le mode "où je veux quand je veux" en principe, mais j'ai une obsession envahissante pour les horaires, je suis tout le temps stressée d'arriver trop tard le matin et de repartir trop tôt le soir, et ce même si j'ai fait ce que je voulais faire dans la journée J'essaie de me fixer des objectifs matériels plutôt que de me dire "je suis là de 9h à 18h aujourd'hui", mais malgré tout je continue à me sentir un peu coupable quand je pars tôt, alors que c'est justement ma chance normalement que de ne pas avoir à faire de présenteisme Je pense que c'est dû au fait que 1) mes proches ne font justement pas ce genre de boulot et ont des horaires précis (et en ce moment mon copain part très tard de son stage) et 2) j'ai l'impression que les autres doctorant.e.s que je connais restent tard le soir à la bibliothèque tous les jours ou presque, quand moi je pars généralement vers 17-18h. Au fond de moi je SAIS que si j'ai bien avancé et pris très peu de pauses (je déjeune seule en général et rapidement, et je fais des pauses très courtes), j'aurai travaillé plus entre 9h30 et 17h qu'entre 9h et 19h en faisant plein de pauses, mais je n'arrive pas à me sentir confiante Est-ce que certain.e.s ici ont ça aussi/ont réussi à s'en affranchir ?
@Solal Je réfléchis, mais je ne pense pas avoir été dans cette situation. Par contre, je trouve ça super impressionnant que tu saches que tu as bien avancé! Moi j'étais plutôt du genre à faire des pauses et à culpabiliser, et donc à terminer de travailler super tard. Mais j'étais super impressionnée par les gens qui comme toi, arrivent à travailler efficacement!
@Noctali Merci ! 
C'est surtout que j'ai tellement envie de rentrer chez moi et de profiter de ma soirée, ça me sert de récompense pour bosser efficacement 
C'est surtout que j'ai tellement envie de rentrer chez moi et de profiter de ma soirée, ça me sert de récompense pour bosser efficacement
@Noctali
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@Noctali
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@CherryBlack et @Lenehän Merci beaucoup pour vos réponses 
C'est rassurant de lire que ça peut aller mieux.
C'est rassurant de lire que ça peut aller mieux.
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