Se changer et changer sa vie !
- Initiateur de la discussion Leech
- Date de début
J'ai envoyé un message à ma manager pour lui dire que je ne pourrais pas venir pendant quelques jours de plus, car mon pied droit s'est infecté et que je suis sous antibiotiques. Elle l'a lu mais pas de réponse, et je ne suis plus sur le rota, par contre ils ont embauché une nouvelle. Je ne sais pas si je dois en déduire que je suis virée?
@Bonney
Je n'ai pas de réponse à ta question, mais courage!
@Margot Et Sa Bulle
Mmh. Je dirais qu'en temps normal, ça ne devrait pas être la conclusion première. Mais vu que ça a l'air d'être des gens pas super professionnels: peut-être. Ça dépend aussi des termes de ton contrat, je suppose.
Je n'ai pas de réponse à ta question, mais courage!
@Margot Et Sa Bulle
Mmh. Je dirais qu'en temps normal, ça ne devrait pas être la conclusion première. Mais vu que ça a l'air d'être des gens pas super professionnels: peut-être. Ça dépend aussi des termes de ton contrat, je suppose.
Il y a eu des échanges si intéressants ces derniers jours ! 
@KrissdeValnor pour te tenir au courant (j'espère que ça ne t'embête pas
) : j'ai une bonne nouvelle qui confirme mon orientation pro nouvelle version et j'ai pu
, quel bonheur
@Margot Et Sa Bulle ça m'est arrivé aussi de me sentir derrière la vitre, plus exactement "dans la salle d'attente" en attendant quelque chose. Ca a toujours été mieux quand je commençais à faire quelque chose.
Pour me faire un cercle d'amis, pas de grand mystère de mon côté : je me suis inscrite à des activités locales, sur mes loisirs et / ou mes convictions. Le groupe d'écriture dont je faisais partir a éclaté avec les années (seules 3 personnes sont restées dans la ville d'origine - et pas moi), j'y ai pourtant rencontré une amie chère et l'un de mes témoins de mariage (les deux autres étant des amies de collège et de lycée).
Le fonctionnement (activité bénévole, challenges d'écriture donc qui nécessitent d'avoir une prise de courant pour l'ordinateur, étudiants avec peu de moyens) nous conduisait à souvent nous inviter les uns chez les autres. On poussait les murs, c'était chouette !
@Plummpy Elizabeth Gilbert (je crois) explique que le mythe de l'inspiration qui descend divinement sur un auteur l'agace beaucoup. Moi c'est le mythe du créateur qui m'énerve pro-fon-dé-ment. Ce n'est pas parce que tu ressembles à un comptable que tu écris des choses inintéressantes et le combo sidecut / mots-clés à la mode / style alternatif / piercings tatous partout ne fait pas de toi un bon créateur (c'est juste ton style, en fait).
Qu'est-ce que ce serait, un bon créateur ? Quelqu'un qui fait des choses "niche" ? Naomi Novik a les cheveux colorés mais ne les a pas eus tout le temps, Jonathan Stroud ressemble à monsieur tout le monde, Clémentine Beauvais ressemble un peu au cliché de la parisienne (mais je l'ADORE et je lui trouve une créativité folle !). Quelqu'un qui écrit beaucoup et publie ? Agatha Christie n'était pas précurseure en matière de mini-jupes.
Je n'écris plus de fiction en ce moment, mais j'en ai gardé un goût pour l'argumentation, un peu de planification, une capacité à taper très très vite sur un clavier. Je fais un peu d'aquarelle, beaucoup plus de cuisine, domaine dans lequel je me découvre créative (mon mari m'a connue comme sachant à peine couper une carotte).
C'est très difficile de voir si tu compares ton début au milieu ou à la fin de parcours artistique de quelqu'un. La moi d'il y a dix ans cuisinait mal, quand ses amis étaient parfois meilleurs. Après y avoir passé pas mal de temps, je sais que je suis "compétente" (je m'organise facilement en amont pour un repas complet, qui me laisse du temps avec mes invités) et devenue créative ("ce tiramisu sans oeufs aux fruits était pas mal, je vais tenter pistache / framboise la prochaine fois car ça marche bien pour d'autres recettes de desserts !
" ). Par contre je suis toujours nulle en couture, déso.
Je pensais avoir la souris, la tortue (à la rigueur, le tardigrade) comme animal-totem. Le temps passe, je ne suis pas la plus bavarde d'un open space mais je trouve une place. Je ne vais pas me métamorphoser pour dire que je crée, ou que je mérite de l'attention. J'apprends juste à m'autoriser plus d'excentricités (pour l'instant, le cap est de tenter de porter une robe avec des baskets, prise de risque mesurée donc
).
Essaie des trucs, tu apprendras forcément quelque chose ! Tant que tu ne veux pas finir danseuse étoile ou premier violon de Paris, que tu crées pour toi, ça ne vaut pas le coup de te limiter. L'idée que seuls les meilleurs peuvent s'exprimer s'impose avec une logique capitaliste (aidée par les réseaux sociaux) et déduire que si on est bon dans un domaine, on doit chercher à en vivre. On bénéficie déjà des bénéfices d'une activité créatrice pour sa santé mentale, son estime de soi, et c'est du temps de loisir, depuis quand ça devrait servir à quelque chose ?
PS : je ne sais pas situer le Mozambique sur une carte mais je prends n'importe qui
@LadyGrim
@Noctali quel glow up depuis des années, bravo !
(et quelle pertinence dans les conseils que tu donnes, wahou)
@Bonney
@KrissdeValnor pour te tenir au courant (j'espère que ça ne t'embête pas
) : j'ai une bonne nouvelle qui confirme mon orientation pro nouvelle version et j'ai pu
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@Margot Et Sa Bulle ça m'est arrivé aussi de me sentir derrière la vitre, plus exactement "dans la salle d'attente" en attendant quelque chose. Ca a toujours été mieux quand je commençais à faire quelque chose.
Pour me faire un cercle d'amis, pas de grand mystère de mon côté : je me suis inscrite à des activités locales, sur mes loisirs et / ou mes convictions. Le groupe d'écriture dont je faisais partir a éclaté avec les années (seules 3 personnes sont restées dans la ville d'origine - et pas moi), j'y ai pourtant rencontré une amie chère et l'un de mes témoins de mariage (les deux autres étant des amies de collège et de lycée).
Le fonctionnement (activité bénévole, challenges d'écriture donc qui nécessitent d'avoir une prise de courant pour l'ordinateur, étudiants avec peu de moyens) nous conduisait à souvent nous inviter les uns chez les autres. On poussait les murs, c'était chouette !
@Plummpy Elizabeth Gilbert (je crois) explique que le mythe de l'inspiration qui descend divinement sur un auteur l'agace beaucoup. Moi c'est le mythe du créateur qui m'énerve pro-fon-dé-ment. Ce n'est pas parce que tu ressembles à un comptable que tu écris des choses inintéressantes et le combo sidecut / mots-clés à la mode / style alternatif / piercings tatous partout ne fait pas de toi un bon créateur (c'est juste ton style, en fait).
Qu'est-ce que ce serait, un bon créateur ? Quelqu'un qui fait des choses "niche" ? Naomi Novik a les cheveux colorés mais ne les a pas eus tout le temps, Jonathan Stroud ressemble à monsieur tout le monde, Clémentine Beauvais ressemble un peu au cliché de la parisienne (mais je l'ADORE et je lui trouve une créativité folle !). Quelqu'un qui écrit beaucoup et publie ? Agatha Christie n'était pas précurseure en matière de mini-jupes.
Je n'écris plus de fiction en ce moment, mais j'en ai gardé un goût pour l'argumentation, un peu de planification, une capacité à taper très très vite sur un clavier. Je fais un peu d'aquarelle, beaucoup plus de cuisine, domaine dans lequel je me découvre créative (mon mari m'a connue comme sachant à peine couper une carotte).
C'est très difficile de voir si tu compares ton début au milieu ou à la fin de parcours artistique de quelqu'un. La moi d'il y a dix ans cuisinait mal, quand ses amis étaient parfois meilleurs. Après y avoir passé pas mal de temps, je sais que je suis "compétente" (je m'organise facilement en amont pour un repas complet, qui me laisse du temps avec mes invités) et devenue créative ("ce tiramisu sans oeufs aux fruits était pas mal, je vais tenter pistache / framboise la prochaine fois car ça marche bien pour d'autres recettes de desserts !
" ). Par contre je suis toujours nulle en couture, déso.Je pensais avoir la souris, la tortue (à la rigueur, le tardigrade) comme animal-totem. Le temps passe, je ne suis pas la plus bavarde d'un open space mais je trouve une place. Je ne vais pas me métamorphoser pour dire que je crée, ou que je mérite de l'attention. J'apprends juste à m'autoriser plus d'excentricités (pour l'instant, le cap est de tenter de porter une robe avec des baskets, prise de risque mesurée donc
).Essaie des trucs, tu apprendras forcément quelque chose ! Tant que tu ne veux pas finir danseuse étoile ou premier violon de Paris, que tu crées pour toi, ça ne vaut pas le coup de te limiter. L'idée que seuls les meilleurs peuvent s'exprimer s'impose avec une logique capitaliste (aidée par les réseaux sociaux) et déduire que si on est bon dans un domaine, on doit chercher à en vivre. On bénéficie déjà des bénéfices d'une activité créatrice pour sa santé mentale, son estime de soi, et c'est du temps de loisir, depuis quand ça devrait servir à quelque chose ?
PS : je ne sais pas situer le Mozambique sur une carte mais je prends n'importe qui
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@LadyGrim
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@Noctali quel glow up depuis des années, bravo !
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@Bonney
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Coucou tout le monde. Petite question: pensez-vous qu'il faille renoncer à faire un métier qui nous intéresse au profit d'un métier plus stable mais que l'on aime pas plus que ça?
Beaucoup de mes proches me disent qu'il faut arrêter de rêver, que la vraie vie, c'est d'avoir un salaire, peu importe le travail que l'on fait, mais... ben j'avoue que je n'arrive pas à m'imaginer avoir la boule au ventre et la nausée chaque matin en me réveillant, puis priez pour que la journée soit bientôt terminée jusqu'à l'âge de la retraite...
Beaucoup de mes proches me disent qu'il faut arrêter de rêver, que la vraie vie, c'est d'avoir un salaire, peu importe le travail que l'on fait, mais... ben j'avoue que je n'arrive pas à m'imaginer avoir la boule au ventre et la nausée chaque matin en me réveillant, puis priez pour que la journée soit bientôt terminée jusqu'à l'âge de la retraite...
Dernière édition :
@Margot Et Sa Bulle Je dirais que ça dépend de la relation que tu as avec le travail et de ce que tu en attends. Difficile comme question.
Pour ma part, ce n'est qu'un moyen de payer mes factures, aucun métier ne m'intéresse au point de me donner envie d'y aller plusieurs heures par jour, au moins 5 jours par semaine, toute ma vie (en tout cas, je n'ai pas encore trouvé !) mais vu qu'il faut gagner des sous ben voilà. Clairement, si je pouvais ne pas travailler, je ne travaillerais pas.
Si toi ça te rend malade rien que d'y penser, effectivement, ce n'est peut-être pas un bon plan de partir sur un métier qui ne te plait pas un minimum (en tout cas, pas sur du long terme). Après, te lancer dans un truc ne t'empêche pas de bifurquer vers un autre en cours de route. Tu peux bosser pour payer tes factures tout en continuant à chercher le boulot de tes rêves (ou en créant ton propre emploi si l'activité s'y prête).
Après faut voir si le projet est "réaliste". Si c'est de devenir astronaute alors que tu as déjà 60 ans, une mauvaise condition physique et que tu ne parles ni russe ni anglais, ça parait mal parti. On peut quand même trouver quelque chose d'approchant, dans le même domaine. Astronaute est compromis mais l'anglais et le russe s'apprennent, on peut travailler dans un centre spatiale par exemple ! (je caricature à 100%, je ne te connais absolument pas).
Je pense que si tu as la chance d'avoir envie de faire un métier en particulier et que c'est quelque chose de réaliste (en gros, s'il ne s'agit pas d'aller compter les pâquerettes en haut de l'Everest, encore que... ), ma foi, ça se tente. En gardant à l'esprit que le chemin peut être long, qu'il faudra peut-être parfois s'en écarter, qu'il faudra peut-être faire des concessions.
Bref, beaucoup de blabla pour dire "p'têt ben qu'oui, p'têt ben qu'non" !
Pour ma part, ce n'est qu'un moyen de payer mes factures, aucun métier ne m'intéresse au point de me donner envie d'y aller plusieurs heures par jour, au moins 5 jours par semaine, toute ma vie (en tout cas, je n'ai pas encore trouvé !) mais vu qu'il faut gagner des sous ben voilà. Clairement, si je pouvais ne pas travailler, je ne travaillerais pas.
Si toi ça te rend malade rien que d'y penser, effectivement, ce n'est peut-être pas un bon plan de partir sur un métier qui ne te plait pas un minimum (en tout cas, pas sur du long terme). Après, te lancer dans un truc ne t'empêche pas de bifurquer vers un autre en cours de route. Tu peux bosser pour payer tes factures tout en continuant à chercher le boulot de tes rêves (ou en créant ton propre emploi si l'activité s'y prête).
Après faut voir si le projet est "réaliste". Si c'est de devenir astronaute alors que tu as déjà 60 ans, une mauvaise condition physique et que tu ne parles ni russe ni anglais, ça parait mal parti. On peut quand même trouver quelque chose d'approchant, dans le même domaine. Astronaute est compromis mais l'anglais et le russe s'apprennent, on peut travailler dans un centre spatiale par exemple ! (je caricature à 100%, je ne te connais absolument pas).
Je pense que si tu as la chance d'avoir envie de faire un métier en particulier et que c'est quelque chose de réaliste (en gros, s'il ne s'agit pas d'aller compter les pâquerettes en haut de l'Everest, encore que... ), ma foi, ça se tente. En gardant à l'esprit que le chemin peut être long, qu'il faudra peut-être parfois s'en écarter, qu'il faudra peut-être faire des concessions.
Bref, beaucoup de blabla pour dire "p'têt ben qu'oui, p'têt ben qu'non" !
@Margot Et Sa Bulle
Ça dépend de beaucoup de paramètres. Premièrement, certaines personnes parviennent beaucoup mieux à vivre dans une certaine instabilité que d'autres. Je vois par exemple des gens qui travaillent en CDD par choix, des gens qui changent de boîte tous les quatre matins, des gens qui se lancent dans l'entreprenariat sans grand filet de sécurité. Et d'autres préfèrent un CDD, être fonctionnaire, grader dans la même entreprise pendant des années.
Ensuite, ça dépend d'à quel point le métier souhaité est pas stable et à quel point tu détestes l'autre métier. Tu ne seras jamais bonne dans un métier que tu détestes et qui te rend malade. Mais tu auras aussi du mal à offrir des prestations de qualité si tu est stressée par le fait de ne pas pouvoir payer ton loyer et tes courses.
Finalement, je pense qu'un compromis est souvent possible. Par exemple, est-ce que tu pourrais envisager de travailler à mi-temps dans un job alimentaire en attendant d'avoir assez de clients pour ton métier souhaité? Et peut-être que certains jobs alimentaires ne sont pas si horribles pour toi que la restauration. Essaye d'autres choses, peut-être moins stressantes, moins en contact avec des inconnus. Tu peux tenter le test de l'ikigai pour trouver des pistes, mais peut-être aussi te rapprocher d'un centre d'orientation professionnelle et faire quelques tests pour peut-être trouver un métier assez stable, qui ne te plombe pas au quotidien.
Ça dépend de beaucoup de paramètres. Premièrement, certaines personnes parviennent beaucoup mieux à vivre dans une certaine instabilité que d'autres. Je vois par exemple des gens qui travaillent en CDD par choix, des gens qui changent de boîte tous les quatre matins, des gens qui se lancent dans l'entreprenariat sans grand filet de sécurité. Et d'autres préfèrent un CDD, être fonctionnaire, grader dans la même entreprise pendant des années.
Ensuite, ça dépend d'à quel point le métier souhaité est pas stable et à quel point tu détestes l'autre métier. Tu ne seras jamais bonne dans un métier que tu détestes et qui te rend malade. Mais tu auras aussi du mal à offrir des prestations de qualité si tu est stressée par le fait de ne pas pouvoir payer ton loyer et tes courses.
Finalement, je pense qu'un compromis est souvent possible. Par exemple, est-ce que tu pourrais envisager de travailler à mi-temps dans un job alimentaire en attendant d'avoir assez de clients pour ton métier souhaité? Et peut-être que certains jobs alimentaires ne sont pas si horribles pour toi que la restauration. Essaye d'autres choses, peut-être moins stressantes, moins en contact avec des inconnus. Tu peux tenter le test de l'ikigai pour trouver des pistes, mais peut-être aussi te rapprocher d'un centre d'orientation professionnelle et faire quelques tests pour peut-être trouver un métier assez stable, qui ne te plombe pas au quotidien.
Merci pour ta réponse, je vais voir pour faire un bilan de compétence, et je suis toujours en attente d'une réponse de la MDPH pour mes troubles autistiques
Merci pour ta réponse! En fait, j'ai pour projet de devenir traductrice ( arabe-espagnol-russe), rien de particulièrement irréaliste, mais beaucoup de mes proches me le déconseillent car c'est apparemment relativement précaire ( freelance, tout ça).
@Margot Et Sa Bulle Je n'y connais rien dans le domaine mais comme l'a suggéré @Lune0103 ça a l'air d'être le genre de métier que tu peux d'abord faire à temps partiel (en travaillant de manière conventionnelle le reste du temps pour assurer tes arrières) le temps de prendre tes marques/te constituer un réseau et une clientèle et ce genre de chose, non ? Tu as commencé à te renseigner auprès des personnes dont c'est le métier ? Et puis j'imagine qu'il n'y a pas d'obligation à être freelance, il y a peut-être des entreprises qui n'externalisent pas ce genre d'activité ? Peut-être quitte à travailler à l'international ? => Encore une fois, je n'y connais rien, je dis peut-être des bêtises !
Faut pas oublier qu'on ne jure que par le sacro saint CDI (si tu veux louer un appart, faire un emprunt ou que sais-je) alors que les mœurs évoluent, qu'actuellement on ne passe plus toute sa carrière dans la même boite. Peut-être que tes proches sont dans cette optique là ?
Moi je dirais de tenter le coup. De bien te renseigner (interroger des pro du métier, faire une étude de marché), de compléter tes formations si besoin et de te lancer. Peut-être quelques missions à droite, à gauche pour commencer et voir comment ça se passe ?
Faut pas oublier qu'on ne jure que par le sacro saint CDI (si tu veux louer un appart, faire un emprunt ou que sais-je) alors que les mœurs évoluent, qu'actuellement on ne passe plus toute sa carrière dans la même boite. Peut-être que tes proches sont dans cette optique là ?
Moi je dirais de tenter le coup. De bien te renseigner (interroger des pro du métier, faire une étude de marché), de compléter tes formations si besoin et de te lancer. Peut-être quelques missions à droite, à gauche pour commencer et voir comment ça se passe ?
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