@Margay Bah c'est à dire que ne pas être d'accord c'est un peu comme... ne pas être d'accord contre les théories astronomiques actuelles Quand on est pas scientifique, on peut pas vraiment dire "je ne suis pas d'accord"... C'est pas une histoire d'opinion, c'est une histoire de science Moi ce que je partage, c'est l'état des connaissances des sciences sociales actuelles sur la question du sexisme, pas mon opinion.
En fait, être dominant n'empêche pas d'être discriminé en soi, mais ça reste et restera ponctuel. Par exemple, Si un gars tombe sur un.e employeur.se qui fait de la discrimination positive lors d'une embauche, bah le gars aura été discriminé sur le coup, mais il sera toujours prioritaire sur une femme dans le reste des embauches tout au long de sa vie Si un gars à un injonction à être viril, le fait d'être viril lui donnera du pouvoir.
Pour une femme, ces discrimination et injonctions (les deux ne sont vraiment pas la même chose, je répète) ne la mettent jamais en position de pouvoir. Elle sera toujours dominé. Elle ne gagne jamais. Ou alors à moitié (par exemple elle aura plus facilement des congés parentaux qu'un père, mais elle restera du coup dans son rôle social qui veut qu'elle occupe ce rôle maternant et qui lui octroie d'autres privilèges)
Donc les deux situations ne sont vraiment pas comparables...
Je vois ce que tu veux dire hein, mais il faut nuancer. On ne peut vraiment pas donner le même terme pour le groupe social dominant et le groupe social dominé, c'est absurde. On ne peut pas donner le même terme à deux situations différentes Donc la nuance que je propose, c'est celle de sexisme circonstanciel (ou individuel) pour parler de discriminations à l'égard des hommes (ex du gars qui n'a pas le boulot), et d'injonction masculine (ex du gars à qui on somme d'être viril).
En fait, être dominant n'empêche pas d'être discriminé en soi, mais ça reste et restera ponctuel. Par exemple, Si un gars tombe sur un.e employeur.se qui fait de la discrimination positive lors d'une embauche, bah le gars aura été discriminé sur le coup, mais il sera toujours prioritaire sur une femme dans le reste des embauches tout au long de sa vie Si un gars à un injonction à être viril, le fait d'être viril lui donnera du pouvoir.
Pour une femme, ces discrimination et injonctions (les deux ne sont vraiment pas la même chose, je répète) ne la mettent jamais en position de pouvoir. Elle sera toujours dominé. Elle ne gagne jamais. Ou alors à moitié (par exemple elle aura plus facilement des congés parentaux qu'un père, mais elle restera du coup dans son rôle social qui veut qu'elle occupe ce rôle maternant et qui lui octroie d'autres privilèges)
Donc les deux situations ne sont vraiment pas comparables...
Je vois ce que tu veux dire hein, mais il faut nuancer. On ne peut vraiment pas donner le même terme pour le groupe social dominant et le groupe social dominé, c'est absurde. On ne peut pas donner le même terme à deux situations différentes Donc la nuance que je propose, c'est celle de sexisme circonstanciel (ou individuel) pour parler de discriminations à l'égard des hommes (ex du gars qui n'a pas le boulot), et d'injonction masculine (ex du gars à qui on somme d'être viril).