Tes études te plaisent ?

[Jaah_Luzeeh]

Il y a encore trois ans si on m'avait dit que je ferai en ce moment un bts Négociation & relation Client en alternance avec un etablissement financier dans lequel j'ai bossé l'été j'aurai repondu : " T'es tombé sur la tete toi ... " Et pourtant j'ai appris à aimer le contact avec la clientèle, les aider, les conseiller ... & c'est surtout agréable d'être reconnue pour le travail que l'on fait pour leur rendre service ...

Bref l'alternance c'est sympa, ca m'a aidé à me décider sur mon avenir, je suis heureuse dans mes etudes, dans mon entreprise, j'y trouve ma place et de l'aide pour répondre à mes questions, la seule chose qui me gene c'est la route mais bon c'est mon choix de vouloir rester hors de Lille et donc de me tapper des aller retour tout les jours ...

 

[JanieJane]

Moi je fais une licence qui m'intéresse pas et je sais pas ce que je veux faire de ma vie

 

[JanieJane]

J'adore mes études, je suis heureuse d'aller en cours, et ce pour la première fois de ma scolarité.
Je suis en LLCE Anglais, et je trouve ça passionant. J'ai toujours voulu étudier l'anglais, mais certains évènements ont fait que j'ai pu commencer à le faire à 22 ans au lieu de 18.
J'ai des profs géniaux, je suis dans une petite fac donc ils sont à notre disposition. Je suis en contrôle continu, donc pas de cours magistraux, uniquement des TD par groupe d'une vingtaine de personnes. Les échanges avec les profs sont donc largement facilisés.
Mis à part la phonétique, toutes les matières me plaisent, plus particulièrement la littérature et la civi américaine, je trouve ça fascinant, étudier l'histoire d'un pays aussi jeune.
Contrairement à ce que je pensais j'ai beaucoup d'oral, ce qui change du lycée et du collège, il y a possibilité de progresser au niveau de la prononciation et de l'accent.
Bref je suis contente d'avoir trouvé ma voie ^^

Haha c'est drôle je fais exactement la même chose ! Tant mieux si ça te plait

 

[Vixen. A]

Perso j'aurai besoin d'aide mais vraiment, je suis dans une impasse qui n'en ai pas vraiment une mais qui me bouffe depuis 1 an
C'est l'horreur, je sais pas si ce topic est adapté pour que je parle de mon prblm d'orientation et srtt pour recevoir des conseils ...

 

[Kaora]

Vixen, tu peux créer un sujet sinon

Les études que je quitte (psycho), elles me plaisaient seulement en partie, les matières que je détestais (neuro, stats, développement) prenaient trop d'importance par rapport aux autres, et je n'avais pas envie de les bosser, donc c'est sans regret que j'arrête.

Je me suis maintenant réorientée vers une école de travail social, j'ai passé des concours pour être Assistante de Service Social, je suis convaincue d'avoir trouvé ma voie, je pourrais sûrement en dire plus quand j'aurai commencé, mais j'avais vraiment besoin d'être cadrée et de concret, donc une formation en alternance était exactement ce qu'il me fallait, j'ai vraiment hâte d'y être !

 

[JanieJane]

Kaora >> Je te soutiens complètement ! Certains sont faits pour des études à rallonge, d'autres préfèrent le concret et le rapide, malheureusement ces derniers tardent parfois à trouver leur voie et se perdent dans les méandres des facs et des parcours multiples... Je fais partie de cette catégorie Donc je suis contente pour toi si tu as enfin trouvé du concret !

 

[Ancien membre]

C'est diffcile de trouver sa voie,tout en tenant compte des secteurs bouchés actuellement!
Moi j'ai mis deux ans à me rendre compte que ma formation ne me correspondait pas.

Pour en revenir au sujet...je ne peux pas vraiment dire que j'ai adoré mes etudes...

Apres le collège,je n'avais pas envie de faire comme tout le monde et de me diriger vers la general,j'avais peur de m'ennuyer,j'ai donc decider par rapport a ma passion,de faire un BEP metiers de la mode,la formation est principalement basée sur la confection de vêtements.
Après deux ans de BEP la formation me plaisait toujours autant et j'etais prete a passer a l'etape superieur,le Bac!
Mais...j'ai très vite dechanté et été degouté de ma formation,en particulier a cause des mes professeurs,qui nous rabachait en permanences qu'il n'y avait pluis d'avenir dans la Mode.
La premiere année de Bac a été horrible,je ne me sentais à l'aise,et me posais des questions sur mon avenir,mais malgré toutes ces hesitations je m'obstinais a me dire que le metier de styliste était fait pour moi.
Arriva la deuxieme et derniere année de Bac,et là je crois que ce fut la pire année de toute ma vie!
Je ne supportais plus mes profs,et encore moins me camarades,la formation me donnais envie de vomir,et chaque matin je me demandais pourquoi me lever alors que je n'aime pas ça!
A partir de là j'ai eu le declic et je me suis immediatement renseigné sur une formation qui pourrai liée avec la Mode sans qu'il est y ai de couture ou de dessin.Et bizarrement je n'ai eu aucun de mal a trouver,1 mois apres j'etais inscrite pour passer un concour pour entrer dans une ecole de communication,3 semaines apres on m'annoncait que j'etais accepté!
Dernièrement j'ai jeté tout mes cahiers et classeurs du Bac histoire de tourner la page.J'ai vraiment hâte d'être à ma rentrée,parce que pour moi c'est comme une nouvelle vie.​

 

[chouboup]

Pour le moment j'étais en général en terminale ES et je dois dire que je n'ai pas forcémment apprécié le programme.. surtout les maths :S.
Par contre à la rentrée prochaine je commence un BTS communication des entreprises et peux être que je m'enthousiasme trop vite mais j'ai vraiment trop hate de commencer!

 

[Chaby]

Ma situation familiale m'a poussée a entreprendre des etudes en alternance. Je vais donc commencer un BTS Banque en alternance avec LCL. Et je pense que je vais aimer car j'ai toujours eu pour ambition de travailler dans le milieu bancaire!

 

[ma[ska]rade]

Je rentre en seconde année de baccalauréat en langues et littératures françaises et romanes. Je me suis lancée dans ses études un peu par hasard et sur un coup de tête, j'avais fini par comprendre que le bac en communication ne me mènerait nul part et ma prof de français s'est écriée un jour: "mais enfin! pourquoi tu ne fais pas les romanes???", je n'y avais même pas pensé en fait. Je me suis dis: "j'aime la littérature et le français, allons-y!", sans vraiment me renseigner, sans savoir que je me retrouverai avec des cours de linguistique, de sciences du langage, d'analyse de poésie, de grammaire, etc. Et finalement, je suis très contente de mon choix, je me sens vraiment à ma place (surtout depuis que j'ai réussi ma première), je suis vraiment passionnée par mes cours et je me sens plus cultivée de jour en jour. Je ne sais pas trop ce que je vais faire, je n'ai pas envie de devenir prof de français, ce qui étonne toujours les gens, parce que évidement, quand je parle de mes études, la remarque habituelle est: "ha, tu vas faire professeur de français?". Plus réducteur, tu meurs.

 

[AnonymousUser]

Voici un sujet qui m'intéresse drôlement. Je commencerai tout d'abord par remercier les Mad'z absolument passionnées par leurs filières, et tout particulièrement Treize, qui m'a toujours mis un peu de baume au coeur en parlant de la sorte des oeuvres qu'elle restaure... (D'ailleurs si moi aussi je pouvais avoir le droit à un petit MP pour tout ce qui est pré-acquis nécessaires dans cette orientation, etc... ça ne serait pas de refus ! )

Alors alors... Pour ma part je suis plus que mitigée dans mon choix d'orientation. Pour situer la chose, je passe le mois prochain en seconde année à l'Institut d'Orthophonie de Lille. Depuis l'année de ma quatrième où j'ai lancé innocemment cette idée, ma famille tout entière s'est emballée pour ce choix qui, il est vrai, possède énormément de qualités (profession d'avenir, secteur sans trop de risque, aide à la personne...). Oui mais voilà : je me suis retrouvée embarquée trop vite dans ce projet qu'ils visualisaient comme idéal pour ma petite personne. Après un baccalauréat littéraire (dieu que je regrette ce temps-là) obtenu en 2007, j'ai ainsi continué mon tracé de mouton de Panurge en aterrissant dans une classe préparatoire aux concours d'entrée aux Ecoles d'Orthophonie. Parce qu'effectivement, on n'y entre pas comme ça : concours ultra-sélectifs dans certaines grandes villes, numerus clausus plus que restreint, énormément de participants donc pour très peu de places... Pour illustrer ce fait, nous étions un peu moins de 3000 personnes à passer les écrits du concours de Lille, pour 120 places ridicules.
Et contre toute attente : je me suis retrouvée parmi ces 120 personnes élues, après une seule année de prépa.
En deux semaines, j'ai donc dû quitter ma Nantes natale pour migrer dans le Nord, sans personne pour me soutenir ayant été la seule de mon groupe d'amies de prépa sélectionnée dans cette ville. Et là, naïvement, je me suis dit que ces études devenues -enfin- accessibles allaient me galvaniser, me montrer que finalement j'avais opté pour le choix idéal, celui où le risque n'existe pas mais où la passion subsiste. En réalité, l'année passée fût un véritable carnage psychologique. J'ai prodigieusement haï mes cours, tous tellement scientifiques que j'ai subitement compris pourquoi les Instituts d'Orthophonie se trouvaient internes aux facultés de Médecine, toutes villes confondues. Chaque matin, je me levais avec le dégoût de devoir me rendre à ces enseignements à des lieues de mes propres passions, de toutes ces choses qui m'ont toujours fait vibrer au plus profond. L'écriture, les mots, les sens, la création, l'imagination, les rôles, l'histoire. L'Art dans toute sa beauté, en somme.
Parce que les débouchés dans ce genre de filières sont particulièrement rares et parce que finalement, je suis quelqu'un d'atrocement lâche, je continue donc à bosser pour ce futur métier sans risque. Et chaque jour, vraiment, je m'efforce de me réciter les qualités, certes présentes et importantes, de cette possibilité d'avenir que j'ai élue.
Même si au final, mon coeur reste toujours ailleurs.

 

[AnonymousUser]

Et là, naïvement, je me suis dit que ces études devenues -enfin- accessibles allaient me galvaniser, me montrer que finalement j'avais opté pour le choix idéal, celui où le risque n'existe pas mais où la passion subsiste. En réalité, l'année passée fût un véritable carnage psychologique. J'ai prodigieusement haï mes cours, tous tellement scientifiques que j'ai subitement compris pourquoi les Instituts d'Orthophonie se trouvaient internes aux facultés de Médecine.

Beaucoup de mes copines ont tenté/eu ce concours et c'est marrant, car toutes ou presque ont eu le même ressenti que toi sur la première année, même les plus passionnées et même celles qui avaient un bac S. Elles ne s'attendaient pas à une première année si scientifique. Bon courage, je crois que c'est mieux après