Thème d'écriture : Nuit étoilée

1 Janvier 2009
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Un thème ô combien poétique pour ces fins de vacances ! Je rechigne à vous imposer des contraintes cette fois-ci puisqu'après tout, l'été est le temps de la liberté. Vous devrez donc simplement écrire un texte, quelle qu?en soit la forme, sur le thème d'une nuit étoilée.

On continue avec le nouveau fonctionnement de l'atelier écriture, et vous devez donc poster vos participations directement à la suite de ce message !

N'hésitez pas à commenter les textes publiés, et à faire des suggestions pour les prochains thèmes !
 
Il était tard et la nuit était claire, silencieuse et sombre, dans le village de campagne de Cassiopée. Dans ces moments-là, elle aimait s'asseoir dans son jardin, alors que tout le monde dormait chez elle, et que toutes les lumières étaient éteintes.
Elle avait toujours voulu aller vivre autre part, dans une grande ville où les heures de sa vie paraîtraient moins creuses, et moins vide de sens. Elle voulait frémir d'excitation à l'idée que la ville résonne encore, vive encore, au creux de la nuit. Que tout soit animé, lumineux, pas comme dans son village perdu au fond de la campagne.
Cassiopée leva les yeux au ciel. Les étoiles scintillaient dans le firmament, et à chaque clignement d'oeil, elle découvrait un nouvel astre. Observer le ciel nocturne avait toujours avait toujours fait naître des questions existentielles chez Cassiopée. Une fois encore, elle se demanda si quelqu'un là-haut dirigeait sa vie comme si elle n'était qu'une marionnette, si ce quelqu'un, cette chose pouvait deviner ses voeux les plus secrets, les plus intimes.
Puis, comme à chaque fois, elle se demanda combien de personnes regardaient le ciel au même instant qu'elle. Et si elle n'était pas la seule, l'unique à le faire, elle se demanda ce qu'ils ressentaient à cet instant précis.
Cassiopée ferma les yeux et sourit. Quand la nuit était sa seule compagne, que les étoiles étaient ses seules spectatrices, elle avait l'impression qu'elle était enfin libre de tout faire, de tout penser, de tout dire. Est-ce que d'autres personnes ressentaient cela ?

Et puis Cassiopée se rappela tout à coup de ce que lui avait dit une amie qui elle habitait dans la grande ville, cet endroit rêvé, fantasmé depuis si longtemps.
" Tu sais Cassiopée, ici, on ne voit pas les étoiles."

"Ah oui, je suppose que c'est à cause de la pollution ! Mais lorsque le ciel est clair..."

" Même quand le ciel est clair. C'est la faute des lumières de la ville. Elles sont trop puissantes pour distinguer quoi que ce soit".
 

Al.

8 Février 2011
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Villeneuve d'ascq
Chaque soir il descendait les escaliers avec une impatience digne d'un gamin de 5 ans. Il en avait plus du triple, mais cela ne l?empêchait pas de courir. Il était impatient. Car pour lui, c'était ça l'été. Lui qui vivait en ville, la campagne, la nuit, c'était son bol d'air frais. Son bol de rêves. Son échappatoire. Il courus jusqu'au milieu du jardin. A peine eut-il levé la tête qu'un goutte s'écrasa sur son front. "Oh non..." Murmura-t-il. Hélas, il ne pouvait rien y faire. Il fit demi-tour, lentement. Déçu. Il dus accélérer le pas, car le crachin devenait déjà orage. Non, ce ne seras toujours pas pour ce soir. Voila maintenant deux semaines qu'il est ici. Et il n'as toujours pas pus les voir. Il soupira. Et s'en fut, aux creux de ses couvertures chaudes. Peut-être demain.

Trop d'espoir. Le même scénario. Une course. Une espérance. Une goutte. Une déception.

Le dernier jour. Le dernier soir. Cette fois, la mort dans l'âme, il ne se dépêche pas. Non, il se demande même pourquoi il persiste à sortir. Un rituel. Le rituel des vacances. Infatigable. Immuable. Alors, il sort. Jusqu'au milieu du jardin. De nouveau. Comme d'habitude. Il fredonne la chanson, levant la tête lentement vers le ciel...couvert d'étoiles. Le jeune homme écarquilla les yeux. De surprise. De bonheur. Les voila. Enfin. Ces chères amies. Ces amantes. Ces compagnons de voyages. Lentement, il tomba sur le dos, dans l'herbe fraîche. Encore mouillée. Et il se laissa tomber. Dans ce grand tableau, infini. Les étoiles étaient la, a perte de vue. Elles avaient toujours été la. Mais les nuages, jaloux de leurs beauté, les cachait. Mais finalement, les voila. Les unes plus belles que les autres. Rivalisant avec la plus vive d'entres elles, le soleil. Rivalisant avec la plus romantique d'entres elles, la lune. Et le jeune homme, redevenus gamin de 5 ans, était la. Les bouffant des yeux. Insatiable. Il resta la pendant des heures. Il photographiait des yeux. Gardant ses photos au plus profond de son âme.

Jusqu'à l'année prochaine.

L'aube arrive. Dans un dernier clin d'oeil, la lune laisse sa place au soleil.

Le rêve laisse la place à la réalité. Et le jeune homme se lève, prêt à l'affronter.
 
Il a éteint les phares de la voiture.
Une petite route au nord de l'Allemagne. Elle évolue dans un paysage tellement plat qu'on ne sait pas si elle touche encore le sol. Un mirage peut-être. Si on n'avait pu toucher le bitume encore tiède du jour endormi, on n'aurait pas pu savoir si elle existait au-dehors de l'imagination.
Il a éteint les phares de la voiture. Personne n'a posé de questions, personne n'a parlé. On ne parle pas lorsqu'on se retrouve subitement sous les draperies somptueuses tissées entre la cime des derniers arbres de la forêt et l'infini de la mer. On ne parler pas lorsqu'on regarde le sublime dans les yeux.
Tout est immobile, la nuit retient son souffle. L'au-delà se découvre, brillant derrière les milliers de trous laissés par les étoiles. Le voyageur sent les sent, elles lui piquent les yeux, transpercent son âme de leurs aiguilles, il sent chaque aiguille dans son âme le relier à l'au-delà. Les étoilent arrachent des bout de sa chair pour les donner en offrande à l'au-delà. Le feu des innombrables holocaustes brille derrière le ciel respectueux. Personne ne parle, c'est son âme que l'on contemple dans le ciel, et celle de tous les autres aussi, volées et unies pour entretenir la splendeur d'un ciel solitaire dans lequel se perdent la mer, la petite route, la voiture aux phares éteints. Et le reflet de tes yeux.
 
A

AnonymousUser

Guest
Elle se faufilait lentement, à la manière des chats chassant, entre les bras de Sieur Jour. À ses bras, les clochettes des vents du soir, murmurant sa venue sur les terres mortelles.

Après un sourire qui fit pétiller ses yeux d'un éclat sombre, elle entama une danse étrange, tournoyante, vibrante, suivie de sa longue robe allant de l'indigo profond au noir total. Dans le plus grand des silences, elle dansait, dansait !

Sieur Jour était fasciné, si bien qu'il s'écartait doucement pour ne pas la gêner, mais elle se rapprochait toujours de lui en quelques pas, en quelques oscillations de hanche... Elle avançait de plus en plus vite, ses yeux brillaient de plus en plus fort, alors que Sieur Jour tombait, lentement mais sûrement, dans le piège.

Puis, soudain, ultime mouvement : sa hanche heurta celle du Jour, ils tombèrent tout deux à la renverse, elle sur lui. Et alors qu'elle avait le plein pouvoir, le couvrant d'ombres et de désir, elle défit de ses doigts lestes l'épingle acérée qui tenait ses cheveux de jais, et l'enfonça avec rage dans la gorge du Jour.

Le sang-Soleil gicla, et les gouttes constellèrent la robe de Dame Nuit de taches scintillantes.

Chaque soir, Dame Nuit danse de nouveau, et les yeux des hommes se détournent de leurs tombes, pour regarder, émerveillés, la Nuit étoilée.




(Musique : A Madre Do Que Livrou, d'Angels of Venice)
 
La putain d'histoire vraie (et muette).



T'as bu, j'suis ivre. C'est la première fois qu'on se voit. C'est une soirée fade organisée dans un hangar puant perdu dans la campagne par un type qui fête son anniversaire. J'connais personne. Toi non plus, je te connais pas.

T'es même pas beau.

On décide de s'éloigner, d'aller marcher. On partage cette envie d'être ailleurs, ce sentiment de fuite constante. Pourtant on ne se dit rien. Et d'abord, j'arrive pas à penser droit. Je me concentre sur mon verre de vodka. J'veux pas te voir. Contente toi d'être là.

Plus loin. Très loin du vacarme des autres. On s'arrête. J'ai fini mon verre, ou bien je l'ai laissé tombé. Peut-être que c'est toi qui me l'as confisqué. Tiens, d'ailleurs, t'as l'air vieux. La lune te donne des rides. Je remarque qu'on est dans une clairière. Un bruit, au bout duquel une chèvre nous dévisage en mâchouillant des pâquerettes. J'ai deux envies pressantes qui se font la guerre. Manger de l'herbe. Et sourire bêtement.

Il fait drôlement noir cette nuit. Et tu ris. Moi j'ai peur. Je décuve. Tu me fais peur.

T'es même pas beau, vraiment.

Tu me tapes sur l'épaule, comme on attraperait doucement celle d'un enfant pour lui signifier qu'il a oublié de se brosser les dents. Là bas, tu me montres. Y a un chapiteau. Un cirque. Et un lama, tout près de la chèvre. Je reste con. T'es pas beau et j'suis con.

On rit.

Allongés sur l'herbe, on écoute les sons de guitare qui sortent d'une des caravanes grises.

En regardant les étoiles ce soir, avec toi, j'ai l'impression d'être scotchée à l'avant d'un immense vaisseau spatial, et d'aller à très-vite-à-l'heure. Je décide que c'est le moment de vomir, que le lama s'appelle Igor, et qu'il est commandant de bord.

Et si on jouais à l'aventure. On serait les otages. Tu serais le moche, je serais l'idiote.
On vivrait des aventures kafkaïennes et on s'aimerait bien.
 
E

Epiglopode

Guest
Voilà, thème nuit étoilée :




« Non, pas à la campagne ! Plutôt sur la plage ! » riposta gaiement le jeune homme, se relevant sur ses coudes.
Cela faisait une heure qu'ils étaient allongés dans l'herbe fraîche, sous l'air agréable du mois de Juin ; parlant de tout, riant de bon cœur, évoquant leur mariage. La fille qui lui tenait compagnie ferma les yeux, comme pour signifier que l'idée de son ami était absurde :
« Il est évident que tu n'as pas pensé aux détails ; si on se marie sur la plage, je ne pourrais pas porter de chaussures, or tu peux exclure cette possibilité. »
Le garçon rit d'un rire léger, et abandonna toute autre idée, se plongeant dans une énième contemplation du visage de la jeune femme. Ils restèrent silencieux quelques minutes encore, elle souriant, lui détaillant chaque pigment de sa peau. Amélie ferma soudain les yeux, et s'approcha lentement des lèvres de Benoît, sur lesquelles elle déposa un baiser, s'attardant un peu, caressant avec douceur l'avant-bras de celui qu'elle aimait.
Après quelques instants, sans mot, elle blottit sa tête contre le torse de ce dernier, qui entreprit alors de passer avec lenteur une main rassurante le long de ses cheveux.
Les deux adolescents demeurèrent ainsi, contemplant les étoiles et constellations du ciel sombre au-dessus d'eux, l'esprit empreint de rêves.
La jeune femme plaça alors sa main contre la joue de celui qu'elle appelait chéri, et plongea son regard dans le sien. Ses yeux marrons pleins d'amour disaient alors « je t'aime ». Ça tombe bien, ceux de celui qui l'appelait son amour disaient la même chose.






Merci :taquin:
 
Elle n'était que lassitude et fatigue. Lassée, fatiguée d’espérer, fatiguée de croire à ce qui ne s’avérait n'être qu'un mensonge, une histoire d'enfant. Elle ne comprenait pas pourquoi, étant petite, toutes ces grandes personnes lui avaient menti pour la préserver. Pour elle, elle c'était fait arnaquer, avoir par des gens qui n'avaient pas compris que laisser l'espoir, faisait plus de blessés que la franchise. Oui, elle le savait, son père et le ciel l'avait arnaqué.

En lisant ces quelques lignes, vous me dirais "mais quel est donc cette folle histoire ?", pourtant sachez qu'il s'agit d'une histoire vraie

Elle se rappellait, et se rappellerait toujours, de ces quelques jours précédant sa mort. Oui, ce jour là, Audrey était morte, certes pas au sens littéral du terme, mais Audrey était pourtant bel et bien morte, loin, à l’intérieur. Oui, le soir où sa mère avait fait le choix de s'envoler, une partie d'elle était partie aussi.
Personne n'aurait alors put deviner où l'âme d'Audrey c'était envolée, pourtant il était simple de la remarquer. Il suffisait d'orienter son regard vers un ciel étoilé. Dans la nuit noire, quand chacun de nous peux apercevoir des étoiles brillants de mille feux comme des particules d'or, oui, dans cette nuit ce trouvait l'âme d'Audrey, tout prés de l'étoile quel avait pris trop longtemps pour sa mère.

C'est une histoire bête me dirait vous, un père disant le plus grotesque mensonge de tout les temps à sa fille, qui innoçament allait le croire. Oui, Audrey, avait cru chacune des paroles de son père quand elle était enfant et malheureusement même quand il y avait dit que si elle regardait chaque soir dans le ciel, elle apercevrais une étoile plus grande, plus flamboyante au dessus d'elle, et cette étoile serait sa mère qui veillait sur elle. Comprener alors pourquoi quand la supercherie fut démasquée, la réalité fut plutôt dur à encaisser.

Depuis je vous avouerais qu'Audrey ne regarde plus le ciel étoilé.
 
2 Octobre 2014
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Un passage de mon histoire:

C'est allongée au fond du jardin que Florence retrouve son amie, vers 1 heure 45. Elle s'installe à coté d'elle :

_ Qu'est ce qu'il se passe ?

_ Qu'est ce qu'il se passe ? Qu'est ce qu'il se passe ? Tu veux vraiment savoir ce qui se passe Flo ? Il se passe que je suis venue à ta soirée, légère et décontractée tu vois, je me suis dit que ça allait être cool et que j'allais me changer les idées. Il se passe que ce que je ne savais pas c'est qu'à ta soirée il y aurait Julia et Camille. Alors oui tu vois j'aurais du m'en douter, j'aurais du y penser, en plus j'étais là quand tu as invité Julia et puis ça va y'a plus de problèmes entre nous, c'est cool, tout ça. Mais je ne m'attendais pas à voir Camille. Oui ben oui c'est stupide pourquoi n'aurait elle pas été là hein ? Après tout c'est ton amie, et puis comment aurais tu pu te douter qu'elle m'avait brisé le cœur elle aussi ? Puisque c'est vrai j'ai peut être omis de t'en parler, étant donné que je suis une fille cool et indépendante désormais, et les filles comme ça bah on leur brise pas le cœur. Comment aurais tu pu savoir que ça faisait 23 jours exactement- parce que oui, je les compte- qu'elle ne m'avait pas donné de nouvelles ?

Mathilde s'interrompt. Elle ne se doutait pas qu'elle pouvait avoir un tel débit. Mais elle reprend, parce que si son histoire s’arrêtait la, on tournerait en rond, et ça ne serait pas très intéressant

_ Alors tu vois Flo, il se passe que je me suis enfermée plus d'une heure dans ta salle de bain, et bon ça c'est pas si grave parce que dans le fond ta salle de bain elle est cool et tout. Mais voilà, la quand je suis sortie je suis plus ou moins tombée nez à nez avec Camille, et ça je ne m'y attendais pas. Tout comme je ne m'attendais pas à ce qu'elle s'excuse de ne pas avoir donné de nouvelles, et qu'elle me dise tout simplement que c'est parce qu'elle s'était rendue compte qu'elle avait vraiment de très gros sentiments pour moi, et qu'elle aimerait qu'on réfléchisse au fait d'officialiser tout ça, si, bien sur j'étais ok. Tout ça après m'avoir embrassée de façon assez pulsionnelle. Je ne m'attendais pas non plus à ce que Julia voit toute la scène, qu'elle me tire dans une chambre et qu'elle me demande qui était cette fille que je venais d'embrasser. Et je ne pensais pas, mais vraiment pas, que là, parce que je n'avais rien répondu, elle m'embrasserait elle aussi, en me disant qu'elle avait plaqué Thomas, il y avait trois jours de ça, parce qu'elle s 'était rendu compte qu'elle se voilait la face et qu'elle était amoureuse de moi.

_Donc comment te dire Florence... Il y a quelques heures j'étais une fille forte et indépendante, au cœur brisé deux fois mais libre comme l'air, et la je suis une fille complètement paumée, qui ne sait pas ce qu'elle doit faire, et qui jamais ne se serait doutée qu'elle aurait à choisir entre deux filles complètement extraordinaires qui l'auraient embrassées pendant la même soirée, à même pas dix minutes d'intervalle. Et là, donc, il se passe que je n'ai aucune idée de ce que je dois faire.

_ …

_ …

_ T'as remarqué ? On a une belle vue sur la grande Ourse depuis là.
 

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