@Fanncy Je pense pas que t'exagères, j'ai le même ressenti par rapport à cette histoire. C'est triste de diaboliser la maladie mentale et les gens qui en souffrent.
C'est comme les schizophrénies, ou le délire paranoïaque, dans la tête des gens les personnes atteintes de ces troubles sont dangereuses, alors que dans la réalité des faits, il n'y a qu'une minuscule minorité de ces personnes qui font des passages à l'acte violent hétéro-agressif (tourné vers autrui).
Et le terme de représentation est correct, qu'est-ce qui te pose problème dedans ? En psychologie sociale, on parle de représentations pour qualifier cela, les images/idées que les gens se font d'un sujet précis. Une représentation peut être conforme ou non à la réalité.
Et je te confirme, on ne parle plus vraiment de folie, scientifiquement. Néanmoins ça reste utilisé par tout un chacun. Et on a discuté de ça dans mes cours de stage, et c'est rapporté que même les psychiatres ou psychologues utilisent ce terme, pas devant les patients, mais derrière, surtout dans les unités fermés où justement ils sont confrontés à des psychotiques, des pathologies lourdes et très délirantes. Ils vont dire par exemple à leur collègue "oh tel patient est vraiment fou quand même". C'est un peu choquant, même si on peut comprendre les raisons qui les poussent à ça. Ce sont les mêmes raisons que celles des médias, ça permet de créer cette barrière, de se mettre à distance, de dire "lui il est fou, moi pas".
C'est comme les schizophrénies, ou le délire paranoïaque, dans la tête des gens les personnes atteintes de ces troubles sont dangereuses, alors que dans la réalité des faits, il n'y a qu'une minuscule minorité de ces personnes qui font des passages à l'acte violent hétéro-agressif (tourné vers autrui).
Et le terme de représentation est correct, qu'est-ce qui te pose problème dedans ? En psychologie sociale, on parle de représentations pour qualifier cela, les images/idées que les gens se font d'un sujet précis. Une représentation peut être conforme ou non à la réalité.
Et je te confirme, on ne parle plus vraiment de folie, scientifiquement. Néanmoins ça reste utilisé par tout un chacun. Et on a discuté de ça dans mes cours de stage, et c'est rapporté que même les psychiatres ou psychologues utilisent ce terme, pas devant les patients, mais derrière, surtout dans les unités fermés où justement ils sont confrontés à des psychotiques, des pathologies lourdes et très délirantes. Ils vont dire par exemple à leur collègue "oh tel patient est vraiment fou quand même". C'est un peu choquant, même si on peut comprendre les raisons qui les poussent à ça. Ce sont les mêmes raisons que celles des médias, ça permet de créer cette barrière, de se mettre à distance, de dire "lui il est fou, moi pas".