T'en as peut être entendu parler mais la chercheuse Julia Cagé a écrit un bouquin qui s'appelle Le Prix de la Démocratie qui "interroge le poids des « intérêts privés » dans le financement de la vie politique et ses conséquences", je pense que ça peut être un début de lecture (je vais probablement me l'acheter d'ailleurs, je peux essayer d'en faire un retour quand je l'aurai lu). Elle a fait un passage à Arrêt sur Image où elle en parle (et ici dans une émission un peu plus vieille sur l’indépendance des médias). (Again, pardon, rip la diversité des sources )En ce moment je me pose beaucoup la question de savoir si avec nos formes de démocraties actuelles, il serait seulement possible qu'il émerge un jour un décisionnaire politique qui ne marche pas main dans la main avec les intérêts des entreprises privées ?
(via Public Sénat)Le CETA pourrait-il connaître un revers au Sénat, par le biais d’une nouvelle alliance de circonstance gauche-droite, comme celle qui est née face au processus de privatisation d’Aéroports de Paris et de la Française des Jeux ? La décision serait symbolique. Uniquement symbolique. Car le dernier mot reviendrait aux députés. Treize États européens seulement ont, à l’heure actuelle, ratifié le traité. Le vrai risque pourrait venir de l’Italie, opposée au CETA. « Qu’est-ce qui se passerait si quelqu’un disait non ? Personne n’est en capacité de le savoir », se projette Sophie Primas.