Aujourd'hui, j'ai eu droit, alors que j'étais à genoux en train de récupérer des photos à une machine de tirages photos : "Sale catho fachiste!" Peut-être que ma jupe longue dérangeait le jeune homme?
Juste sur ce point précis et pas le sujet général, il n'y a pas besoin de testicules pour fabriquer de la testostérone, les ovaires et les glandes surrénales en produisent également.Pourquoi les mâle ont plus de testostérone : car ils ont des cellules spécifique pour la fabriqué tandis que chez les femelles, il n'y a pas de testicules, donc pas de cellules spécifiques dédiées.
Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Apologie_de_la_pédophilie#FranceLe Monde et Libération, journaux orientés à gauche, contribuent à la diffusion de ces idées, en publiant des pétitions liées au sujet, des lettres, ou des entretiens avec des pédophiles rapportant leur expérience. Des pétitions contre la majorité sexuelle sont publiées en France. La plus célèbre, publiée dans Le Monde du 26 janvier 1977, et relayée également par Libération, concerne « l'affaire de Versailles » : trois hommes ont alors comparu devant la cour d’assises de Versailles pour « attentats à la pudeur sans violence sur mineurs de 15 ans », ce qui à l'époque était qualifié comme un crime, et pour avoir pris en photo leurs « partenaires ». Leurs trois ans de détention préventive suscitent une pétition de soutien, signée par diverses personnalités publiques : le texte affirme que les enfants n'ont subi « aucune violence », et qu’ils étaient « consentants », ajoutant : « Si une fille de 13 ans a droit à la pilule, c’est pour quoi faire ? » et « trois ans pour des baisers et des caresses, ça suffit ». Parmi les signataires figurent Louis Aragon, Francis Ponge, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Gilles Deleuze, André Glucksmann, Guy Hocquenghem, Bernard Kouchner, Jack Lang, Gabriel Matzneff, Catherine Millet, Jean-Paul Sartre, René Schérer et Philippe Sollers (ce dernier déclarera plus tard ne pas s’en souvenir, ajoutant : « Il y avait tellement de pétitions. On signait presque automatiquement. » – bien qu'il ait publié aux éditions Julliard Les moins de seize ans de Gabriel Matzneff dans la collection Idée fixe de Jacques Chancel en 1975).
Le Monde du 26 janvier 1977 :
Nous avons reçu le communiqué suivant:
" Les 27, 28 et 29 janvier, devant la cour d'assises des Yvelines vont comparaître pour attentat à la pudeur sans violence sur des mineurs de quinze ans, Bernard Dejager, Jean-Claude Gallien et Jean Burckardt, qui arrêtés à l'automne 1973 sont déjà restés plus de trois ans en détention provisoire. Seul Bernard Dejager a récemment bénéficié du principe de liberté des inculpés. Une si longue détention préventive pour instruire une simple affaire de " moeurs " où les enfants n'ont pas été victimes de la moindre violence, mais, au contraire, ont précisé aux juges d'instruction qu'ils étaient consentants (quoique la justice leur dénie actuellement tout droit au consentement), une si longue détention préventive nous paraît déjà scandaleuse. Aujourd'hui, ils risquent d'être condamnés à une grave peine de réclusion criminelle soit pour avoir eu des relations sexuelles avec ces mineurs, garçons et filles, soit pour avoir favorisé et photographié leurs jeux sexuels.
Nous considérons qu'il y a une disproportion manifeste d'une part, entre la qualification de " crime " qui justifie une telle sévérité, et la nature des faits reprochés; d'autre part, entre la caractère désuet de la loi et la réalité quotidienne d'une société qui tend à reconnaître chez les enfants et les adolescents l'existence d'une vie sexuelle (si une fille de treize ans a droit à la pilule, c'est pour quoi faire?)La loi française se contredit lorsqu'elle reconnaît une capacité de discernement à un mineur de treize ou quatorze ans qu'elle peut juger et condamner, alors qu'elle lui refuse cette capacité quand il s'agit de sa Vie affective et sexuelle. Trois ans de prison pour des caresses et des baisers, cela suffit. Nous ne comprendrions pas que le 29 janvier Dejager, Gallien et Burckardt ne retrouvent pas la libérté. "
hey there!
je passe en coup de vent parce que je voulais partager la citation suivante :
“La menace du stigmate de putain agit comme un fouet qui maintient l’humanité femelle dans un état de pure subordination. Tant que durera la brûlure de ce fouet, la libération des femmes sera un échec”
Je crois que ça vient du livre suivant : Le Prisme de la Prostitution, de G. PHETERSON.
C'était relié au fait que, si on y réfléchit bien, le terme de "prostituée" est entouré d'un très grand flou sémantique : il ne semble pas y avoir de critère universellement accepté pour définir la putain, terme qui ne se distinguerait ni par un contenu propre, ni par des traits spécifiques.
C'est ce flou même qui confère à ce terme son efficacité puisque, partant de là, toute femme est comme guêtée par ce stigmate de la putain et nulle ne peut s'en prémunir tout à fait, quel que soit le comportement adopté.
J'ai trouvé ça hyper fourbe et malin comme fonctionnement (parfois, je me représente le patriarcat comme un méchant de dessin animé).