Vos grand-parents

[green-0uille]

J'ai répondu je m'en fous un peu ce qui peut paraître assez horrible donc je m'explique ^^
Tout d'abord mon grand père paternel est mort bien avant que je naisse et bien que sa thèse à la Sorbonne soit un vrai chef d'oeuvre je ne peux pas vraiment me sentir attachée à lui, par contre je ressens une vraie tristesse quand mon père me parle de lui. Ensuite ma grand mère maternelle est morte quand j'avais dans les alentours de 4-5 ans, je n'étais pas vraiment attachée à elle mais son enterrement figure dans la liste de mes souvenirs les plus tristes (et glauques, en même temps je devrais dire à mes parents qu'il était totalement irresponsable d'emmener des gamins de 5 et 8 ans à un enterrement... Enfin bref très traumatisant). Mon grand père maternel est mort l'année de mes 15 ans, je préfère pas m'attarder dessus sinon je vais devenir madeleine Land. Et enfin la seule de mes grand parents a être en vie est ... (roulement de tambour) ma grand mère paternel qui est (comment dire ?) un peu spécial, elle me souhaite mon anniversaire avec minimum 5 mois de retard tous les ans et chaque fois que je la vois c'est à dire environ 1 fois par an, elle en profite pour me critiquer, me rabaisser et me comparer à ma cousine (qui est bien mieux que moi) Donc oui mes grands parents (vivants du moins) je m'en fou.

 

[AnonymousUser]

mes grand parents maternelle ,j'les aime énormément ils m'ont quasiment élevés (avec ma mère biensur),malheureusement mon grand père est mort en mai dernier ,j'ai franchement du mal a m'en remettre,pire qu'a la mort de mon propre père ,il me reste au moins ma grand mère maternelle ,quesqu'elle peut me faire rire,c'est la vieille dame vachement coquette mais qui sort et qui fait des trucs drôles sans sans rendre compte, elle est excellente , mais elle me considère encore comme un bébé incapable de se gérer toute seule et j'avoue que défois ça me fâche ^^'

concernant mes grand parents paternelle alors le grand père je l'ai peu connu il est mort quand j'étais encore en maternelle ,mais a ce que j'ai su c'était un homme génial . Quand a ma grand mère paternelle (j'ai honte d'avoir de son sang dans mes veines,et j'ai peur de lui ressembler un jour) elle c'est une personne mesquine et alcoolique, j'ai jamais pu la voir depuis toute petite,elle me faisait peur

 

[amelieb6202]

Un mélange de : je les aime bien ET je ne les voit pas souvent ...
je parle du coté maternelle .
Du coté Paternelle , ils sont tous les 2 morts quand j'avais 2 ans donc...
Mais je pense que la réponse aura été la même .

 

[frger]

Je n'ai pas connu mes grand pères, vaguement une grand mère, il me reste donc une grand-mère. Elle habite à 350km, je la vois pour les noël, et de temps en temps.
On est donc pas très proches.

J'ai connu mes grand pères et aussi mes grand mères, mais j'ai perdu deux mes grand-parents:
la mère de mon père en 2008 et le père de ma mère en 2006 .

 

[AnonymousUser]

J'ai encore tous mes grands-parents. Et il y a un fossé de personnalité entre eux quatre. Mes grands parents paternels sont ceux avec qui j'ai le plus d'affinités, je suis admirative devant mon grand-père et ses yeux à la couleur indéfinissable. Ma grand-mère a des allures de bourgeoise dans le sens élégant du terme, j'admire sa force de femme. J'aime quand ils me racontent leurs souvenirs, ils sont encore très marqués par la guerre qu'ils ont vécu pendant leur enfance, et par l'Algérie où mon grand-père a été. J'ai du mal à me dire qu'un jour, je n'irai plus dormir chez eux dans le Nord, que je ne sentirai plus l'odeur du cigarillo dominical.
Mes grands parents maternels, c'est différent. Ils ne savent pas se parler, ils se crient dessus, à cause d'une vieille histoire. Eux n'ont pas connu la guerre (nés en 43), ils sont donc moins attachés aux souvenirs. Par contre mon grand père est plutôt à cheval sur les traditions et le respect du terroir. Il ne mangera que des produits locaux faits à l'ancienne, par exemple. Chez eux, c'est encore une micro-société patriarcale, tout tourne autour du grand-père, qui est assis au bout de la table, servi en premier, etc. Quand on présente un(e) petit(e)-ami(e), il ou elle passe au questionnaire du patriarche, et ensuite on peut espérer une "bénédiction" si l'être en question rentre dans les critères de "bon parti".

 

[Caracallas]

Mon grand père paternel, je ne l'ai jamais connu. Ma mère non plus. Il état hémophile et est mort quand mon père avait 19 ans. Il a gardé une espèce d'admiration envers lui, ce qui est paradoxal, vu que le jumeau de mon père semble au contraire avoir une très forte aversion pour lui...Disons que c'était un personnage, d'après ce que j'en sais: professeur, sévère, une grande silhouette toujours accompagnée sa canne.
Avec ma grand mère paternel, ils étaient séparés.Aujourd'hui, elle dit regretter. Ma grand mère paternel, c'est une personne complexe, avec beaucoup de non-dits, de secrets. Elle a eu deux enfants d'une aventure avec un homme, qu'elle a fait élever par sa propre mère. Cette oncle et cette tante sont encore des inconnus. Mon père a du les voir deux fois...Il y avait une cassure entre ma grand mère et sa famille, paysans de la Meuse. Elle a quitté la maison, très jeune, elle est partie sur Paris. Je sais peu de chose d'elle, dans le fond. Je crois que d'une certaine manière, je lui ressemble.

Du coté maternel, c'était une famille plus modeste. Mamie couturière, papie bucheron. Ils habitaient tout près de chez moi, et j'ai passé une grande partie de mon enfance en garderie chez eux. Ils n'étaient pas parfaits, c'était un couple très conflictuelle. Papie était hypocondriaque et tyrannique sur les bords, tandis que Mamie, c'était une femme courageuse, qui avait travaillé toute sa vie, altruiste, qui s'est toujours oublié pour lui.
Ils sont partis tout les deux il y a trois ans, à trois semaines d'intervalle. Et je dois dire que c'est encore dur souvent. Des chansons que je n'arrive plus à entendre. Le cœur qui se serre quand je vois les pains d'épices de Noël ou les gâteaux allemand de Noël, qu'elle achetait chaque année, avant les fêtes. Des signes. Souvent. Ou simplement repasser devant leur ancienne maison...Enfin. C'est vrai que parfois, quand j'entends certaines amies se plaindre de devoir rendre visite à leurs grands parents, j'ai envie de leurs dire - surtout si elles sont proches d'eux- d'en profiter. Oui, il y a les amis, oui il y a les cours, oui on est grand...Mais quand ils partent, ça fait un vide énorme. Et douloureux.

Et je n'ai pas vraiment pu répondre au sondage, ça ne va dans aucune case, véritablement.

 

[Eloyce]

Je ne sais plus si j'avais déjà répondu ou non, il me semble pas...

J'ai connu mes grand-parents maternels et paternels, et deux arrière grand-mères.
Je n'ai jamais été très proche de mes grand-parents maternels. Ils vivent en maison de retraite depuis que je suis née alors les visites sont peu fréquentes, et je suis l'une des 24 petits enfants alors disons que je n'ai pas une place forcement clé. Ma grand-mère maternelle est décédée quand j'avais 13 ans, je me souviens ne pas avoir été conviée aux funérailles. J'étais peut-être un peu jeune, mais tout de même, ça m'avait presque autant attristé que sa disparition.
Une de mes arrière grand-mères est décédée aussi il y a quelques années. On n'a jamais été très proches, mais je porte toujours sa bague de fiançailles qu'elle portait quand elle était jeune et qu'elle m'avait offerte. C'est un peu comme si elle ne nous avait jamais quitté...
Par contre, j'ai toujours été très proche de mes grand-parents paternels. Quand j'étais plus petite, je passais plus d'un mois par an chez eux. Je les voyais souvent même si ils habitent à 1000km. Je pense que c'est aussi parce que je suis leur petite fille unique et que leur fils (donc mon père) et aussi fils unique. Du coup, forcément, je suis arrivée un peu comme une bénédiction après deux échecs de grossesse de ma mère. Je n'imagine pas le choc que cela me ferait le jour où ils disparaitront. Un vide, réellement.

 

[AnonymousUser]

J'ai toujours été plus proche de mes grands-parents maternels que de mes grands-parents parternels. Je n'ai jamais vraiment connu mon grand-père maternel il est décédé lorsque j'avais 8 ans et je ne l'ai vu qu'une fois quand j'avais un an. Je ne peux voir malheureusement voir ma famille maternelle que lorsque je suis en vacances en Guadeloupe.
Je ne l'ai donc vu qu'une fois dans ma vie. Son décès m'a profondément marquée car je me sens souvent en décalage avec mes frères qui en parlent souvent. Moi je ne peux me baser que sur les souvenirs qu'on m'a racontée.
Je suis aussi très proche de ma grand-mère maternelle depuis que je suis toute petite. Je ne sais pas ce que je ferai sans elle.
Mon grand-père paternel est aussi décédé quand j'étais enfant je devais avoir 9 ou 10 ans.Je n'étais pas particulièrement proche de lui mais son décès m'a quand même rendue triste.
Ma grand-mère paternelle est presque centenaire,elle a la forme,elle cuisine et reste éveillée jusqu'à 3 heures du matin. Elle est super marrante et a un humour bien à elle ^^.Cela fait peu de temps que j'ai appris à la connaître en fait.
Je ne m'imagine pas vivre sans mes grand-mères qui sont mes derniers grands-parents en vie.Je ne les voient pas assez à mon goût, ma grand-mère maternelle me manque terriblement. Vivement les prochaines vacances!!!

 

[Oh]

Mes grands-parents maternels, c'est mes parents bis. Ils vivent tout près de chez moi, on a une relation assez particulière, fusionnelle, amour/haine, parce que mes parents étant relativement absents, du coup ils ont un peu pris leur place! Je vais faire ma chochotte mais le fait d'avoir 4 parents, et pas d'accord sur pleins de trucs, n'a pas fait de mes soeurs et moi des modèles d'équilibre. Je sais que j'ai de la chance de les voir, d'un autre côté ils m'ont un peu pourri la vie parfois! Je ne comprenais rien, ils avaient chacun leurs règles, pas les mêmes, et ça manquait de cohérence! Mes grands parents ne respectaient pas trop ce que mes parents voulaient, ils nous élevaient pas pareil, on était perdues! Ils sont un peu dans leur bulle, ne sortent jamais, restent bloqués sur leurs positions, croient toujours avoir raison, agressent facilement... Je n'ai pas confiance en moi et le fait qu'ils nous demandent toujours d'être les premières partout, d'être parfaites n'y est pas pour rien... C'est jamais assez bien.. Un truc pas anodin, ils sont tellement spéciaux que sur leurs 4 enfants, seule une (ma mère) a eu des enfants, les autres n'ont pas voulu reproduire ce qu'ils ont vécu peut-être?
Bizarrement, depuis que j'ai eu mon fils (il y a 9 mois), nos relations se sont vachement apaisées. Je crois que je leur ai pardonné leurs erreurs, parce que je suis à leur place de parents, et que c'est pas toujours facile!
Mon autre mamie je l'aime mais elle est folle! Elle est raciste et ne veut pas voir mon copain et notre fils... C'est une autre histoire...

 

[Hélo - Wiiiz]

Mes grands-parents maternels sont Normands et j'adore les écouter parler de la guerre, de l'occupation. Ils étaient gamins et ils en parle avec toute l'insouciance avec laquelle ils ont vécu tout ça. Enfin surtout Mamie en fait, Pépé reste toujours silencieux. Mon Pépé je l'adore, il est sourd et terriblement impatient mais c'est une perle. Il manie l'autodérision mieux que personne et franchement, mis à part la surdité, il est en super forme, il m'impressionne. Mamie, elle, elle a toujours préféré mon oncle, l'aîné et le garçon. Donc forcément mes cousines passent avant. Et puis après, c'est mon frère, son seul petit-fils. Et puis, une fois que tous les sujets de discussions sont épuisés, on peut éventuellement parler de moi. Mais elle le fait sans s'en rendre compte, alors je ne lui en veut pas tant que ça.
Du côté paternel, c'est un autre rapport, on est les petits derniers mais en même temps, ceux qui habitaient le plus loin. Mon Pépé, on le taquine, on rigole beaucoup avec lui et puis quand on était petits, on jouait à la boxe. Pépé, c'es celui avec qui on rigole et on joue, lesgenoux sur lesquels on allait se réfugier. Mémé, je l'admire énormément, elle a passé sa vie à élever ses enfants, et ceux des autres, elle s'est énormément sacrifiée, a donné et donne encore beaucoup d'amour. Autant d'amour, ça m'a toujours touchée. Et puis mon Pépé et ma Mémé, même si ils s'engueulent tout le temps, on voit qu'ils se sont mariés pas amour : quand ma grand-mère est allée à l'hopital, Pépé pleurait et lui a acheté des fleurs : les premières en 50ans ! Et puis Mémé, l'air de rien elle prend vraiment soin de lui. Ils se protègent mutuellement et parès autant d'année, c'est beau.
Bref, mes grands-parents, je me vois mal vivre sans et je les respecte énormément, je ne me m'imagine pas leur tenir tête. Pour moi, ils ont toujours raison, même quand ils ont tort. Et puis je les aime.

 

[Alyss']

Moi j'adore mes grand parent du cotés maternel ,en plus il sont plutôt jeune il on pas plus de 55 ans je crois .

Par contre du coté paternel ,mon nono est mort quand j'étais bébé et ma nona vis en Sardaigne .Et quand elle vient en Belgique ,même si elle parle couramment français ,on a pas grand chose a se dire :/ elle est beaucoup plus proche de mes cousin qui partent en vacance en Sardaigne chaque année pour la voir alors que moi j'y suis jamais allée :s Et puis je me sentirais pas a l'aise :/

 

[AnonymousUser]

J'adore mes grand-parents maternels. Ma Mamie câlin qui fait de délicieuses frites et mon Papy qui ne parle jamais mais qui adore faire des blagues. Je me rappelle, quand j'étais petite, je venais d'acheter de nouvelles chaussures, j'étaits toute fière de leur montrer et quand j'ai ouvert la boîte, malheur il n'y en avait plus qu'une. Et là j'ai vu mon Papy rigoler tout doucement alors j'ai su que c'était lui qui l'avait cachée ! J'ai plein d'autres souvenirs comme celui-là !

Du côté paternel, je n'ai pas connu mon grand-père qui est décédé lorsque mon père était enfant et je n'ai plus de très bonnes relations avec ma grand-mère. Je l'ai accompagnée en voyage l'an dernier et elle m'en a fait voir de toutes les couleurs et m'a sorti mes quatre vérités. Je lui en veut beaucoup de se comporter comme une petite fille égoïste même à bientôt 80 ans. J'étais seule au bout du monde avec elle et je n'ai jamais eu autant envie de rentrer chez moi, alors qu'on ne partait qu'une semaine. Et dire que j'avais souhaité lui faire plaisir...