Vos textes libres

3 Février 2011
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perigueux
"-Qu'est ce que tu veux faire quand tu seras grande?" Encore et toujours la même question

Mais pourquoi les gens me demande toujours ça : qu'est ce que je veux faire? Mais j'en sais rien moi, je n'en sais absolument rien... Dis moi maman c'est grave si je dit que je ne veux pas être prof, si je ne veux pas être informaticienne, ni avocate...? Dit moi maman c'est grave si je te dit que je ne veux pas devenir commercial ou femme d'affaire?
Si je dit que j'aimerais être exploratrice comme Magellan est ce que les gens vont me dire que je suis bien naïve? Vont-ils se moquaient de moi? Si je dit maman que je veux être une princesse enlevée par un prince charmant comme dans les conte de fées, si je dit que je voudrai être une hors la loi rechercher par toute les police du monde est ce que tu vas me faire interner maman?
Et si je dit que je veux planter des roses dans les jardin suspendu de Babylone ou bien marcher dans le désert pour trouver le puits du Petit Prince et entendre la mélodie de l'eau que l'on puise, vas-tu me dire maman de redescendre sur terre et de réussir mes études?
Mais maman si je te dit que je ne veux pas être adulte vas-tu me haïr et me dire que de toute façon je n'est pas le choix?
Je ne veux pas grandir maman, je ne veux pas avoir un métier, pardonne moi mais je ne veux pas finir comme vous tous, sur mon lit de mort je ne veux pas avoir de regrets...
 
14 Mars 2011
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paris
un texte en anglais:
When I die

A little girl with red hair
Playing aroud on a bike she cares
A dog barks, she falls, she wails,
She might be hurt but I don?t care

And I?m sitting there just nearby
Wondering what will I think when I die?

This clumsy country guy from Colorado,
Getting freaking lost in New York ghetto
Asking bashfully for a place to go
But I won?t take time to help you my bro.

And I?m sitting there just nearby
Wondering what will I think when I die?

The old lady pushing her breaking trolley
Collecting plastic bottles to have just a penny
She?s one in a million in this big city
I don?t glance at her, I don?t want to see.

And I?m sitting there just nearby
Wondering what will I think when I die?

And I?m alone in the middle of this crowd
Afraid of the dark, afraid of the empty road
I don?t have faith in what is above.
I don?t have faith in any kind of love.

And I?m sitting there just nearby
Wondering what can I hope when I die?
 
13 Juin 2007
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Colère, détresse, tristesse, manque, défaillance .
Appréhension, mal-être, solitude, incompréhension, peur


Ce sont des états macabres, états néfastes qui mangent et hurlent à nos têtes .


Jamais, jamais tu m'entends ma fille, jamais tu ne te laissera faire par ces choses là .
Vivre ne suffit pas, il faut se battre, croire, marcher.
Éviter la facilité. Se laisser faire c'est toujours le meilleur moyen de ne pas y arriver.


Bordel.


J'y crois, un jour je réussirai, j'y serai, ce sera moi et pas vous-autres.
Vous qui me bouffez la vie, qui me prenez ce qui ferait mon bonheur .
J'ai beau ne plus y croire, ne plus savoir rêver, la certitude fait son travail.
Je sais que je ne serai pas toujours celle-là .
 
  • Big up !
Réactions : Julia_73 et Solsticia
A

AnonymousUser

Guest
Il se tenait debout devant l'entrée de l'église,il écrasa sa cigarette et entra dans l'église à l'abandon vêtu de noir ses cheveux blonds courts étaient trempés une mallette à la main. Que faisait-il là en ce matin d'hiver? Qu'est-ce qu'un jeune homme d'une vingtaine d'années pouvait bien faire là. Le jeune homme fit les cents pas quelques instants en fixant d'un air nerveux ce qui se trouvait dans la poche intérieure de sa veste.
Que font les gens en général dans une église? Ils prient,chantent,se font baptiser,se marient...Lui n'était là pour faire aucune de ces choses,il voulait se confesser ou plutôt se confier à quelqu'un sur ce qu'elle avait fait,ce dont elle avait tant honte à présent. Il s'approcha de ce qui semblait être le confessionnal d'un air résigné. Il s'assit et vit derrière le grillage se profiler la silhouette d'un homme.


-Bonjour je suis venue pour...
Il hésita avant de finir sa phrase,il baissa la tête et regarda ses mains.
-Pour vous confesser?
-Oui...Par où commencer?
-Je ne sais pas, que préférez-vous?


C'est vrai on songe à beaucoup de choses dans sa vie à tout sauf par quoi on pourrait bien commencer le jour où l'on songerait sérieusement à se confesser.


-Je ne sais pas...et bien je suis né en été enfin je crois. On dit souvent que l'abandon est un des actes les plus désespérés qui existe,moi j'ai toujours eue l'impression que le mien avait été millimitré et prémédité. On était en plein hiver lorsque ma mère m'a abandonnée j'avais trois ans devant un orphelinat emmitouflée dans un manteau hors de prix.
Je m'étais donc persuadé qu'un jour mon père et ma mère descendraient d'une magnifique limousine noire et viendrait m'arracher à ce lieu qui convenait pas à une personne de mon rang.
Ça n'est jamais arrivé...


Le prêtre l'écoutait avec une attention déconcertante il avait l'impression qu'il la fixait. A vrai dire cela la mit étonnamment mal à l'aise. Celui-ci reprit son récit,il décida de faire une ellipse inutile de parler des maltraitances qu'il avait subis durant son enfance et du mal-être qu'il avait ressenti pendant son adolescence.
A vrai dire, le temps lui manquait,le temps nous manque toujours au moment où nous en avons le plus besoin. Le jeune homme regarda sa montre d'un air de son regard froid.


-Où en étiez-vous?
-Venons-en au fait. Alors que je jonglais entre des petit boulots et mes études pour devenir avocat j'ai reçu un coup de fil.
Un certain notaire un monsieur Norton vint me rendre visite deux jours plus tard. Il me parla d'exécution testamentaire,de papiers,de compte bancaire. Je ne savais pas quoi dire,en gros il m'expliquait que ma mère était riche à millions et que j'étais son seul enfant.
-Vous deviez être heureux non?
-Non.
-Pourtant...vous alliez enfin avoir tout ce dont vous avez rêvé,le confort,le luxe...moi-même je ne dirais pas non.
Le jeune pêcheur se demanda si il avait bien devant lui un homme d'église,il n'avait pas vraiment le profil. Il avait l'air assez jeune,le peu qu'il disait sonnait faux,du moins avec le stéréotype du prêtre.
Quelquechose clochait et cela commençait à se faire de plus en plus ressentir.
-Comment ça?Vous ne diriez pas non?Les prêtres ne sont-ils pas sensés avoir fait v?u de pauvreté?
-Je l'ai donc rencontrée...elle s'était enrichie en montant sa propre maison de couture...elle était au-delà de mes espérances,élégante mais avec une très mauvaise santé. Elle voulait revoir l'enfant qu'elle avait abandonné 17 années auparavant. Nous avons passés trois semaines ensembles,les dernières de son existence.
Et un soir j'ai appris qu'elle s'était suicidée,probablement parcequ'elle ne supportait pas l'idée qu'on la voit comme ça,diminuée,malade,dépendante des autres...
Ça a fait la une des journaux. Je n'ai jamais cru à cette histoire de suicide...Non c'est un meurtre, vous comprenez?


-Je ne vois pas où est le mal dans tout ça. Vous vous êtes conduit comme le fils que toute mère aimerait avoir,dévoué et surtout désintéressé par l'argent. Ne doutez pas de vous. Un meurtre, un meurtre...C'est vite dit.


Le jeune homme se leva comme parcouru de spasmes,on aurait dit qu'il pleurait la tête entre ses mains. Non ce n'était pas ça,il était en train de rire à s'en décrocher la mâchoire. Il ne semblait pas prêt de s'arrêter de rire,en fait non. Celui-ci s'arrêta de rire au bout de quelques minutes.


-Pour tout vous dire...maintenant que vous le dites...c'est vrai je ne devrais pas douter de moi.
Vous ne lisez pas les journaux? N'est-ce pas?
Le prêtre put sentir au travers du parloir une montée d'agressivité chez son interlocuteur.
-Non effectivement.
-Vous ne savez donc pas que le hic...C'est moi le principal suspect.
(C'est un vestige du passé cette nouvelle :yawn: )
 
22 Avril 2011
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ICI

J'ai poster des texte que j'aime particulierement que j'avais poster auparavant pour accompagner des photos.
 
30 Mai 2008
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Montauban
De nous deux complices je n'ai qu'une photographie. Un cliché démodé d'un vieux kodak jetable, un bout de papier glacé qui remonte à l'ère où l'on hésitait encore entre l'effet brillant ou mat. Je ne l'ai jamais retrouvé mais j'imagine qu'il doit trainer dans un vieil album photo de famille, et pourtant c'est drôle mais je l'aperçois encore coincé entre deux feuilles de plastique, j'en aperçois chaque détail malgré le flou peu artistique. En une pression du doigt sur le déclencheur, voilà toute l'essence de nos deux vies qui se frôlent capturée sur la pellicule, voilà le mouvement figé dans l'infinie tendresse de son élan. Et pourtant, malgré mon sourire édenté et le tien, qui ne l'était pas encore à ce moment, nous semblons lutter l'un contre l'autre, pieds nus sur le carrelage du salon, mes petits poings serrés prêts à frapper contre ton corps de pantin. Sur cette photo, papa, tu ressembles au grand-frère que je n'aurai finalement jamais; dans tes yeux je vois les peurs d'un adolescent égaré, pour qui le temps a passé trop vite. La gamine qui se tient devant toi n'a pas huit ans, elle a ces mêmes cheveux d'ébène mais elle se tient de dos; ainsi, toi seul saisit à ce moment toute l'ambiguité du regard qu'elle te jette, et du geste qu'elle accomplit de sa main, prête à te bondir dessus comme un fauve affamé. Inconscients et inconstants, nous nous battions sans doute tous deux contre ce qui nous ronge encore, et, bien que tu aies abandonné la lutte, je reconnais ce sourire de bon perdant qu'ont ceux dont l'expérience a nourri le fair-play. Mais je ne me laisserai pas gagner.



J'avais besoin de l'avis d'inconnues. :)
 
Premier :
J'en connais des princesses, des paysannes, des gitanes, des connasses, des salopes, des Marie, des Lola. J'en connais des filles, certaines belles, d'autres sublimes, aussi bonnes que connes, abîmées par les hommes. J'en connais des putes, celles qui vendent leurs chaires, celles qui allument, qui brulent de passion, celles dans les yeux des quelles on voit l'horreur, celles qui n'ont plus d'âmes, celles qui n'ont que corps. J'en connais des nones, des gentilles mais connes, celles qui se font avoir puis qui se saoulent au bar, qui noient leurs désespoir, leur amour, leur chagrin. Puis j'connais les autres, celles qui ont tout pour plaire mais qui ne plaisent pas, celles qui sont seules et ne croient pas à l'amour. Celles qui disent aimer, mais qui mentent toujours. Je connais des filles qui aiment d'autres filles, et j'connais aussi celles qui aiment l'amour. Puis j'connais aussi celles qui n'aiment personne, les trahies, les perdues. Celles qui restent inconnues.

Deuxième :
Lunettes de soleil de marque, sacs à main hors de prix, sourires hypocrites, vêtements jamais trop chers. On claque du fric, on claque des bises, on connaît tout le monde sans connaître personne. On boit avec n?importe qui, on fume n?importe quoi. On se shoot aux m?urs et aux conformités. «Il est trop beau, tu le connais ?», dans l?oreille des copines ; «mais vous les mecs, vous êtes tous pareils», dans l?oreille des copains. Certains prennent plus de valeur que d?autres parce qu?ils sont plus beaux, plus riches, même s?ils n?ont rien dans le crâne, même s?ils n?ont rien foutus dans leurs vies. Les apparences, toujours des apparences, encore des apparences, encore plus. Mais qui sommes nous au fond ? Qui es-tu ? Qui suis-je ?

Troisième :
On finira dans des vieux garages avec de la chicha et un peu de shit. On finira par écouter du reggae sur la plage. On finira nus, on finiras saouls. On finira dans le même lit, je finirais dans tes bras. On finira à la Vodka. On finira par faire l'amour dans les champs de blé. On finira par se perdre, on finira par se retrouver. Par dormir sur les plages, par regarder l'écume se lever et installer un tout nouveau paysage. On finira par se crier des « je t'aime » un peu amer et désespérés. On finira par vouloir tout oublier. On finira par se perdre, l'un dans les bras de l'autre, on finira par se noyer dans les yeux de l'amour. On finira par se faire piéger, par tomber au fond du gouffre. Par se dévorer les courbes et les contours. On finira par être tendres ou alors par feindre. Tout finira par s'éteindre.

Quatrième :
L?amour, pour moi, c?est les câlins et les bisous sur le front lorsque ta moitié est malade ; c?est les mouchoirs et les petits gâteaux apportés. C?est les barquettes de framboises lorsqu?elle a ses règles. C?est passer une soirée sous une couverture à regarder de vieux films le soir de la Saint Valentin. C?est faire l?amour sur la table de la salle à manger étant saouls et un peu pressés. C?est laisser des petits messages sur le frigo en partant le matin. C?est lui offrir des fleurs. C?est lui mettre tes mains sur les yeux lorsque tu la croises dans la rue pour voir si elle te reconnaît. C?est manger une glace pour deux. C'est passer la main dans ses cheveux avant de dormir. C?est réveiller avec des bisous, c?est donner de la tendresse. L?amour c?est manquer, souffrir, se poser des questions, réfléchir. Mais c?est aussi donner, donner tout ce que tu peux, donner tout ce que tu as, se donner jusqu?au dernier bout de chair.
 
22 Août 2010
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Lille
C'est la rédaction que j'ai fourni au brevet blanc de français ... (sujet; souvenir marquant avec un ami)

C'était une belle soirée d'été.
Nous étions partis gambader.
Nous jouions comme des enfants,
Que nous étions à ce moment.

Rebroussant chemin bras ballants,
Humant les odeurs de Provence,
Dans nos yeux rieurs et brillants
Se reflétait notre innocence.

Etaient suspendus à la porte
Du grand chalet de tes parents
Divers filets de menthe forte,
Piments rouges et haricots blancs.

Comme des gardiens fantastiques,
Ils renfermaient en eux deux clefs.
Lorsque je saisis l'authentique,
Nous nous permîmes alors d'entrer.

A l'intérieur, tout était calme.
Nous nous dirigeâmes alors vers
La suite parentale, mais rien.
Et quand enfin nous y entrâmes...

Notre expression fut horrifiée,
Les larmes coulaient sur nos joues,
Tu sanglotais et suffoquais,
Adieu sourires et bonheurs fous

Car devant nos yeux s'étendait
Le corps inerte de ta mère
Ensanglantée et aux côtés
De feu ton père bien aimé.
 

Evony

Je t'ai dans la peau mais pas sous les doigts.
18 Janvier 2010
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ANGLET
Oui, il est parti. Il a claqué la porte tellement fort, que le bruit vibre encore dans ma tête. Oui ,j'ai envie de pleurer, mais les larmes ne montent pas. Je ne dois pas être si triste alors, ou, je ne réalise pas qu'il est parti. Je suis allongée sur le lit, j'ai froid, je tremble pourtant le soleil tape sur le velux. Je tire la couverture sur moi pour me réchauffer.J'entend Yuki miauler. Il rentre dans la pièce et saute sur le lit avec légèreté. Il sent bon, c'est normal, il l'as lavé hier. J'avais tellement ri de les voir se débattre, ils avaient trempés tout la salle de bains. Mais, c'était hier, j'aimerais tant repartir en arrière, j'effacerais tant d?erreurs. Yuki passe sous la couverture, je le sens se coucher en boule contre mon ventre. Comme pour réchauffer ce petit être, qui commence à prendre vie, je ne lui ai même pas encore dit. Mon corps s'est mis à trembler et j'ai senti des chaudes larmes coulées sur mes joues. Et je me suis endormie.

Quand je me suis réveillée, Yuki n'était plus contre moi, et le volet avait été fermé. était-il rentré ou est-ce quelqu'un d'autre. La deuxième hypothèse me semblait peu probable, c'était forcement lui.Je me suis levée, et me suis dirigée vers la salle de bain, mon maquillage avait coulé. J'avais vraiment une sale tête.

J'entendais la télévision. Il devait encore être énervé. Je suis resté à l'entrée du salon. Il était bien sur le canapé, Yuki, sur ses genoux, il a miaulé. Max a tourné la tête vers moi, il avait l'air si triste, je voulais juste le serrer dans mes bras. Il me fixé, il avait les yeux rouges, il avait surement pleuré. Je ne l'ai jamais vu pleuré depuis que je le connais et nous sommes ensemble depuis 3 ans. Il a l'air tellement dur , si résistant.

Je n'ose lui parler, il me fixe et je sens les larmes montent, je suis si coupable. c'est de ma faute mais je l'aime tellement, je ne veux pas le perdre. Il ouvre enfin la bouche et me demande de venir prés de lui. Je m?exécute, l?atmosphère est pesante. Je lui demande de me pardonner, et il me prend dans ses bras. J'ai senti son étreinte se resserrer, J'était bien entre ses larges épaules.
Mais je me souviendrais toujours de ses mots, c'est à ce moment que j'ai réalise que je pouvais vraiment le perdre.
"Je t'aime, sinon, je ne serais pas revenu"
 

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