Vos textes libres

17 Juillet 2008
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Paris
Ecstasy-moi.
Viens rire dans mes bras.
Ecstasy-moi.
Apprends moi à voler.

Je veux des feuilles vertes en moi.
Enroule-moi.
Je veux de L’hypnose Sans Directives.
Joue avec moi.

Laisse moi voir des couleurs, tourne moi la tête.
Je veux du plaisir. De l’hallucination. Amour hallucinatoire.
Embrasse-moi et goûte au coca in.
Intoxique-moi.

Ecstasy-moi.
Viens rire dans mes bras.
Ecstasy-moi.
Apprends-moi à voler.

//

Pour ma mère, écrit en 2008.

Reviens

Et derrière la ville le soleil disparait. J’ai beaucoup pensé ces derniers temps tu sais, beaucoup pensé à toi et à moi aussi. Je t’aime, j’aimerais que tu le saches, que tu le comprennes, que tu ne l’oublie pas. Ne l’oublie jamais s’il te plait. Ne m’oublie jamais. Il neige dehors. Tu la vois, toi aussi, la neige de ta fenêtre ? Il neige mais rien n’est blanc dans ma tête comme tout est noir dans la tienne.

Je crois, je suppose que plus rien ne va pour toi. Je ne veux pas que tu partes. Pense à moi, pense à lui, ce petit-bout, pense à tout ce qui te retient à la vie. Pense qu’après la pluie vient le beau temps. Ou, si tu ne veux pas des phrases préfabriquées qui n’ont aucune saveur, pense que la vie peut cacher des trésors. Pense que rien n’est jamais noir pour toujours et que la lumière peut revenir. Pense que je t’aime, pense qu’on a besoin de toi. Pense à…la guitare. Ça te dirait de prendre des cours de guitare ? Moi j’aimerais savoir comment jouer du piano. C’est beau aussi le piano. Je pourrais te jouer jeux interdits si tu veux, dis moi, j’apprendrai pour toi. Je me souviens de ton sourire quand tu pensais que je savais la jouer…c’est loin ce temps là.

A vrai dire…je ne sais pas vraiment quoi écrire. Je n’ai aucun mot, aucune idée, comment te rendre heureuse ? Il faudrait peut-être que tu le saches toi-même pour que je puisse t’aider. Puis-je t’aider ? Je me sens si impuissante. Tu sais, c’est dur de voir ceux que j’aime pleurer pour toi. C’est horrible de te voir si faible, je déteste ça. Je déteste aller te voir à l’hôpital, je déteste te voir triste. Je me sens si affreuse de dire ça. Tu parles comme une enfant parfois, mais c’est toi l’adulte. Qu’est-ce que tu fais ? Ne fais pas n’importe quoi. Moi je ne te laisserai pas alors ne me laisses pas. Tu sais quoi ? Tu n'en as pas le droit. Tu n'as pas le droit. Pas le droit de partir tout court encore plus que de partir autre part. Pas le droit de quitter la terre, pas le droit de faire d’un coffre en bois ou en pierre ta nouvelle maison. Pas le droit tu m’entends ? Je ne peux pas supporter ta souffrance, je ne peux pas supporter ça .J’aimerais, mais je ne peux pas. Tu me pardonnes ? Moi...je ne sais pas si je t’ai pardonnée. Je ne sais pas si je t’en veux, je ne sais pas, personne ne sait.

En fait, je ne peux pas comprendre l’effet que ça fait d’être tellement au bord du gouffre que sauter n’a plus aucune importance. Je t’offrirai une corde. Pour pouvoir te rattraper si un jour tu as encore envie de fermer les yeux. Tu as toujours été présente pour moi, et ces derniers temps, j’ai fait des efforts pour l’être aussi. J’ai fait des efforts mais ça n'a pas suffit. C’est une maladie il parait. Une maladie qui peut se guérir mais ça sera difficile de remonter la pente. Tu vas être forte, je le sais. Tu vas tout surmonter et tu vas vivre. Tu riras encore, tu seras de nouveau bien dans ta tête, j’aurai de nouveau la sensation que tu seras l’adulte et moi l’enfant, tu t’aimeras. Oui, tu t’aimeras.

Je sais que rien ne sera jamais plus comme avant parce que vous partez chacun de votre coté mais peut être y a t-il encore un espoir ? Non. Je sais bien que c’est terminé. Le seul espoir qu’il me reste est que tu reprennes gout à la vie. Je serai forte pour toi, je t’aimerai comme je ne peux m’empêcher de t’aimer maintenant. Comme je t’ai toujours aimée. Alors reviens.
 
20 Juillet 2011
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Pougny
Je souhaite vous partager le texte que j'ai écris pour les funérailles de ma grand mère qui auront lieu demain après midi. Je n'ai pas l'habitude ni le don d'écrire, encore moins de lire en public (gros stress, surtout dans ces circonstances). Je pense que l'important n'est pas la façon dont les mots sont choisis et utilisés mais les émotions dont ils sont imprégnés.



"Je pense que dans une vie il est rare de rencontrer beaucoup de personnes totalement bien intentionnées, qui nous portent un amour profondément sincère et inconditionnel.

Ma grand mère était une de ces personnes là pour moi.

Jamais une seule fois elle ne m'a jugée à la hâte; jamais elle ne m'a blessée; jamais elle ne m'a manqué d'attention. A chaque période de ma vie elle a été une oreille attentive et dépourvue de préjugés, une personne en laquelle je pouvais avoir une totale confiance.

Il est rare de pouvoir dire de quelqu'un que son attitude envers nous à toujours été irréprochable et pourtant je peut dire ça d'elle sans hésiter. Avec elle je me suis sentie soutenue, écoutée et comprise mais surtout je me suis sentie aimée.

Lorsque j'étais enfant elle m'emmenais régulièrement faire le marché avec elle. Ces moments là je suis persuadée de m'en souvenir toute ma vie. Je me rappelle de la joie que je ressentais à l'idée de passer la matinée à me promener sur le marché en sa compagnie et à bavarder.

Quand j'avais l'occasion de passer du temps avec elle j'aimais lui raconter toutes mes petites histoires sans importance mais aussi mes problèmes, mes inquiétudes et des choses plus personnelles. J'ai toujours su que jamais elle ne trahirais ma confiance quoi que je puisse lui confier.

Je l'ai toujours vue calme et gentille. Jamais je ne l'ai entendue proférer la moindre méchanceté ni se mettre injustement en colère. Elle était pleine de bon sens, toujours de bon conseil. Si elle en venait à faire des reproches ça n'étais jamais égoïstement mais toujours par prévenance. Elle était d'une empathie et d'une générosité extraordinaires.

On dit d'une grand mère qu'elle doit être un exemple pour ses petits enfants...pour moi elle l'était. Je serais heureuse de pouvoir un jour lui ressembler. Je l'ai toujours profondément aimée, c'est une chose dont je n'ai jamais doutée même dans les moments difficiles ou j'ai douté de presque tout.

A présent il me reste le souvenir de tous les bons moments passés en sa présence et la conviction que de là ou elle se trouve elle continue à veiller sur les êtres qui lui sont chers."
 
24 Janvier 2012
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Chagny
Texte écrit dans mes jeunes années.


Il était une fois un petit homme, qui traversait une longue route sans âge, presque aussi large que longue, pleine de poussière, irrégulière.


Ce petit homme portait sur son dos un sac. Il était remplis de choses diverses et toutes parfaitement inutiles pour sa condition : un livre de recette, une montre, une trousse vide, un stylo sans encre, des piles, une serviette de table, un cahier griffonné et illisible, une balance, un thermomètre, une règle, une petite culotte.


Il ne savait pas d'où provenait ces objets. Il portait ce sac parce qu'il le fallait ; un point, c'est tout.
Ces objets appartenaient sans aucun doute à quelqu'un qui attendait qu'on les lui rapporte.
Le petit homme marchait donc interminablement et indéfiniment. Marcher, avec sur ses épaules un sac qui pesait tous les jours un peu plus lourd. Il ne mangeait pas, il ne buvait pas : A quoi bon ?


Il marchait ; un pas puis un autre, une jambe ; un croisement monotone, un balancement méthodique et régulier. Voici tout ce qui rythmait l'esprit du petit homme.


Mais un jour, il se posa une question : Que se passerait-il s'il décidait de s'arrêter ? Juste pour voir...


Cette simple question provoqua en lui une telle stupeur qu'inconsciemment il s'arrêta. L'esprit du petit homme bouillonnait :
Eh oui ! pourquoi ne pas s?arrêter ? Mais pourquoi s?arrêter ? En vérité ? Par curiosité ? Mais qu'est ce que cela aurait-il d?intéressant ? Qu'est ce que cela aurait-il d'intelligent ? Tout à coup, le petit homme remarqua que plus rien ne bougeait autour de lui. Il réalisa que ses jambes ne se balançaient plus. Il s'était arrêter !
Quelle étrange sensation... Il en était tout ému. Il observa ses pieds, puis la route et décida de s'asseoir. Il n'en était plus à ça prés.


Il scruta le sol : du goudron, tapis d'une fine couche de gravier. Pas très confortable...


Puis, il observa le paysage : à l'horizon il distinguait de vagues palmiers. Les nuages étaient bas et le ciel avait une teinte orangée. Sans se souvenir de quel couleur était le ciel lorsqu'il marchait, il trouva celle-ci plutôt jolie.


Soudain, il se releva.


Était-il devenu fou ?? S'arrêter ainsi ! Comment avait-il pût ?! Il se mit alors à courir pour rattraper les pas perdus. Puis il s'arrêta net : Courir pour aller où ?


Cette question provoqua en lui une explosion. Pour calmer cette éruption, il se mit à courir encore plus vite, tout en s?agrippant aux anses de son sac. Mais cette course ne stoppa nullement ce flot continu d'interrogations, pire encore il ressentit une étrange douleur au fond de la gorge, qui allait en s'amplifiant.


Que lui arrivait-il ?!


Il décida de reprendre son pas habituel, mais désormais chacun de ces pas était une torture de plus car tous le renvoyait à cette terrible question : Pourquoi avancer ? Pour aller où ?
Redonner ce sac à son propriétaire redonner ce sac, ce sac... Il en a besoin...besoin...Mais si je ne le trouve pas ? Des objets ? Ridicules...


Le petit homme se trouvait dans le plus grand désarroi.


Il mourut quelque jours après avoir stoppé sa marche. Paralysé par toutes les questions qu'il se posait mais auxquels personne n'était venu répondre.


Le ciel s'assombrit et lorsque le petit homme ferma pour la première fois les yeux, des points lumineux apparurent un à un, parsemant le ciel de leur beauté.



Qu'en pensez vous? Les critiques sont bienvenus.




 

Juh

12 Juillet 2011
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Rennes
« Les journaux gratuits. Information rapide et souvent incomplète, mais information quand même. Que nous soyons de Lyon, Lille, Strasbourg, Rennes, Toulouse, et bien sûr Paris, nous connaissons tous ce phénomène, des étudiants qui distribuent des journaux gratuits à la sortie des transports en commun. On pourra toujours critiquer, de raison, la qualité journalistique de ces journaux, on ne leur enlèvera jamais leur vertu sociale. J'aime m'asseoir dans un bus, "Métro", train, ce que vous voulez, et trouver un "Direct Matin" à ma place, le feuilleter et le laisser là, pour qu'une autre personne puisse elle aussi survoler l'actualité entre deux stations de métro. Le prendre, passer "20minutes" avec, et le déposer dans mon train, pour qu'un autre complète avec plus de dextérité les mots croisés. Ou seulement qu'une superstitieuse consulte l'horoscope en passant. Ou qu'un téléphile zieute le programme du soir. Quel qu?en soit ce qu'on y cherche, on se les passe de mains en mains, et chacun y laisse quelque chose. Comme lorsqu'on prête un livre à une amie, qui y dépose des miettes de gâteau, du sable de ses dernières vacances,... Les livres ont cette odeur des gens, l'odeur de la vie de ceux qu'ils l'ont lu, des lieux où ils ont étés, de ce qu'ils ont fait avec, de nos mains, ou de ce que nous avons touché. J'aimerais que les gens laissent des petits commentaires, dessins, pensées, dédicasses,... Dans ces journaux gratuits. Qu'on s'amuse à communiquer avec on-ne-sait-qui, mais c'est ça qui est marrant. Sans évidemment tomber dans la bêtise sans fond des commentaires sur certains forums sur internet...
Mettre des petits mots, comme des phrases fines qui se mangent sans faim, que chacun s'échangerait sans fin, sans savoir avec qui, parce qu'au fond on s'en fout. »





Si vous voulez le voir dans son habitat naturel : Les journaux gratuits - On-s'tient-au-Juh
 
Tout petit texte que j'ai écris il y a 6 mois.

Vers l'horizon, elle avança, car désormais sa vie n'étais plus que fracas.
Laissant derrière elle la fumée, en admirant une dernière fois les cendres s'envolées.
Chaque pas l'éloignant de lui, de cette vie et du souvenir de cet homme qu'elle fuit.
Sans aucun remord, elle avait fait son choix pour échapper à la mort.
Et tout bas elle se disait, qu'elle était forte, qu'elle y arriverait.
Mais en elle, tout n'était que désespoir, elle n'avait plus rien, plus personne en qui croire.
Et comme seule amie et compagnie, la douleur qu'elle ressentait ici.
Voici les rimes d'un coeur brisé, de tout rêves envolés.
 
Ce matin j'étais motivée à décrire l'amour sur un bout de papier,
Projeter un sentiment ineffable relève d'une capacité affreuse de simplicité,
Et puis j'ai pris mes armes, je suis partie me promener dans un halot de douceur,
A la recherche de rimes, et de l'explication que j'espérais avec ardeur,
J'ai rencontré l'Espoir, il m'a dit d'attendre, que rien ne tomberait dans l'oubli,
J'ai rencontré l'Amitié et elle m'a certifié avoir déjà pactisé avec lui,
J'ai continué à marcher le Temps m'a soufflé de ne jamais m'en soucier,
Il viendrait de lui-même, au moment voulu, et éclairerait l'ombre dans mes pensées,
La Sagesse m'a pris la main, m'a dit de goûter avec retenue à ce fruit parfois infecté,
J'ai appris à attendre et à espérer, j'ai donc été rejoindre tranquillement mon foyer.

Mais sur ma route, j'ai rencontré l'Homme, de haut en bas il m'a regardée, De son sourire moqueur il s'est écrié : « Tu n'es qu'une enfant, du haut de tes 18 années, Crois-tu avoir le droit à l'amour ? Il fallait y penser avant de se laisser abuser. »
 
30 Janvier 2012
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? Entre l?envie de dire ce que je pense de toi et la raison de te dire ce que je sens envers toi ? je préfère t?écrire ce que mon c?ur ressent pour toi : Tu vois, ce sourire qui se dessine sur ton visage quand tu me vois, ce regard qui se décline à chaque fois que je t?intimide, ces traits si tendres si purs, ces lèvres qui reposent sur les miennes faisant rejaillir un bonheur intense , cette voix masculine et douce à la fois qui me chuchote des mots sucrés, ces mains qui se posent sur mes cheveux à chaque baiser, ces caresses qui m?envoutent de ton charme, ces bras qui m?enveloppent de ta chaleur, cette allure d?homme virile quand tu marche devant moi , ce silence qui explique tant de choses, ce rire qui me rempli de joie? Puis cette air triste que tu as quand on se sépare, cette mélodie que tu ne cesse de me murmurer à chaque instant , ce comportement pour me prouver que tu es fort comme un roc sans moi, cette sensibilité que tu essaye de cacher, cette habitude de me tenir la main quand je m?endorme à tes côtés, cette façon de me fixer dans les yeux, ce don de me consoler, de me calmer et de m?encourager ? ce besoin de me parler, de me séduire, et de m?attirer comme au premier jour, ce désir de vouloir toujours me toucher, me caresser, me frôler, cette peur qui te transperce quand tu imagine ta vie sans moi, ce sentiment qui se réveille quand tu m?admires tel un tableau étranger à ton esprit, cette envie de m?embrasser quand je m?y attends le moins, cette soif d?amour que tu n?admettra jamais ? tu écoutes, tu vois, tu sens ? ce c?ur qui bat à chacune des tes pas, ce souffle léger qui s?amplifie quand tu t?approche, cette sensation d?être en sécurité avec toi ? celle qui te dévore des yeux, celle qui t?enflamme par ses baisers, celle t?enseveli de tendresse, de passion, celle qui te charme par ses mots, ses formes, celle qui t?a aimé, qui t?aime et continuera de t?aimer ? Ce n?est que moi ? l?ombre de ta voix, ta raison d?exister, la femme de ta vie ? !

:red:
 
30 Août 2011
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Je la regardais et ne voyais que sa pâleur et sa presque transparence, sa peau striée de fines arabesques bleues, brillant à leurs extrémités. Ses longs cheveux étaient d'argent, et flottaient autour d'elle comme si le vent était là, alors qu'il était tombé avant la nuit. Son odeur était légère, elle sentait la pluie et les fleurs. Je n'étais pas effrayée par son doux regard aux yeux bleus-gris sans pupilles. Elle me sourit.
J'entendis une voix mais sa bouche n'esquissait aucun mot. Elle parlait à une part profonde de mon être, j'oserais même dire qu'elle parlait directement avec mon âme. Mon coeur se mit à battre moins vite, mais plus fort.

"Tu te demandes qui je suis. Mon nom importe peu, il est même imprononçable dans ton monde. Tout ce que tu as à savoir, c'est que la Nuit est mon manteau, les étoiles ma couronne. J'ai créé la Lune pour te guider, pour te ramener à moi. Tu as chevauché avec le vent, et te voilà. Vole, ma fille, ton destin t'attend."
 

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