J'ai posté un message l'année dernière un peu inquiète mais après un an à la fac (à mi-temps certes) voici mon petit témoignage:
-J'imagine que ça déjà été dit mais bordel allez aux CM. J'en ai vu plein qui n'y allaient plus au bout de deux semaines par flemme et qui à la fin du semestre venaient me quémander mes cours. Entre l'hosto et les cours j'étais à 35h (au lieu de 30h si je faisais que les cours à temps plein) et je ne compte pas là les trajets et le travail perso. Alors ça me gène pas de les passer quelques fois, mais tout le temps c'est pénible, surtout quand ils les perdent et qu'ils me les redemandent. Je ne parle évidemment pas des étudiants qui ont des problèmes de santé, j'avais une amie dans ce cas et il n'y a évidemment aucun problème.
- Allez au moins faire un tour à la BU, juste une fois en début d'année. Ça permet de se familiariser un peu avec les lieux même si vous êtes sûrs de ne pas y mettre les pieds un jour. C'était mon cas au début et au bout de quelques mois je me suis rendue compte que je bossais bien mieux dans un endroit studieux que seule chez moi.
-Bossez, certes, mais pas à l'épuisement. Alors je ne sais pas si je suis la seule dans ce cas, mais j'ai tendance à trop bosser. Même si je connaissais mon cours, je voulais le refaire une énième fois, refaire à nouveau les schémas (je suis en licence scientifique) pour être sûre que je les connaissais sur le bout des doigts et ça inlassablement. Ca m'est arrivé quelques fois d'arriver à l'hosto plus tôt que prévu pour être sûre que j'étais seule et profiter du tableau blanc pour refaire mes schémas, encore et encore. Tout ça à cause d'un gros problème de confiance en moi. Le problème? Avec mes troubles médicaux j'ai finis en état d'épuisement psychique parce que je travaillais trop. Résultat, on a du installer des temps très limités pour que je puisse bosser et augmenter les temps de repos.
-Lors des réunions de rentrée, n'écoutez mais que d'une oreille. Vous allez me dire que c'est très bizarre ce que je dis mais: quand ils annoncent le pourcentage de réussite en fonction des mentions au bac, c'est des moyennes (à la con). Ça m'a foutu une pression de dingue (dans ma licence, pour les personnes qui n'ont pas eu de mention, le taux de passage en L2 était de 40%) car j'ai eu mon bac au rattrapage, je me sentais totalement nulle, avec un niveau scolaire inférieur aux autres. Sauf que, le bac ne représente (pour ma part en tout cas)pas son niveau réel. En bossant comme je faisais au lycée, j'ai eu des meilleurs résultats que des personnes qui avaient eu mention très bien. Pourquoi? Simplement parce que j'ai travaillé.
-Je plussoie le message plus haut sur les soirées. Vous pouvez très bien et très facilement vous intégrer sans participer aux soirées/évènements d'intégration (et c'est une associale qui parle). Les réunions de rentrées aident un peu, et dans ma fac, la visite de la BU est un jeu de piste en groupe de 3, donc ça permet de créer facilement des liens. Mais aussi, les premiers cours/TD permettent de lancer la discussion.
-J'imagine que ça déjà été dit mais bordel allez aux CM. J'en ai vu plein qui n'y allaient plus au bout de deux semaines par flemme et qui à la fin du semestre venaient me quémander mes cours. Entre l'hosto et les cours j'étais à 35h (au lieu de 30h si je faisais que les cours à temps plein) et je ne compte pas là les trajets et le travail perso. Alors ça me gène pas de les passer quelques fois, mais tout le temps c'est pénible, surtout quand ils les perdent et qu'ils me les redemandent. Je ne parle évidemment pas des étudiants qui ont des problèmes de santé, j'avais une amie dans ce cas et il n'y a évidemment aucun problème.
- Allez au moins faire un tour à la BU, juste une fois en début d'année. Ça permet de se familiariser un peu avec les lieux même si vous êtes sûrs de ne pas y mettre les pieds un jour. C'était mon cas au début et au bout de quelques mois je me suis rendue compte que je bossais bien mieux dans un endroit studieux que seule chez moi.
-Bossez, certes, mais pas à l'épuisement. Alors je ne sais pas si je suis la seule dans ce cas, mais j'ai tendance à trop bosser. Même si je connaissais mon cours, je voulais le refaire une énième fois, refaire à nouveau les schémas (je suis en licence scientifique) pour être sûre que je les connaissais sur le bout des doigts et ça inlassablement. Ca m'est arrivé quelques fois d'arriver à l'hosto plus tôt que prévu pour être sûre que j'étais seule et profiter du tableau blanc pour refaire mes schémas, encore et encore. Tout ça à cause d'un gros problème de confiance en moi. Le problème? Avec mes troubles médicaux j'ai finis en état d'épuisement psychique parce que je travaillais trop. Résultat, on a du installer des temps très limités pour que je puisse bosser et augmenter les temps de repos.
-Lors des réunions de rentrée, n'écoutez mais que d'une oreille. Vous allez me dire que c'est très bizarre ce que je dis mais: quand ils annoncent le pourcentage de réussite en fonction des mentions au bac, c'est des moyennes (à la con). Ça m'a foutu une pression de dingue (dans ma licence, pour les personnes qui n'ont pas eu de mention, le taux de passage en L2 était de 40%) car j'ai eu mon bac au rattrapage, je me sentais totalement nulle, avec un niveau scolaire inférieur aux autres. Sauf que, le bac ne représente (pour ma part en tout cas)pas son niveau réel. En bossant comme je faisais au lycée, j'ai eu des meilleurs résultats que des personnes qui avaient eu mention très bien. Pourquoi? Simplement parce que j'ai travaillé.
-Je plussoie le message plus haut sur les soirées. Vous pouvez très bien et très facilement vous intégrer sans participer aux soirées/évènements d'intégration (et c'est une associale qui parle). Les réunions de rentrées aident un peu, et dans ma fac, la visite de la BU est un jeu de piste en groupe de 3, donc ça permet de créer facilement des liens. Mais aussi, les premiers cours/TD permettent de lancer la discussion.