@Rocksteady
J'ai plusieurs hypothèses, non étayées scientifiquement
Déjà je me demande si les humains n'ont pas évolué à l'abri des prédateurs. J'imagine mal des animaux s'attaquer à un groupe d'humains, et étant donné l'autonomie très limitée des bébés homo sapiens je suppose que les nourrissons vadrouillaient rarement seuls dans la nature...
Peut-être que la manière de faire grandir était un peu différente aussi, plus fusionnelle. Par exemple quand on regarde des petits mammifères non-humains, les premières heures quand ils ne savent pas faire grand chose (donc les premiers mois pour les bébés humains...) ils sont collés à la fourrure de leur mère ou de leur père selon les espèces.
En tout cas en l'absence de prédateurs, je peux imaginer que des bébés qui savent pleurer soient avantagés, à condition bien-sûr d'avoir la bonne balance pleurs/mignonnitude, histoire de ne pas se faire abandonner dans la forêt ; les adultes, soit par empathie soit par fatigue (souvent les deux à mon avis), vont tout essayer pour combler les besoins de leur petite terreur, d'autant plus si les cris sont durs à supporter. Donc : ils seront mieux nourris, peut-être plus couverts, certainement plus portés dans les bras et protégés, ce qui peut résulter en un avantage évolutif.
J'ai plusieurs hypothèses, non étayées scientifiquement
Déjà je me demande si les humains n'ont pas évolué à l'abri des prédateurs. J'imagine mal des animaux s'attaquer à un groupe d'humains, et étant donné l'autonomie très limitée des bébés homo sapiens je suppose que les nourrissons vadrouillaient rarement seuls dans la nature...
Peut-être que la manière de faire grandir était un peu différente aussi, plus fusionnelle. Par exemple quand on regarde des petits mammifères non-humains, les premières heures quand ils ne savent pas faire grand chose (donc les premiers mois pour les bébés humains...) ils sont collés à la fourrure de leur mère ou de leur père selon les espèces.
En tout cas en l'absence de prédateurs, je peux imaginer que des bébés qui savent pleurer soient avantagés, à condition bien-sûr d'avoir la bonne balance pleurs/mignonnitude, histoire de ne pas se faire abandonner dans la forêt ; les adultes, soit par empathie soit par fatigue (souvent les deux à mon avis), vont tout essayer pour combler les besoins de leur petite terreur, d'autant plus si les cris sont durs à supporter. Donc : ils seront mieux nourris, peut-être plus couverts, certainement plus portés dans les bras et protégés, ce qui peut résulter en un avantage évolutif.