La stupidité scénaristique.
Quand un personnage montré comme intelligent fait un truc stupide/ oublie un point important/ laisse de côté une interrogation hyper-importante / ne transmet pas ou ne signale pas une information capitale/ fait une démarche néfaste à terme alors que c'est évident que ce sera néfaste / oublie joyeusement des procédures/ etc. pour faire avancer l'histoire, la continuer malgré tout et créer du suspense à peu de frais.
Je ne parle même pas des films d'horreur ou de certains codes dans d'autres genres où, oui, c'est bête, mais c'est le genre qui veut ça et il y a moyen de jouer avec mais de vrais actes de bêtise pure et dure qui sont juste une ficelle scénaristique.
Aussi, dans certaines oeuvres, quand on est dans le camp des gentils, on peut tout se permettre, ce n'est même pas questionné.
ça m'énerve, j'ai envie de dire au personnage "non, là, tu t'es comporté comme un.e crevard.e "
Mais ce qui fait aussi pour moi un bon personnage du camp du "bien", c'est sa capacité à admettre ses erreurs, envers tout le monde, pas juste ses amis/autresducampdesgentils et à évoluer.
(Je regarde une série en ce moment, les cartes "campdesgentils" et "stupidité scénaristique" ressortent quasiment à chaque épisode, j'en ai marre)