Lorsqu'on est sous trithérapie et que le taux de virus est extrêmement bas et jugulé, le risque de transmission du VIH lors d'un rapport sexuel est quasi inexistant (et on met "quasi" juste pour être prudent ).
Sans doute que le taux de réplication du virus et son niveau immunitaire étaient alors effectivement "surveillés" par son médecin
(Je crois que je suis la seule à avoir l'esprit un peu mal tourné , désolée. Du coup, mes posts précédents peuvent être mal interprétés : sa séropositivité n'ayant rien de drôle, bien évidemment)
Je ne comprends pas la subtilité séropositif / n'a pas le SIDA. Il a appris sa séropositivité après avoir consulté le médecin suite à des symptômes, non, il est donc malade, au sens clinique du terme, non ?
Je veux bien qu'on m'éclaire