Ce sujet est dédié aux réactions concernant cette actu : Conseils pour signer un contrat d'édition (et éviter les pièges)
Des amis auteurs se sont vus proposés des à valoir, même pour un premier roman, donc cela peut arriver. Après bien sûr, ce n'est pas "anormal" ou "louche" si ce n'est pas le cas, ce n'est pas ce que je voulais dire. J'explique simplement que certains le font, d'autres non, c'est à nous de voir ce que l'on veut.ans le cadre d'un auteur qui démarche une maison d'édition avec un projet déjà rédigé, on ne verse pas d'à-valoir. Si on ne vous propose pas d'à-valoir, ce n'est donc pas si anormal que cela.
Oui, c'est vrai, mais en général il est conseillé de ne pas aller en dessous de ces 10% c'est pour ça que j'ai parlé de cas général, ce n'est pas une obligation.les 10% de droits d'auteur sont une moyenne, et non pas un minimum
C'est malheureux mais vrai. Cela me paraissait tellement évident que je ne l'ai pas précisé tu fais bien d'en parler.Enfin je me permets d'insister sur le fait que publier un premier roman c'est absolument génial, mais que cela ne permet pas de vivre de l'écriture
Si un éditeur ne veut pas prendre le temps de discuter avec vous, de vous détailler tout ça, ou vous rembarre (déjà vu) : partez
Donc si vous êtes malignes et pas trop exigeantes, vous pouvez vous auto-éditer pour 0€
Quand au conseil des 10%, il n'est pas très fiable.
Par exemple, la plupart des grosses maisons d'éditions proposent entre 5 et 8% de droits d'auteurs (mais l'écrivain s'y retrouve car il vend beaucoup plus).
Quand aux plus petites maisons d'édition, les droits d'auteurs meuvent être inexistants (à fuir), peu élevés ou bien dépasser les 10%... c'est la roulette russe.
C'est pe parce que ton article a 6 ans, mais je n'appelle pas ça de l'auto-édition.J'avais écrit un petit article en 2009 (oui ça date) afin de comparer les services des trois principales structures d'auto-édition de l'époque : édilivre, lulu.com, publibook