Totalement d'accord avec ma voisine du dessus.
Ca a décollé vers la fin, et je me suis vraiment dit : Zut, je commençais à accrocher quand ça se termine ! Après, sur un format aussi court, c'est difficile je pense de se rendre compte en 8 épisodes, il faut installer l'histoire, tout ça. Et puis honnêtement, le mini format médiéval a déjà été génialement exploité par Astier, et je pense que ça reste dans l'inconscient (surtout quand on voit son frère à l'écran, super apparition d'ailleurs)
Mais bravo toutefois pour le personnage féministe, Nicolas Berno qui déclame de la poésie dans un couloir (c'était vraiment merveilleux) et le très génial épisode 7 et ce qu'il dénonce (no spoil donc je dirais pas quoi)