@Mrs Sulu c'est n'observer les révoltes que par le prisme de la violence. C'est comme pour les manifs contre le la Loi Travail, quand les médias choisissent de parler surtout des casseurs. Ou un peu différemment pour les mouvements de grève, quand on va interviewer en priorité les usagers des transports, qu'on met en scène les manifestants uniquement sous le prisme de la gêne ou des dégâts qu'ils font, jamais dans le contexte de violence social qui appelle ces rapports de force.