En fait, nos cerveaux répondent à un stimulus : ils nous alertent, nous indiquent que quelque chose cloche et préparent notre corps à la fuite ou au combat.
Il y a aussi les peurs qui paralysent, et celles-là, elles ne préparent ni à la fuite, ni au combat, juste à hurler sur place en attendant un danger imminent, voire une mort immédiate.
Une peur non abordée dans l'article, une peur sociétale inconsciente, permanente et qui pour le coup est réellement malsaine: la peur de l'autre, qui provoque le rejet, voire la haine, d'un groupe de personnes, et qui est à l'origine d'agressions, de meurtres voire de génocides. Et elle est très difficile à résoudre, ne disparaît jamais complètement, et peut selon les circonstances prendre une ampleur impossible à enrayer.