Yep, perso ça a été l'implant.
Je n'ai jamais eu de relation sérieuse avec des garçons/hommes, donc je n'ai jamais été vraiment concernée par le risque de grossesse. Du coup je n'avais comme contraception que des capotes (... deux fois.) et roule. La pillule ne m'emballait pas des masses parce que ma mère l'avait prise et avait eu un épisode dépressif jusqu'à ce qu'elle passe au DIU au cuivre et bon, niveau épisode dépressif, j'avais déjà largement ma dose.
Et puis un jour ma compagne m'a fait remarquer qu'être pliée en deux de douleur à cause de mes règles, et de voir prendre des jours une fois par mois parce que j'étais clouée au lit, ça n'était pas normal. Du tout. Et que probablement je faisais de l'endométriose, et que consulter ça ne serait pas du luxe. Sauf que moi et les gynéco ça fait douze et moins je baisse mon slip devant un-e inconnu-e-s mieux je me porte. Donc j'ai fais les yeux doux à mon médecin qui m'a prescrit une boite de pillule, pour voir. Sauf qu'il fallait soit disant respecter la semaine des règles et donc ça changeait pas grand chose à mon problème (et ça m'énerve parce que ça ne sert biologiquement, à rien. C'est juste une habitude sexiste mise en place par de vieux romblons qui comprennent pas grand chose à la psychologie féminine).
Au final je me suis pointée à l'hopital, j'ai dis que je voulais un implant et advienne que pourra.
Et pourra : LA LIBERTE.
Plus de règles, plus de douleurs, plus de sautes d'humeur, de fatigue, de douleurs, de nausées, de douleurs, de sang dans les vêtements, de douleurs, de boutons, de déprime et ai-je parlé de la douleur ?
Fabuleux.