Bon, ces histoires font flipper de ouf.
Sans étonner qui que ce soit ^^'
J'ai eu plusieurs histoires de suivage relou, mais l'un d'eux m'avait particulièrement fait flipper alors je le raconte ici :
C'était le lendemain d'une soirée et je prenais le train, qui attendait dans la gare pour 20mn (un truc du genre). Je rentre dans le train, je vois un type allongé avec sa chapka sur plusieurs sièges, il me regarde, par un réflexe stupide je SOURIS (je suis de base amicale avec les gens, mon plus grand défaut... euh non en fait ?) et je trace ma route pour trouver un endroit qui me sied. Là parmi tous les sièges possibles je choisis un STRAPONTIN contre une des parois du train. Je commence à m'installer avec mon bouquin.
Et là, qui arrive avec sa chapka (je précise parce que sinon j'aurais pas reconnu comme je suis pas physionomiste et aussi parce que le mot est rigolo) ? Le type. Il se penche et me fait la bise (je fais par réflexe parce que je sais pas) puis s'assied à côté de moi et commence à me dire qu'on s'est déjà vus au bar (j'en avais jamais fréquenté à l'époque et le type avait au moins 50 ans). Je lui dis que c'est pas possible, il me répond "si, tu t'appelles comment", je lui sors un nom au pif et là il commence à me dire que je suis l'amour de sa vie, qu'il m'a jamais oubliée, je lui dis de se casser et IL ESSAIE DE M'EMBRASSER. Par un réflexe inconnu de moi-même j'arrive à lui poser un pied sur la taille en le tenant à distance avec mes bras et je pousse le plus fort possible avec mon pied : il se retrouve sur le bord opposé du train. Et là il commence à m'insulter, tout ça, je me foutais de sa gueule en disant qu'il était bourré, et là un pote pas encore remis de la veille rentre dans le train, me voit et vient me faire la bise pour s'asseoir à côté de moi, le type se barre sans demander son reste.
Pendant tout ce temps, les gens passaient à côté de nous sans m'adresser un seul regard alors que j'étais clairement en détresse. Quand j'ai raconté à mon entourage, les gens ont trouvé ça dégueulasse mais personne n'était aussi horrifié que ce qu'on se dirait maintenant, c'était bizarre quand j'y repense a posteriori.
Zéro confiance en l'humanité^^
Oh, et en autre suivage mais ce coup-ci potentiel, un type toujours dans le train (que je prenais tous les jours) qui vient alors que je papotais avec mon cousin tranquille un beau matin de Juin, s'assied avec nous et me dis "Tu as mis un short aujourd'hui. C'est bien, il fait lourd".
=> Le malaise.