Niquer tranquillement quand on est en coloc, la pire galère

[Manu]

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[grenouilleau]

Il me semblait bien que le régime soviétique était décrié pour pas mal de trucs, dont les fameux appartements communautaires (on peut en voir un exemple dans le film de Klapisch, les Poupées russes). J'ai bien l'impression que le libéralisme économique nous impose le même concept, avec les mêmes conséquences désagréables, qu'illustre bien ce court-métrage. Parce que vivre en coloc, ça peut-être un vrai choix, mais c'est quand même bien souvent dicté par la gêne économique, et la quasi absence de logements à prix corrects sur le marché.
Je rappelle quand même qu'au Moyen Âge, les étudiants avaient droit à des loyers encadrés.

 

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Pour de nombreuses et multiples raisons variées, mon actuel amoureux est retourné vivre chez sa maman. Et du coup, pour la première fois de ma vie amoureuse, je dois composer avec la proximité de la chambre d'une tierce personne.
J'ai donc appris à faire l'amour en silence dans le noir ou la pénombre, sans faire grincer le lit, sans taper dans les murs, sans faire clac-clac, umf-umf ou fap-fap.
Sauf quand on est chez moi ou que belle-maman est absente.
Ça change... Mais je n'ai jamais autant ri au lit . Ça développe l'imagination et permet une vraie explosion de liberté quand on se retrouve seuls
Je serai quand même contente le jour où on sera juste tous les deux.