Ce sujet est dédié aux réactions concernant ce post : Cette infection génitale méconnue qui touche 1/3 des femmes
Pour ce que j’en ai compris lorsque j’ai moi même subi le problème, les antibios règlent le problème à court terme, en éliminant toutes les bactéries responsables des désagréments. Mais ces bactéries sont naturellement présentes dans la flore vaginale, donc elles vont revenir. Ce qui n’est pas un problème tant qu’elles ne sont pas en surnombre. Donc pour éviter qu’elles prolifèrent, les lactobacilles sont top car ils rééquilibrent le pH de la flore vaginale ( qui se déséquilibre au choix si : stress, bains de mer, règles, rapports sexuels... la liste est longue) sans effet secondaire. Parfois pas besoin d’antibios, les lactobacilles suffisent, parfois la prolifération est telle qu’il faut d’abord passer par la case antibios. Mais pour avoir utilisé en prévention les lactobacilles trois jours par mois depuis 18 mois, je dois dire que ça semble efficace. Par contre ça a un coût : 9€ les sept dosettes ( donc deux mois d’utilisation seulement...) dans les pharmacies en ligne ( le double à ton officine habituelle). Et ce n’est pas remboursé.Je ne comprends pas : "Si elle devient gênante, il est possible de la traiter par antibiotiques, mais ces derniers ont tendance à déséquilibrer la flore, ce qui peut déclencher un cercle vicieux…
Souvent, leur prescription est donc associée à un traitement par lactobacilles pour ré-équilibrer la flore, avec des probiotiques que l’on administre par le vagin ou par la bouche."
Ça veut dire que le traitement lui-même cause des complications (= cercle vicieux qui vient des médicaments sur le marché) ? Ou que le traitement est parfois incomplet, pas prescrit correctement (= cercle vicieux qui vient d'une méconnaissance de certains soignants)?