Ce sujet est dédié aux réactions concernant ce post : Comment te disputer SAINEMENT avec tes potes
Lire la suite ...
Dernière modification par un modérateur :
Comment te disputer SAINEMENT avec tes potes
- Initiateur de la discussion AlixM
- Date de début
Lire la suite ...
M
Membre supprimé 146616
Guest
J'ai une astuce. Quand ça bloque vraiment ou qu'on sort d'une grosse engueulade, écrire une note (sur du papier) et la donner à la personne. On peut davantage prendre son temps, choisir ses mots, et iel peut aussi prendre son temps pour la lire.
M
Membre supprimé 146616
Guest
@Myriam Bruxelles Moi, zen? ça dépend avec qui et ça dépend de quoi on parle! 
Je sais pas vous mais moi plus j’approche de la trentaine et moins j’ai d’amis car je trouve que la plupart sont ch****....lol
En les frappant avec un gant, et en leurs donnant rdv à l'aube. Ils ont le choix de l'arme. Je choisis la distance.
Moi aussi plus j'ai avancée en âge plus mon cercle d'ami.e.s s'est restreint de lui même. Et en plus j'ai décidé d'être exigeante au sujet de mon amitié, je ne la distribue pas par générosité, elle se mérite 
et c'est très long, rapport au fait que j'ai énormément de mal à faire confiance aux gentes. Donc, quand je désigne une personne comme "ami.e.s" c'est que c'est du solide et du sûr.
J'ai un premier cercle de 5 personnes avec qui je partage pratiquement tous mes points de vue et valeurs donc pas de "dispute" tout au plus des degrés de tolérance ou d'engagement donc ça donne plutôt des débats respectueux.
Pour les cercles plus lointain l'investissement émotionnel étant plus léger si y'a vraiment grosse dispute je coupe les ponts point barre.
D'aucun appelle ça l'écologie de l'amitié.
et c'est très long, rapport au fait que j'ai énormément de mal à faire confiance aux gentes. Donc, quand je désigne une personne comme "ami.e.s" c'est que c'est du solide et du sûr. J'ai un premier cercle de 5 personnes avec qui je partage pratiquement tous mes points de vue et valeurs donc pas de "dispute" tout au plus des degrés de tolérance ou d'engagement donc ça donne plutôt des débats respectueux.
Pour les cercles plus lointain l'investissement émotionnel étant plus léger si y'a vraiment grosse dispute je coupe les ponts point barre.
D'aucun appelle ça l'écologie de l'amitié.
C'est rigolo cet article, parce qu'en ce moment on a une réflexion avec des ami-e-s autour de ça...
Autant j'ai pas de souci à avoir une discussion posée avec des gens pour régler des mini-comptes, autant les gros bails, j'ai toujours tendance à moi me remettre en question en 1er et à en parler à mon mari... Et je me rend compte que souvent, c'est moi qui sur-interprète ou qui ait un contrat moral tacite trop élevé avec les gens. Du coup je m'auto-soûle
.
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
Autant j'ai pas de souci à avoir une discussion posée avec des gens pour régler des mini-comptes, autant les gros bails, j'ai toujours tendance à moi me remettre en question en 1er et à en parler à mon mari... Et je me rend compte que souvent, c'est moi qui sur-interprète ou qui ait un contrat moral tacite trop élevé avec les gens. Du coup je m'auto-soûle
.
J'ai l'impression qu'il est plus facile de se disputer et de se rabibocher quand on est au collège/lycée qu'adultes.
A l'âge adulte quand il y a dispute généralement ça veut dire que c'est fini. Déjà parce que pour en arriver à la dispute ça veut dire que la diplomatie est brisée et qu'on est moins enclines à accepter des choses qui nous déplaisent. Je trouve aussi que le seuil de tolérance est plus bas, un mot de travers parfois peut te coûter l'amitié (amitié qui n'était pas très solide en passant) alors qu'ado on avait pas de filtres et c'était plus fluide. Machine ne "te causait plus" (expression des 90s en primaire!) et 2 jours plus tard c'était reparti pour un tour.
Le mieux c'est de rester diplomate si c'est de la dispute sur des idées ou concepts.
Si c'est par rapport à une crasse, éviter de laver son linge en public pour ne pas créer des effets pervers de "je te soutiens" ou "il te soutient et pas moi".
A l'âge adulte quand il y a dispute généralement ça veut dire que c'est fini. Déjà parce que pour en arriver à la dispute ça veut dire que la diplomatie est brisée et qu'on est moins enclines à accepter des choses qui nous déplaisent. Je trouve aussi que le seuil de tolérance est plus bas, un mot de travers parfois peut te coûter l'amitié (amitié qui n'était pas très solide en passant) alors qu'ado on avait pas de filtres et c'était plus fluide. Machine ne "te causait plus" (expression des 90s en primaire!) et 2 jours plus tard c'était reparti pour un tour.
Le mieux c'est de rester diplomate si c'est de la dispute sur des idées ou concepts.
Si c'est par rapport à une crasse, éviter de laver son linge en public pour ne pas créer des effets pervers de "je te soutiens" ou "il te soutient et pas moi".
Quand je lis ce genre d'articles je me rends compte que je suis devenue une vraie asociale.
J'ai quasiment plus d'amis, ceux que j'ai je les aime beaucoup mais j'ai du mal à conserver un contact, même quand on est dans la même ville.
Il y a qu'avec ma pote qui habite à l'autre bout de la France, on s'appelle une fois par semaine quelques heures. J'apprécie beaucoup.
Mais les autres j'ai du mal. Pas que je les aime pas ou quoi, j'aime passer du temps avec eux. J'ai juste plus l'énergie. Depuis que je suis handi je me suis quasi coupée de tous. Et je le vis très bien. J'ai mon cocon, ma petite routine, le contact social ne me manque pas. J'ai énormément de loisirs perso. Et forcément mes potes comprennent pas que je sors jamais, que j'annule au dernier moment les sorties. Pourtant j'ai expliqué que j'avais développé un trouble agoraphobe (j'ai énormément de mal à sortir de chez moi et je l'explique pas). Au début ils sont compréhensifs puis ils finissent tous par se facher...dans un sens je comprends. Je préfère le contact téléphonique. Venir chez moi ça veut dire que si je suis fatiguée, je vais pas oser leurs dire.
Pourtant de mon côté si j'ai une amie comme ça, je suis très compréhensive. Je culpabilise pas, ni rien. Mais les gens en retours le sont jamais. Ceux qui ont un handicap le comprenne plus.
Quand je fais une soirée je mets une semaine à m'en remettre. J'ai mal, mais c'est surtout la fatigue et le besoin de dormir qui me plomble le plus. Je dors en moyenne 15 heures par jour. Les maladies auto immunes provoquent ça, plus la codéine pour mes douleurs.
Du coup l'isolement c'est ma solution pour qu'on arrête de me culpabiliser et de pas comprendre mon état. C'est un peu triste car avant j'adorais sortir, faire la fête et tout. J'apprécie toujours autant mais les cuillères sont plus là. Faut faire avec.
Du coup quand je rencontre une personne intéressante, je fais plus aucun effort pour pas être déçue. Mes amis sont toujours là mais je sens bien une tension alors on s'éloigne aussi. C'est difficile pour des valides de comprendre le quotidien.
J'ai quasiment plus d'amis, ceux que j'ai je les aime beaucoup mais j'ai du mal à conserver un contact, même quand on est dans la même ville.
Il y a qu'avec ma pote qui habite à l'autre bout de la France, on s'appelle une fois par semaine quelques heures. J'apprécie beaucoup.
Mais les autres j'ai du mal. Pas que je les aime pas ou quoi, j'aime passer du temps avec eux. J'ai juste plus l'énergie. Depuis que je suis handi je me suis quasi coupée de tous. Et je le vis très bien. J'ai mon cocon, ma petite routine, le contact social ne me manque pas. J'ai énormément de loisirs perso. Et forcément mes potes comprennent pas que je sors jamais, que j'annule au dernier moment les sorties. Pourtant j'ai expliqué que j'avais développé un trouble agoraphobe (j'ai énormément de mal à sortir de chez moi et je l'explique pas). Au début ils sont compréhensifs puis ils finissent tous par se facher...dans un sens je comprends. Je préfère le contact téléphonique. Venir chez moi ça veut dire que si je suis fatiguée, je vais pas oser leurs dire.
Pourtant de mon côté si j'ai une amie comme ça, je suis très compréhensive. Je culpabilise pas, ni rien. Mais les gens en retours le sont jamais. Ceux qui ont un handicap le comprenne plus.
Quand je fais une soirée je mets une semaine à m'en remettre. J'ai mal, mais c'est surtout la fatigue et le besoin de dormir qui me plomble le plus. Je dors en moyenne 15 heures par jour. Les maladies auto immunes provoquent ça, plus la codéine pour mes douleurs.
Du coup l'isolement c'est ma solution pour qu'on arrête de me culpabiliser et de pas comprendre mon état. C'est un peu triste car avant j'adorais sortir, faire la fête et tout. J'apprécie toujours autant mais les cuillères sont plus là. Faut faire avec.
Du coup quand je rencontre une personne intéressante, je fais plus aucun effort pour pas être déçue. Mes amis sont toujours là mais je sens bien une tension alors on s'éloigne aussi. C'est difficile pour des valides de comprendre le quotidien.
@HellaSlytherin
Je ne sais pas toi mais moi je n'ai que des amis extravertis et c'est dur de dire non à chaque fois (je suis une vraie introvertie avec phases d'extraversion quand je vais bien).
Non seulement ils proposent des sorties mais après il se trouve qu'on sera plusieurs.
Au début ça me déplaisait d'avoir l'invité surprise ou de me retrouver à une soirée mais finalement je me dis que ça me demande moins d'effort quand on est plusieurs. Je peux laisser les autres parler pendant que je me perds dans mes pensées. Alors qu'à deux il faut être présente quoi
.
Je ne sais pas toi mais moi je n'ai que des amis extravertis et c'est dur de dire non à chaque fois (je suis une vraie introvertie avec phases d'extraversion quand je vais bien).
Non seulement ils proposent des sorties mais après il se trouve qu'on sera plusieurs.
Au début ça me déplaisait d'avoir l'invité surprise ou de me retrouver à une soirée mais finalement je me dis que ça me demande moins d'effort quand on est plusieurs. Je peux laisser les autres parler pendant que je me perds dans mes pensées. Alors qu'à deux il faut être présente quoi
.Discussions similaires
