Ce sujet est dédié aux réactions concernant ce post : Être étudiante et sortir tous les soirs, piège ou bonne idée ?
Lire la suite ...
Dernière édition :
Être étudiante et sortir tous les soirs, piège ou bonne idée ?
- Initiateur de la discussion Faustine M
- Date de début
Lire la suite ...
Beh je dirais faire les choses les plus raisonnables et censées de la terre… même de l'univers ! 
- Si t'as cours ou le boulot le lendemain, évite de te coucher à 4h du matin.
Je pense qu'il y a pas de souci à s'accorder des sorties le soir après les cours et d'avoir fait ses devoirs si on en a envi. Tant que ça reste raisonnable, se donner un couvre feu par exemple.
- Et revoir son rapport avec l'alcool.
L' alcool, c'est dangereux, c'est mauvais pour la santé et il n'y a aucun intérêt à se mettre minable pour s'amuser. On a peut être l'impression d'être plus en forme le lendemain, mais en fait c'est tout l'inverse. C'est comme quand on a soudainement chaud après quelques verres, c'est une illusion, le corps à froid.
Boire modérément et connaitre ses limites.
- Si t'as cours ou le boulot le lendemain, évite de te coucher à 4h du matin.
Je pense qu'il y a pas de souci à s'accorder des sorties le soir après les cours et d'avoir fait ses devoirs si on en a envi. Tant que ça reste raisonnable, se donner un couvre feu par exemple.
- Et revoir son rapport avec l'alcool.
L' alcool, c'est dangereux, c'est mauvais pour la santé et il n'y a aucun intérêt à se mettre minable pour s'amuser. On a peut être l'impression d'être plus en forme le lendemain, mais en fait c'est tout l'inverse. C'est comme quand on a soudainement chaud après quelques verres, c'est une illusion, le corps à froid.
Boire modérément et connaitre ses limites.
Mauvaise idée.
Pour 2 raisons : l’addiction à l’alcool et le coût de l’opération.
Il y avait une fille à mon école qui sortait tous les soirs et elle était devenue limite alcoolique, sa peau s’était énormément dégradée, bref elle respirait pas la bonne santé.
Et puis ça coûte très cher selon l’endroit, il y a eu un été ou je suis sortie beaucoup, c’est que des petites sommes donc ça passe plus inaperçu ! Eh bien j’ai été surprise de voir mon compte bancaire à la fin du mois... et pas en bien.
Pour 2 raisons : l’addiction à l’alcool et le coût de l’opération.
Il y avait une fille à mon école qui sortait tous les soirs et elle était devenue limite alcoolique, sa peau s’était énormément dégradée, bref elle respirait pas la bonne santé.
Et puis ça coûte très cher selon l’endroit, il y a eu un été ou je suis sortie beaucoup, c’est que des petites sommes donc ça passe plus inaperçu ! Eh bien j’ai été surprise de voir mon compte bancaire à la fin du mois... et pas en bien.
J'ai vécu une année de cette manière 
Enfin, je ne sortais pas TOUS les soirs mais, allez, 3 fois par semaines oui, le jeudi, vendredi et samedi.
Personnellement, c'est un rythme de vie que je me suis "permis" parce que je retapais une année ( échec n'ayant rien à voir avec mon mode de vie par contre, j'avais juste besoin d'une année de plus pour correctement ingurgiter toutes les connaissances propres à une L2 de Droit, 1/3 de ma promo a redoublé cette année là... ) et que jpar conséquent, j'avais un emploi du temps trèèèès allégé.
Avec le recul, c'est évident que j'aurai pu ( dû ? ) utiliser tout ce temps libre pour faire quelque chose de plus utile, comme un job étudiant... Honnêtement, je n'en avais pas envie ( et j'avais la chance de ne pas avoir nécessairement besoin d'un job pour payer mes études ), je traversais un phase difficile car je venais de couper les ponts avec des amis très proches et plus que tout, j'avait toujours été une élève très sérieuse et appliquée et je voulais vraiment faire ce que je voulais pendant quelques mois.
C'est triste mais cette année là, j'ai rencontré des personnes que j'ai cotoyé pendant plusieurs mois en soirée... en étant à chaque fois bourrée ( et eux aussi ! ) En plus, j'ai intégré une bande qui buvait vraiment énormément à cette période, et plusieurs d'entre eux ont effectivement développé des symptômes de l'alcoolisme à 20 ans ( bouffi, tremblements, foie en très mauvais état, etc )
Et franchement, je déconseille vraiment d'en arriver à de telles extrémités, pour les études, pour les sous (encore qu'eux, ils avaient des parents pleins aux as ) pour la santé..... Il vaut clairement mieux limiter ce genre d'excès, j'ai vu de près à quoi ça ressemblait, c'est vraiment chaud
De mon côté, je n'en suis pas arrivée là mais effectivement, j'ai raté beaaaucoup de cours pour pouvoirs décuver tranquille. J'avais mes propres priorités quoi
Quoique ça encore, je ne trouve pas ça dramatique car quand tu es à la fac, c'est parfois très compliqué de suivre un cours en amphi, le prof va très vite et sans être en gueule de bois, ça peut être inutile de venir et plus intéréssant de récupérer le cours pour le travailler chez soi.
Enfin bref, je n'ai plus ce rythme de vie, c'est une envie qui m'a passée. Mais en fait, je remarque que beaucoup des jeunes qui font tout ça agissent surtout pour l'aspect grisant que ça fait. Personnellemement, je me souviens que si je sortais autant, c'est parce que je savais pertinnement que passés ces quelques mois, je ne pourrais plus jamais le faire et c'est pour ça que ça me tenait tant à coeur
EDIT : En fait, en relisant mon message, je constate qu'en vrai, je ne regrette pas du tout. J'ai adoré cette année là, parce que j'ai rencontré pleins de monde, que je me suis énormément amusée ( rien à voir avec l'alcool ) et que j'avais besoin de tout ça, de sortir autant, de décompresser autant de cette manière là, je voulais vraiment le vivre comme ça. Tout ça a vraiment fait partie de ma construction.
Mais comme dit plus haut, j'avias alors un emploi du temps allégé et peu de responsabilités, je ne pourrai évidemment plus me le permettre aujourd'hui.
Enfin, je ne sortais pas TOUS les soirs mais, allez, 3 fois par semaines oui, le jeudi, vendredi et samedi.Personnellement, c'est un rythme de vie que je me suis "permis" parce que je retapais une année ( échec n'ayant rien à voir avec mon mode de vie par contre, j'avais juste besoin d'une année de plus pour correctement ingurgiter toutes les connaissances propres à une L2 de Droit, 1/3 de ma promo a redoublé cette année là... ) et que jpar conséquent, j'avais un emploi du temps trèèèès allégé.
Avec le recul, c'est évident que j'aurai pu ( dû ? ) utiliser tout ce temps libre pour faire quelque chose de plus utile, comme un job étudiant... Honnêtement, je n'en avais pas envie ( et j'avais la chance de ne pas avoir nécessairement besoin d'un job pour payer mes études ), je traversais un phase difficile car je venais de couper les ponts avec des amis très proches et plus que tout, j'avait toujours été une élève très sérieuse et appliquée et je voulais vraiment faire ce que je voulais pendant quelques mois.
C'est triste mais cette année là, j'ai rencontré des personnes que j'ai cotoyé pendant plusieurs mois en soirée... en étant à chaque fois bourrée ( et eux aussi ! ) En plus, j'ai intégré une bande qui buvait vraiment énormément à cette période, et plusieurs d'entre eux ont effectivement développé des symptômes de l'alcoolisme à 20 ans ( bouffi, tremblements, foie en très mauvais état, etc )
Et franchement, je déconseille vraiment d'en arriver à de telles extrémités, pour les études, pour les sous (encore qu'eux, ils avaient des parents pleins aux as ) pour la santé..... Il vaut clairement mieux limiter ce genre d'excès, j'ai vu de près à quoi ça ressemblait, c'est vraiment chaud
De mon côté, je n'en suis pas arrivée là mais effectivement, j'ai raté beaaaucoup de cours pour pouvoirs décuver tranquille. J'avais mes propres priorités quoi
Quoique ça encore, je ne trouve pas ça dramatique car quand tu es à la fac, c'est parfois très compliqué de suivre un cours en amphi, le prof va très vite et sans être en gueule de bois, ça peut être inutile de venir et plus intéréssant de récupérer le cours pour le travailler chez soi.Enfin bref, je n'ai plus ce rythme de vie, c'est une envie qui m'a passée. Mais en fait, je remarque que beaucoup des jeunes qui font tout ça agissent surtout pour l'aspect grisant que ça fait. Personnellemement, je me souviens que si je sortais autant, c'est parce que je savais pertinnement que passés ces quelques mois, je ne pourrais plus jamais le faire et c'est pour ça que ça me tenait tant à coeur
EDIT : En fait, en relisant mon message, je constate qu'en vrai, je ne regrette pas du tout. J'ai adoré cette année là, parce que j'ai rencontré pleins de monde, que je me suis énormément amusée ( rien à voir avec l'alcool ) et que j'avais besoin de tout ça, de sortir autant, de décompresser autant de cette manière là, je voulais vraiment le vivre comme ça. Tout ça a vraiment fait partie de ma construction.
Mais comme dit plus haut, j'avias alors un emploi du temps allégé et peu de responsabilités, je ne pourrai évidemment plus me le permettre aujourd'hui.
Non mais on peut aussi sortir sans boire d'alcool hein.....même si je ne nie pas que pour beaucoup sortie=alcool voir grosse cuite c'est pas non plus obligatoire hein.
J'ai fait 5 ans d'études universitaires en sortant très souvent les soirs (parce que envie de profiter de la ville, des ami.e.s, des températures ou que sais-je d'autres) Ben je n'ai ni foiré mes études, ni suis devenue alcoolique.
Ce avec quoi je suis d'accord par contre c'est que pour se permettre de sortir il faut avoir quelques règles, genre faire des devoirs avant toutes choses par exemple. Mais après je vois pas spécialement le souci.
J'ai fait 5 ans d'études universitaires en sortant très souvent les soirs (parce que envie de profiter de la ville, des ami.e.s, des températures ou que sais-je d'autres) Ben je n'ai ni foiré mes études, ni suis devenue alcoolique.
Ce avec quoi je suis d'accord par contre c'est que pour se permettre de sortir il faut avoir quelques règles, genre faire des devoirs avant toutes choses par exemple. Mais après je vois pas spécialement le souci.
Pendant une année, j'ai fait ça aussi 
J'avais la chance de ne pas avoir besoin de beaucoup de sommeil, et d'avoir une résistance à la gueule de bois assez magique (même si les quantités astronomiques d'eau avalées en même temps que les quantités tout aussi astronomiques de bière doivent y être pour quelque chose), et donc j'ai cumulé les cours et les sorties en permanence. Après réflexion je sais pas comment j'ai fait, à l'heure actuelle ça me semble impossible
Mais je suis contente de l'avoir fait. Ca n'a pas eu un effet délétère, j'ai adoré ça, je suis contente d'avoir testé le bazar, c'était une sorte de liberté entre adolescence et jeune adulte qu'on peut pas spécialement avoir plus tard. C'était un peu extrême (et c'est comique parce que je suis pas vraiment extrême, je suis plutôt une mamie avant l'âge, mais tester le bazar dans un cool environnement, c'est une chouette chance), pas toujours méga malin (même si je l'ai bien vécu, suis pas certaine que mon corps l'ait aussi bien vécu que moi, bien que je ne vois pas vraiment de conséquences pratiquement). Je le referai plus, essentiellement parce que je l'ai déjà vécu, et que ça m'a suffi, maintenant je préfère dormir avant d'aller en cours à 8h
Je pense que j'ai pas trop fait de bêtises parce que j'ai entendu mon père me répéter à l'envi "si on sait sortir, on sait se lever le matin !", que ça a résonné dans ma p'tite tête et que je me suis donc toujours levée le matin, parfois certes avec les traits du visage un peu froissés. Mais j'étais debout, et les sorties n'ont jamais été une excuse pour quoi que ce soit.
J'avais la chance de ne pas avoir besoin de beaucoup de sommeil, et d'avoir une résistance à la gueule de bois assez magique (même si les quantités astronomiques d'eau avalées en même temps que les quantités tout aussi astronomiques de bière doivent y être pour quelque chose), et donc j'ai cumulé les cours et les sorties en permanence. Après réflexion je sais pas comment j'ai fait, à l'heure actuelle ça me semble impossible
Mais je suis contente de l'avoir fait. Ca n'a pas eu un effet délétère, j'ai adoré ça, je suis contente d'avoir testé le bazar, c'était une sorte de liberté entre adolescence et jeune adulte qu'on peut pas spécialement avoir plus tard. C'était un peu extrême (et c'est comique parce que je suis pas vraiment extrême, je suis plutôt une mamie avant l'âge, mais tester le bazar dans un cool environnement, c'est une chouette chance), pas toujours méga malin (même si je l'ai bien vécu, suis pas certaine que mon corps l'ait aussi bien vécu que moi, bien que je ne vois pas vraiment de conséquences pratiquement). Je le referai plus, essentiellement parce que je l'ai déjà vécu, et que ça m'a suffi, maintenant je préfère dormir avant d'aller en cours à 8h
Je pense que j'ai pas trop fait de bêtises parce que j'ai entendu mon père me répéter à l'envi "si on sait sortir, on sait se lever le matin !", que ça a résonné dans ma p'tite tête et que je me suis donc toujours levée le matin, parfois certes avec les traits du visage un peu froissés
. Mais j'étais debout, et les sorties n'ont jamais été une excuse pour quoi que ce soit.
Pour toutes celles qui ont fait ça pendant une année entière, vous faisiez comment en terme d’argent ?
Parce que vu le prix de la simple bière..
Ou alors c’était chez des gens, avec un vin à 1,5€ ?
Parce que vu le prix de la simple bière..
Ou alors c’était chez des gens, avec un vin à 1,5€ ?
@Dame de lotus
C’est vraiment pas cher... c’est limite criminel
On avait un bar dans mon école mais c’était plus du 3-4€ dans mes souvenirs.
Donc au final même une par jour (seulement du lundi au vendredi) ça te faisait quand même du 70€ par mois en moyenne).
C’est vraiment pas cher... c’est limite criminel
On avait un bar dans mon école mais c’était plus du 3-4€ dans mes souvenirs.
Donc au final même une par jour (seulement du lundi au vendredi) ça te faisait quand même du 70€ par mois en moyenne).
@PetitePaille C'était souvent chez des gens, ça aidait un peu à amortir
Honnêtement, moi ce qui a joué, c'est que la bande avec qui je sortais à ce moment là avaient vraiment des parents pleins aux as. Une fois, pour fêter le permis d'une pote, ils ont commandé deux bouteilles de champagnes à 40 balles chacune
Mais perso moi, avec mes économies beaucoup plus modestes, je devais tourner autour de 40€ par mois dépensés dans les soirées, parfois plus, parfois moins... ça dépend beaucoup de ce que tu fais après, si tu vas en boîte ou non par exemple.
Mais ça restait relativement raisonnable dans mon cas dans la mesure où généralement on commandait aux happy hours et qu'une pinte me tenait longtemps car je bois très lentement...
Honnêtement, moi ce qui a joué, c'est que la bande avec qui je sortais à ce moment là avaient vraiment des parents pleins aux as. Une fois, pour fêter le permis d'une pote, ils ont commandé deux bouteilles de champagnes à 40 balles chacune
Mais perso moi, avec mes économies beaucoup plus modestes, je devais tourner autour de 40€ par mois dépensés dans les soirées, parfois plus, parfois moins... ça dépend beaucoup de ce que tu fais après, si tu vas en boîte ou non par exemple.
Mais ça restait relativement raisonnable dans mon cas dans la mesure où généralement on commandait aux happy hours et qu'une pinte me tenait longtemps car je bois très lentement...
Salut ! Merci pour ta remarque, j'ai changé la formulation. Il ne s'agit pas d'inciter à prendre à la drogue, ce qui est, en plus, illégal.
J'ai fait ça (trop) longtemps pour clairement m'échapper d'un état mental calamiteux #déni #fuiteenavant et c'était une très mauvaise idée, j'ai fait un malaise vagal en me révéillant après une nuit de 3h en ayant enchaîné un mois d'excès (littéralement, je sortais chaque soir), ben ça m'a calmé. J'ai une profonde admiration envers les gens qui arrivent à tenir le rythme et SURTOUT assurer au final mais je peux pas m'empêcher de ressentir une petite crispation en me demandant combien de temps leur corps va tenir sans lâcher avec de lourdes conséquences...
Dernière édition :
Discussions similaires
