Ce sujet est dédié aux réactions concernant ce post : La pire année de ma vie m’envoie en clinique psychiatrique
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La pire année de ma vie m’envoie en clinique psychiatrique
- Initiateur de la discussion Une madmoiZelle
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C
ClemBouBou
Guest
Attention à l’illustration qui pourrait être un trigger pour certaines personnes
Tout mon amour à la madz pour écrire tout ca! Bravo, quel courage!
J'ai personnellement fait un séjour en clinique de jour à cause d'une dépression il y a 5 ans. Et la madz a raison (et j'ai pensé comme elle): tiens, ce sont des gens tout à fait normaux.
Je ne peux que dire du bien de mon séjour de 10 semaines. Ce n'est pas "comme dans les films" où on est attaché au lit avec une camisole de force et on t'administre des calmants qui te font baver (au sens propre).
Il s'agit plutôt d'un groupe de personnes où chacun a un/des problème(s) qu'il ne peut plus gérer seul. Alors on en parle, on fait des balades en forêt, on va jouer au bowling, on a un emploi du temps avec beaucoup d'heures libres, on voit un psy plusieurs fois par semaine, on a des groupes de discussions et petit à petit, on se reconstruit!
Il me tarde de lire le prochain récit de la madz! Tellement contente que ca aille mieux pour elle!
Et à chaque madz là-dehors: aller chercher de l'aide n'est pas un signe de faiblesse mais de force!
J'ai personnellement fait un séjour en clinique de jour à cause d'une dépression il y a 5 ans. Et la madz a raison (et j'ai pensé comme elle): tiens, ce sont des gens tout à fait normaux.
Je ne peux que dire du bien de mon séjour de 10 semaines. Ce n'est pas "comme dans les films" où on est attaché au lit avec une camisole de force et on t'administre des calmants qui te font baver (au sens propre).
Il s'agit plutôt d'un groupe de personnes où chacun a un/des problème(s) qu'il ne peut plus gérer seul. Alors on en parle, on fait des balades en forêt, on va jouer au bowling, on a un emploi du temps avec beaucoup d'heures libres, on voit un psy plusieurs fois par semaine, on a des groupes de discussions et petit à petit, on se reconstruit!
Il me tarde de lire le prochain récit de la madz! Tellement contente que ca aille mieux pour elle!
Et à chaque madz là-dehors: aller chercher de l'aide n'est pas un signe de faiblesse mais de force!
Qu'est-ce que cette histoire m'a touchée et profondément émue. Ça fait vraiment plaisir de voir l'autricer aller mieux. Bon courage à elle et bravo pour sa résiliance et notamment sa capacité à écrire tout ça 
Cette histoire m'avait tellement fendue le coeur. Je trouve ça triste tout ce qu'elle a subi en si peu de temps. Je suis réellement soulagée que son cauchemar ait une issue plus positive et qu'elle arrive à partager ce qu'elle a vécu ainsi.
Par contre dans quel contexte on peut faire cette "blague"/ horeur: "dis lui de ne pas se louper la prochaine fois"??
La madz a vraiment subi tellement de violences, je suis vraiment soulagée (encore une fois) qu'elle aille mieux après ça.
Par contre dans quel contexte on peut faire cette "blague"/ horeur: "dis lui de ne pas se louper la prochaine fois"??
La madz a vraiment subi tellement de violences, je suis vraiment soulagée (encore une fois) qu'elle aille mieux après ça.
@EnterTheNinja @Loupe3536 @if_then_else Sorry j'ai modifié 
mea culpa.
Mais oui, ça n'a aucun interet de lui dire ça sérieux.
mea culpa.Mais oui, ça n'a aucun interet de lui dire ça sérieux.
Thomas flanque vraiment la frousse dans cet épisode 
On dirait presque un méchant de dessin animé, mais ce genre de personne existe dans la vraie vie, malheureusement : une de mes amies a aussi connu une histoire de ce genre avec un gars qui a très mal pris de se faire rejeter (sans que ça aille aussi loin, heureusement, mais elle a quand même dû déposer une main courante) et il tenait plus ou moins le même discours que Thomas dans ses messages à l'auteure. D'ailleurs, j'apprécie beaucoup les encarts de la psychologue qui explique comment on peut se retrouver pris.e dans un tel engrenage et donne des conseils pour se détacher au mieux de la personne nocive. J'espère que ça pourra aider les madz qui seraient éventuellement dans ce genre de situation. Vous n'êtes pas seules 
L'auteure n'arrive pas à se détacher de Thomas malgré le mal qu'il lui fait parce qu'elle a peur pour lui et qu'elle ne veut pas qu'il se fasse du mal (et il en joue, évidemment). Ce n'est pas de la faiblesse. C'est signe d'une grande empathie. Mais parfois, être une personne compatissante peut jouer contre nous et il faut le savoir. La seule chose à faire quand on se retrouve face à une personne comme Thomas, c'est de fuir. Même son père est d'accord
Sinon, ce qui est décrit dans cet article m'a rappelé ma période la plus sombre. Je m'en suis relevée et je suis heureuse que ce soit le cas de l'auteure également
On dirait presque un méchant de dessin animé, mais ce genre de personne existe dans la vraie vie, malheureusement : une de mes amies a aussi connu une histoire de ce genre avec un gars qui a très mal pris de se faire rejeter (sans que ça aille aussi loin, heureusement, mais elle a quand même dû déposer une main courante) et il tenait plus ou moins le même discours que Thomas dans ses messages à l'auteure. D'ailleurs, j'apprécie beaucoup les encarts de la psychologue qui explique comment on peut se retrouver pris.e dans un tel engrenage et donne des conseils pour se détacher au mieux de la personne nocive. J'espère que ça pourra aider les madz qui seraient éventuellement dans ce genre de situation. Vous n'êtes pas seules L'auteure n'arrive pas à se détacher de Thomas malgré le mal qu'il lui fait parce qu'elle a peur pour lui et qu'elle ne veut pas qu'il se fasse du mal (et il en joue, évidemment). Ce n'est pas de la faiblesse. C'est signe d'une grande empathie. Mais parfois, être une personne compatissante peut jouer contre nous et il faut le savoir. La seule chose à faire quand on se retrouve face à une personne comme Thomas, c'est de fuir. Même son père est d'accord
Sinon, ce qui est décrit dans cet article m'a rappelé ma période la plus sombre. Je m'en suis relevée et je suis heureuse que ce soit le cas de l'auteure également
Sinon ouais entièrement d'accord avec la madz du témoignage (j'ai pas lu tous les épisodes et en diagonale, venant de sortir de quelques années des pires années de ma vie aussi), sur le fait qu'en hôpital psy, il y a aussi des personnes...comme les autres ?
J'ai passé deux mois en hôpital de jour de crise, post dépression et comportement suicidaire, et en fait il y avait vraiment de tout (mais beaucoup de jeunes). Étudiants, pilote de lignes, avocat, chômeur, cuisinier, etc. Et ça m'a tellement rassuré que j'étais pas là seule en détresse. Première fois que je testais les thérapies de groupe, moi qui était super réticente à me livrer face à autrui, j'ai vécu la meilleure thérapie de ma vie. Malgré une grosse réserve. En fait c'était hyper bienveillant comme atmosphère. On se soutenait tous. On a lié des liens extraordinaires en peu de temps, une confiance en groupe que j'aurais jamais pu possible.
Comme on nous avait dit, généralement les groupes gardent très peu contacts au-delà de quelques mois. Et c'est vrai. Déjà parce que la thérapie soigne la crise mais le combat vers la guérison est encore long, on a pas tous le même rythme. Et quand tu as guéri d'une longue dépression perso je pouvais plus soutenir mon entourage de connaissances (mise à part les gens vraiment proches) s'ils étaient pas stables psychologiquement. J'ai fui les gens pas bien. Je pouvais plus.
Et aussi on garde peu ou pas contact car ça te replonge dans un moment de vulnérabilité, de souvenirs de mal-être. Mais je garderais cependant toujours un souvenir très tendre de ce que j'ai vécu avec ces gens.
J'ai passé deux mois en hôpital de jour de crise, post dépression et comportement suicidaire, et en fait il y avait vraiment de tout (mais beaucoup de jeunes). Étudiants, pilote de lignes, avocat, chômeur, cuisinier, etc. Et ça m'a tellement rassuré que j'étais pas là seule en détresse. Première fois que je testais les thérapies de groupe, moi qui était super réticente à me livrer face à autrui, j'ai vécu la meilleure thérapie de ma vie. Malgré une grosse réserve. En fait c'était hyper bienveillant comme atmosphère. On se soutenait tous. On a lié des liens extraordinaires en peu de temps, une confiance en groupe que j'aurais jamais pu possible.
Comme on nous avait dit, généralement les groupes gardent très peu contacts au-delà de quelques mois. Et c'est vrai. Déjà parce que la thérapie soigne la crise mais le combat vers la guérison est encore long, on a pas tous le même rythme. Et quand tu as guéri d'une longue dépression perso je pouvais plus soutenir mon entourage de connaissances (mise à part les gens vraiment proches) s'ils étaient pas stables psychologiquement. J'ai fui les gens pas bien. Je pouvais plus.
Et aussi on garde peu ou pas contact car ça te replonge dans un moment de vulnérabilité, de souvenirs de mal-être. Mais je garderais cependant toujours un souvenir très tendre de ce que j'ai vécu avec ces gens.
Parfois il faut toucher le fond malheureusement pour remonter...
Je suis soulagée de la tournure des événements et contente que ses parents soient enfin un vrai soutien. J'ai hâte de lire un happy ending
J'avais un ex comme Thomas, faut les bloquer de partout ces gens là, c'est la seule solution... Et serrer les dents quand un garçon qu'on fréquente, un ami, un parent vient nous dire qu'il a été harcelé par ce type.
Je suis soulagée de la tournure des événements et contente que ses parents soient enfin un vrai soutien. J'ai hâte de lire un happy ending
J'avais un ex comme Thomas, faut les bloquer de partout ces gens là, c'est la seule solution... Et serrer les dents quand un garçon qu'on fréquente, un ami, un parent vient nous dire qu'il a été harcelé par ce type.
Juste pour dire que quand vous prenez conscience de votre mal être, quand vous demandez de l’aide, ce n’est pas de la faiblesse, mais au contraire une véritable force : la volonté d’aller mieux et de faire tout pour et ça demande beaucoup de courage.
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