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Le télétravail, c’est fini, mais je n’ai aucune envie de retourner au bureau. Help !
Le télétravail, c’est fini, mais je n’ai aucune envie de retourner au bureau. Help !
Le télétravail, c’est fini, mais je n’ai aucune envie de retourner au bureau. Help !
- Initiateur de la discussion Chère Daronne
- Date de début
Je suis partagée.
Je comprends les réticences à retourner au bureau. Evidemment, pour certains, le télétravail a été une solution plus que plaisante. Pas seulement pour le temps de trajet mais aussi pour le confort.
Personnellement, je suis ravie de retourner au bureau. Je déteste le télétravail. Et le fait que certains ne veulent pas revenir dégradent légèrement mon retour au travail, notamment dans mes équipes. J'ai perdu depuis mars 2020 ce qui me faisait aussi apprécier mon taf: les rapports interpersonnels, les réunions qui sont bien plus intéressantes en présentiez qu' à distance (parce qu'on y capte le langage non verbal, que certains small talks se relèvent hyper intéressants etc).
Et je trouve aussi un peu dommage de se couper des relations sociales quand bien même elles seraient déplaisantes (je ne parle ici pas des relations de violence au travail bien entendu). Le taf c'est aussi une manière de dialoguer avec des personnes en dehors de sa bulle filtrante, c'est potentiellement l'émulation liée à la diversité des profils, des personnalités. Bref, je trouve ça compréhensible mais presque dommage ce repli sur soi qui limite les relations avec des personnes qui nous sont très différentes, parfois désagréables certes mais c'est aussi ça la force de l'expérience, la richesse de rencontrer de nouvelles personnes etc.
Je comprends les réticences à retourner au bureau. Evidemment, pour certains, le télétravail a été une solution plus que plaisante. Pas seulement pour le temps de trajet mais aussi pour le confort.
Personnellement, je suis ravie de retourner au bureau. Je déteste le télétravail. Et le fait que certains ne veulent pas revenir dégradent légèrement mon retour au travail, notamment dans mes équipes. J'ai perdu depuis mars 2020 ce qui me faisait aussi apprécier mon taf: les rapports interpersonnels, les réunions qui sont bien plus intéressantes en présentiez qu' à distance (parce qu'on y capte le langage non verbal, que certains small talks se relèvent hyper intéressants etc).
Et je trouve aussi un peu dommage de se couper des relations sociales quand bien même elles seraient déplaisantes (je ne parle ici pas des relations de violence au travail bien entendu). Le taf c'est aussi une manière de dialoguer avec des personnes en dehors de sa bulle filtrante, c'est potentiellement l'émulation liée à la diversité des profils, des personnalités. Bref, je trouve ça compréhensible mais presque dommage ce repli sur soi qui limite les relations avec des personnes qui nous sont très différentes, parfois désagréables certes mais c'est aussi ça la force de l'expérience, la richesse de rencontrer de nouvelles personnes etc.
Team hyper malheureuse de retourner au bureau pour ma part...
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Je suis TELLEMENT contente mon job ne m'impose pas de revenir au bureau (d'ailleurs c'est peut-être spécifique à l'Allemagne mais la grande majorité des gens que je connais qui font un travail de bureau ne sont jamais retournés en présentiel depuis l'an dernier, et c'est pas du tout encouragé).
Au début j'étais un peu sceptique, je fais un boulot un peu débile donc les interactions avec les collègues c'était un peu le seul intérêt du job (d'ailleurs je suis devenue beaucoup plus productive quand j'ai plus eu mes collègues à qui raconter ma vie toute la journée
). Et puis en janvier j'ai du m'y mettre, je m'ennuyais comme un rat mort le premier mois, parce que j'étais en mode bureau 8h par jour et que j'avais pas capté qu'étant chez moi, je pouvais faire ma vie en fait. Finalement ca fait 8 mois et pour rien au monde je ne retourne au bureau.
Devoir me lever une heure plus tôt, m'habiller, me coiffer (bon c'est parce qu'on bosse pas en visio ca), avoir pris le petit-dej et brossé les dents avant de partir (clairement je fais tout ca pendant que je travaille...
), passer ma journée au milieu d'un open-space de 600 personnes (oui oui), devoir penser à ce que je vais manger le midi, devoir faire du présenteisme jusqu'à 18h même si j'ai fini ce que j'avais à faire, purée mais aucune envie
Après j'imagine que c'est différent quand on fait un job qu'on apprécie, qui a du sens, et qui nécessite qu'on communique avec ses collègues, moi j'ai aucun des trois.
(présentement en train de vous écrire depuis le fond de mon lit où je prends ma pause)
Au début j'étais un peu sceptique, je fais un boulot un peu débile donc les interactions avec les collègues c'était un peu le seul intérêt du job (d'ailleurs je suis devenue beaucoup plus productive quand j'ai plus eu mes collègues à qui raconter ma vie toute la journée
). Et puis en janvier j'ai du m'y mettre, je m'ennuyais comme un rat mort le premier mois, parce que j'étais en mode bureau 8h par jour et que j'avais pas capté qu'étant chez moi, je pouvais faire ma vie en fait. Finalement ca fait 8 mois et pour rien au monde je ne retourne au bureau.Devoir me lever une heure plus tôt, m'habiller, me coiffer (bon c'est parce qu'on bosse pas en visio ca), avoir pris le petit-dej et brossé les dents avant de partir (clairement je fais tout ca pendant que je travaille...
), passer ma journée au milieu d'un open-space de 600 personnes (oui oui), devoir penser à ce que je vais manger le midi, devoir faire du présenteisme jusqu'à 18h même si j'ai fini ce que j'avais à faire, purée mais aucune envie Après j'imagine que c'est différent quand on fait un job qu'on apprécie, qui a du sens, et qui nécessite qu'on communique avec ses collègues, moi j'ai aucun des trois.
(présentement en train de vous écrire depuis le fond de mon lit où je prends ma pause
)
@BravoCharlie je crois comprendre ce que tu dis, je nuancerais cependant en disant que les personnes avec qui l'on travaille, si ce sont toujours les mêmes, finissent par former elles aussi une sorte de bulle sociale filtrante. Autant, dans un métier où on rencontre des gens tous les jours, je comprends cette idée d'ouverture. Dans un boulot où on côtoie les mêmes collègues tout le temps, c'est une autre affaire. Perso, je suis ravie de voir mes collègues ou mes clients de temps à autres, même en dehors des réunions (qui sont effectivement souvent plus vivantes en physique qu'en visio !), de parler de sujets qui ne m'intéressent pas forcément, comme tu dis ça me fait voir un peu autre chose ; en revanche, dans les missions où j'étais 100% du temps sur place, au bout de quelques mois je dépérissais littéralement, ce quotidien était devenu aliénant même si j'avais de bons rapports avec mes clients, et pareil avec mes collègues du cabinet. Quand on passe la majeure partie de sa vie hors sommeil au bureau, ça joue un rôle prépondérant ! Après, je pense qu'il n'y avait pas que les relations, mais aussi l'environnement lui-même. Pour moi, c'est ça qui joue le plus en faveur du télétravail.
Dernière édition :
M
Membre supprimé 338449
Guest
Je suis team encore en télétravail à 100% mais qui aimerait retourner un peu en présentiel. Mais pour mon entreprise pour l'instant, le système 100% télétravail va très bien surtout quand il y a beaucoup de boulot (pour éviter de mettre un 2*7) des travaux dans la rue et que peu de personne peuvent se garer dans la dite rue.
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@LightBlue : Je me retrouve totalement dans ton message.
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(ne pas citer)
KtyKonéko
adulte à temps partiel & autrice de fanfiction
Je suis personnel administratif dans une université.
Au tout début du confinement, j'ai eu beaucoup de mal avec le télétravail.
J'avais ramené mes dossiers sur un disque dur et je bossais sur mon ordi personnel, pas du tout adapté, lent lent lent pour ouvrir-enregistrer mes dossiers, sur un petit bureau d'écolier, pas adapté non plus. Je me sentais prise au piège avec l'impression de ne pas accomplir mes taches correctement... gros sentiment d'impuissance et de culpabilité...
J'ai fait partie de toutes ces personnes qui n'ont jamais cessé de travailler, mais dans l'ombre, invisibles, enfermées dans leurs appartements.
Et puis mon employeur m'a fourni le bon matériel : ordi portable, écran et imprimante. De mon coté, j'ai sacrifié une partie de mon budget vacance pour investir dans un bureau confortable...
le mois ont passés, j'ai pris mes marques.
le travail a repris en présentiel pour toustes, excepté les personnes immunodéprimé·es .
J'ai obtenu un télétravail 2 jours par semaine et ça me conviens bien. Mes conditions de travail en présentiel sont bonnes, je ne suis pas en open space... mais la collectivité me fatigue. D'autant plus qu'il y a eu quelques conflits... et ça aussi, ça me fatigue.
Ça fait moins de bus, moins de repas à préparer la veille...
et les visio, c'est pas si mal, quand le sujet est sans intérêt, mais obligatoire, ou que cela se déroule dans un amphi plein, où on est mal assises, ça me permet de tchatter avec ma meilleure collègue...
Au tout début du confinement, j'ai eu beaucoup de mal avec le télétravail.
J'avais ramené mes dossiers sur un disque dur et je bossais sur mon ordi personnel, pas du tout adapté, lent lent lent pour ouvrir-enregistrer mes dossiers, sur un petit bureau d'écolier, pas adapté non plus. Je me sentais prise au piège avec l'impression de ne pas accomplir mes taches correctement... gros sentiment d'impuissance et de culpabilité...
J'ai fait partie de toutes ces personnes qui n'ont jamais cessé de travailler, mais dans l'ombre, invisibles, enfermées dans leurs appartements.
Et puis mon employeur m'a fourni le bon matériel : ordi portable, écran et imprimante. De mon coté, j'ai sacrifié une partie de mon budget vacance pour investir dans un bureau confortable...
le mois ont passés, j'ai pris mes marques.
le travail a repris en présentiel pour toustes, excepté les personnes immunodéprimé·es .
J'ai obtenu un télétravail 2 jours par semaine et ça me conviens bien. Mes conditions de travail en présentiel sont bonnes, je ne suis pas en open space... mais la collectivité me fatigue. D'autant plus qu'il y a eu quelques conflits... et ça aussi, ça me fatigue.
Ça fait moins de bus, moins de repas à préparer la veille...
et les visio, c'est pas si mal, quand le sujet est sans intérêt, mais obligatoire, ou que cela se déroule dans un amphi plein, où on est mal assises, ça me permet de tchatter avec ma meilleure collègue...
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