On verra ce que dit l'enquête de la DCSP. C'est bien qu'il y ait enquête mais une nouvelle fois, combien de témoignages a-t-il fallu ? Combien de remises en cause des paroles des victimes avant qu'elles soient entendues ? Si le hashtag n'était pas sorti, Darmanin en serait resté au communiqué du préfet de l'Hérault. C'est triste qu'on en soit encore là alors qu'on en parle depuis des années du problème de l'accueil dans les commissariats et du manque de formation des policier·es et gendarmes pour recueillir la parole des victimes.