@Gwen ap Fiàmh Ah tiens moi je le voyais à l'inverse : le client qui exige que tu le frappes mais se plaint ensuite que y a une marque (Bah oui mais tu m'as demandé de taper plus fort.... Forcément y a moyen que ça laisse un bleu....) ou les coups dans les couilles c'est particulier. Là ça parle de vider une bassine avec une cuillère percée, de s'emballer dans du cellophane ou de piétiner une personne on est pas tout à fait sur le même level.
Est-ce que 1, en tant que domina je suis ok pour donner un coup pareil alors que ça me semble justement peu maîtrisable et que le risque d'entrainer des dégâts à longs termes est important 2, mec je vais pas acheter des Louboutins juste pour toi ou je vais pas changer de godasses 3 fois dans la séance juste pour que tu puisses comparer la sensation entre des crocs et des talons aiguilles.
Les client·es arrivent parfois avec des fantasmes qui ne sont pas réalisables. Comme quand tu t'imagines que ce serait super stylé et sexy de ken sous la douche sauf que tu te rends compte qu'en vrai c'est étroit, le carrelage est glacé, le robinet est brûlant, l'eau empêche une bonne lubrification et personne n'est assez souple et gainé pour que ce soit confortable et efficace.
EDIT : On parle de travail du sexe, les personnes qui te payent te font une liste de leurs attentes, c'est une prestation de service donc oui il faut que ça colle à peu près avec ce que veut le client et ce que toi tu es en capacité de proposer. Si tu dépasses les limites les clients ne reviendront pas ce qui est ballot pour tes affaires mais surtout.... Ben les TDS sont des champion·nes du consentement et sont souvent hyper attentif·ves à ce que les termes du contrat soient clairs avant de passer à la suite. Si une clause est foireuse on annule.