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Balmain rhabille Barbie pour « déconstruire les genres » (avec des NFT) (oui c’est confus)
Balmain rhabille Barbie pour « déconstruire les genres » (avec des NFT) (oui c’est confus)
Balmain rhabille Barbie pour « déconstruire les genres » (avec des NFT) (oui c’est confus)
- Initiateur de la discussion Anthony Vincent
- Date de début
Il y a des idées intéressantes mais alors le NFT rien compris...c'est quoi l'intérêt ?? 
Le cancer des NFT gagne du terrain dit donc.
Se faire du fric je croisIl y a des idées intéressantes mais alors le NFT rien compris...c'est quoi l'intérêt ??
@Ariel du Pays Imaginaire c'est un moyen de conférer une individualité, une unicité, à un objet virtuel a priori réplicable à l'infini, et donc de lui donner une valeur marchande. Un peu comme une édition originale numérotée ou une affiche imprimée signée par l'artiste.
Edit : Je suis encore perplexe sur l'application des NFT au domaine du vêtement, et à vrai dire sur les vêtements virtuels en général. Que l'image envoyée à distance, via des réseaux sociaux par exemple, prenne une importance sur celle émise dans son environnement physique au quotidien, me semble le signe d'une déconnexion complète de l'objet matériel (vêtement comme objet), mais aussi du corps (vs la chair pour parler phénoménologue - le vêtement comme lieu d'articulation entre la chair et le corps, comme frontière, comme constituant du corps socialisé). Je vois ça de l'extérieur et je me sens paumée par rapport à la génération qui en est principalement cliente. Je ne sais pas si c'est bien ou mal, à part que la perception du vêtement dans sa matérialité est cruciale de mon point de vue et manque cruellement dans notre société actuelle, mais à la limite, déconnecter image modelable à l'infini et objet physique via une représentation purement visuelle / virtualisée, n'est-ce pas une autre porte de sortie à l'emballement de surconsommation mal éclairée qui découle de cette lacune ?
Edit : Je suis encore perplexe sur l'application des NFT au domaine du vêtement, et à vrai dire sur les vêtements virtuels en général. Que l'image envoyée à distance, via des réseaux sociaux par exemple, prenne une importance sur celle émise dans son environnement physique au quotidien, me semble le signe d'une déconnexion complète de l'objet matériel (vêtement comme objet), mais aussi du corps (vs la chair pour parler phénoménologue - le vêtement comme lieu d'articulation entre la chair et le corps, comme frontière, comme constituant du corps socialisé). Je vois ça de l'extérieur et je me sens paumée par rapport à la génération qui en est principalement cliente. Je ne sais pas si c'est bien ou mal, à part que la perception du vêtement dans sa matérialité est cruciale de mon point de vue et manque cruellement dans notre société actuelle, mais à la limite, déconnecter image modelable à l'infini et objet physique via une représentation purement visuelle / virtualisée, n'est-ce pas une autre porte de sortie à l'emballement de surconsommation mal éclairée qui découle de cette lacune ?
Dernière édition :
J'ai rien compris... Ils vendent des vêtements pour des vrais gens et des fichiers avec des vêtements pour poupées ?
