@Heran.
Pour moi, "à la rigueur" est très fort comme mot, il veut vraiment dire "faute de toute autre alternative, si vraiment il n'y a pas le choix". Couplé à l'article sur les punaises de lit en seconde main (de vraies plaies ces bestioles mais pas propres à la seconde main hélas, ceux qui en ont déjà eu par chez moi, c'était par les voyages), j'y voyais un sous-entendu sur l'hygiène de la seconde main.
Pour moi, la seconde main est écolo à condition qu'elle s'inscrive dans une démarche globale de réduction des achats.
Un système où ne cesse de vendre et d'acheter des vêtements en permanence n'est pas écolo, on reste dans l'hyper-consommation, je te rejoins sur ce point.
Par contre, quand j'ai besoin (ou envie, ça arrive, pas taper, j'essaie de maîtriser ça) d'un habit, je vais d'abord voir à la boutique de seconde main si je n'y trouverai pas mon bonheur, plutôt que d'acheter neuf.
D'autant plus qu'avec la dégradation de la qualité observée ces dernières années, des pièces de seconde main durent parfois plus longtemps que des pièces neuves (Big Up à ma veste d'été, 16 étés de port intensif, toujours impeccable)
Le truc aussi, c'est que je ne veux pas acheter de vêtements sur internet. J'aime bien les toucher avant, sentir si le tissus est assez bon et confortable à mon goût, juger de la couleur par rapport à mon teint, ...