Avec l'industrialisation du vêtements, on peut dire que le verre est dans la pomme dès l'origine.
À l'époque où les fringues/chaussures étaient fabriqué à la maison, chez le tailleur, le bottier où... Par la femme de la maison, la consommation de textiles était très limité et très chère dans le budget des foyers. En contre partie, la qualité assuré une durée de vie des vêtements très supérieure à celle que nous connaissons aujourd'hui.
Une marque, aussi "consciente et engagée" Soit-elle, aura toujours pour but de vous vendre quelques chose, sans quoi elle ne survivra pas.
De plus, on a tendance à s'imaginer : marque fabriqué en Europe = point fort. Mais là encore... Même en France, une mécanicienne textiles pour LVMH ne sera qu'une ouvrière au SMIC dans une usine, au prise avec une hiérarchie de cadre et patron souvent masculin... Et si vous parlez de production portugaise (très en vogue en ce moment) dites vous que les conditions là bas repose sur une réalité que nos ultra libéraux d'ici n'ose même plus rêver.
J'espère me tromper, et je serais sincèrement curieuse d'avoir un avis contraire, mais vraiment je pense que Mode = exploitation= pollution. Même avec les meilleurs intentions du monde