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« Au Népal, on pense que la femme qui a ses règles fait mourir des choses vivantes »
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Commentaires sur « Au Népal, on pense que la femme qui a ses règles fait mourir des choses vivantes »
- Initiateur de la discussion Sophie Castelain-Youssouf
- Date de début
M
Membre supprimé 350151
Guest
J'ai trouvé que le style de la lettre ressemblait beaucoup au style des articles, ça m'a troublée.
Je n'ai pas trop compris le passage de l'isolement pendant les règles. Elle ne voyait jamais les femmes de sa famille s'absenter plusieurs jours tous les mois ?
Je veux bien qu'on respecte les us et coutumes de chacun, mais ce sont malheureusement des traditions dangereuses et dégradantes pour les femmes. J'espère que ça va disparaitre.
Je n'ai pas trop compris le passage de l'isolement pendant les règles. Elle ne voyait jamais les femmes de sa famille s'absenter plusieurs jours tous les mois ?
Je veux bien qu'on respecte les us et coutumes de chacun, mais ce sont malheureusement des traditions dangereuses et dégradantes pour les femmes. J'espère que ça va disparaitre.
Très bel écrit. A la fois intéressant et terrifiant. Je ne connaissais pas du tout cette réalité du Népal et c'est terrible comme l'ignorance et l'obscurantisme peut amener des personnes a faire courir de grave dangers à leur petites filles et à leurs femmes.
Petite question je n'ai pas bien compris s'il s'agissait d'un vrai témoignage ou bien si la narratrice était un personnage fictif (le crédit à la fin de l'article me fait penser que c'est mymy qui en est l'autrice?).
Merci énorment pour cet article, j'ai hâte de lire les trois autres lettres.
Petite question je n'ai pas bien compris s'il s'agissait d'un vrai témoignage ou bien si la narratrice était un personnage fictif (le crédit à la fin de l'article me fait penser que c'est mymy qui en est l'autrice?).
Merci énorment pour cet article, j'ai hâte de lire les trois autres lettres.
@Nudo, je doute que ce soit une "vraie" lettre, parce que le ton sonne très didactique et un peu "promotionnel" avec toutes les références à l'ONG Plan International et ses actions (qui sponsorise l'article au demeurant). Je me demande si c'est pas plutôt une lettre écrite par des membres de l'ONG à partir de plusieurs témoignages, auquel cas, Parbati ne serait pas un personnage fictif, mais plutôt une sorte de figure composite qui intégrerait les expériences de diverses jeunes filles rencontrées sur le terrain.
M
Membre supprimé 350151
Guest
Vu comment c'est rédigé, ça me semble être une fiction. Ca ne sonne pas très naturel, ça ressemble beaucoup trop au style des articles que j'ai pu lire et ça insiste bien trop sur une association en particulier.
M
Membre supprimé 361255
Guest
@Pipistrelle. Je suis d accord avec toi pour moi ce n'est pas une vraie lettre , c est plutôt adressée à une ONG
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M
Membre supprimé 146616
Guest
L'ONG Plan a déjà fait du marketing problématique (je pense au faux blog "mon école pour Lina"). Il y a peu de chances pour que ce soit une vraie lettre.
Dernière modification par un modérateur :
M
Membre supprimé 350151
Guest
Je me doutais que ce n'était pas une vraie lettre mais là, je suis choquée que madmoizelle face la pub d'une ONG aussi problématique.
Mais bien évidemment, pas un mot ou commentaire ne nous sera adressé. Comme d'habitude.
Bonjour @Nienke @lafeemandarine @Guerrière-75 @Morgana Talbot @Pipistrelle.
Merci beaucoup pour vos retours, nous avons corrigé et explicité le côté fictionnel de "4 filles et une culotte tachée" dans notre article. C'est en effet un podcast écrit avec l'aide de nombreux témoignages récoltés par l'ONG Plan International
J'étais assez perplexe à la lecture également ce matin mais je vois que le flou a été levé depuis.
Pour les personnes qui seraient intéressées par ce sujet dans cette partie du globe, il y a un documentaire d'une demie heure (dispo sur Netflix, il me semble
) qui se nomme "Period. End of sentence" ("Les règles de notre liberté" en VF apparemment) qui aborde le tabou des règles en Inde et l'ostracisation qui en découle.
Sinon, autre manière d'aborder ce thème, le film indien "Padman" (également dispo sur Netflix, je crois ) qui s'inspire d'une histoire réelle et qui est excellent (et pas du tout mélodramatique). Ce podcast parle également du film dans leurs tout premiers épisodes.
Pour les personnes qui seraient intéressées par ce sujet dans cette partie du globe, il y a un documentaire d'une demie heure (dispo sur Netflix, il me semble
) qui se nomme "Period. End of sentence" ("Les règles de notre liberté" en VF apparemment) qui aborde le tabou des règles en Inde et l'ostracisation qui en découle.Sinon, autre manière d'aborder ce thème, le film indien "Padman" (également dispo sur Netflix, je crois
) qui s'inspire d'une histoire réelle et qui est excellent (et pas du tout mélodramatique). Ce podcast parle également du film dans leurs tout premiers épisodes.
Quelle chance d'avoir eu le SOPK, donc rarement mes règles, puis une ménopause précoce malgré mes 3 enfants et un petit cancer de l'endométre heureusement opéré et guéri, car en fait si j'ai passé 10 boîtes de tpx et 5 de nana en 25 ans c'est beaucoup...
Après c'est une réalité. Ma grand-mère devait dormir par terre quand elle avait ses règles au Maroc. Mon autre grand-mère en Yougoslavie faisait dormir mon grand-père par terre.
Après c'est une réalité. Ma grand-mère devait dormir par terre quand elle avait ses règles au Maroc. Mon autre grand-mère en Yougoslavie faisait dormir mon grand-père par terre.
