Alors autant je comprendrais pourquoi les personnes trans auraient moins accès aux soins pour cause de préjugés, violence médicale etc, mais alors les bi... Surtout en anglais où "my partner" est non genré, le médecin a encore plus de mal à savoir avec qui ils couchent.
De plus je croyais que les covids longs étaient la faute à pas de chance: on a le covid, on a des symptômes, ça passe en 15 jours, c'est cool ou alors ça ne passe pas et le médecin diagnostique un covid long et à partir de ce moment là il y a des traitements proposés. Il faut donc attendre le diagnostic de covid long pour avoir accès aux traitements, l'absence de suivi médical avant ce diagnostic ne change rien.
Mais ça c'est mon expérience personnelle des cas covid de mon entourage, si ça se trouve ils n'ont pas été pris en charge comme aux USA.
Par contre cette phrase me semble un peu foireuse "L’orientation sexuelle ou l’identité de genre ne sont évidemment pas des facteurs qui prédisposeraient au Covid". Ca on est d'accord si on parle juste de l'infection au covid, à priori tout le monde va le chopper sur cette planète à un moment ou un autre. Par contre si la phrase sous entend que l'orientation sexuelle ou l'identité de genre ne sont évidemment pas des facteurs prédisposant à faire un covid long, ben ça je ne suis pas sure qu'on sache l'infirmer ou le confirmer. Si l'orientation sexuelle a une composante génétique, même toute relative et si le covid long est du à ces mêmes gènes, ça pourrait expliquer ces résultats.