Malheureusement, c'est assez peu transposable au réchauffement climatique.
Si le protocole de Montréal a bien fonctionné, c'est surtout parce que le problème se limitait a quelques gaz et quelques industriels (et que des alternatives existaient). Si une de ces conditions n'était pas remplie, pas sûre que la couche d'ozone irait aussi "bien" aujourd'hui... Faut aussi dire qu'on connaissait les dangers des CFC sur la couche d'ozone depuis les années 70 et qu'il a fallu attendre qu'on découvre le trou pour agir.
Le problème du réchauffement climatique est beaucoup plus complexe et nécessite de tout remettre en cause, il y a pas quelques mesures relativement simples à mettre en place pour contrer un effet qu'on peut mesurer facilement.
Et je comprends pas le titre de l'article, s'il faut encore 40 ans pour refermer le trou, j'appelle pas ça "presque" disparu