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Chronique d’une daronne : Je ne suis pas copine avec les mères de l’école (j’assume)
Chronique d’une daronne : Je ne suis pas copine avec les mères de l’école (j’assume)
Commentaires sur Chronique d’une daronne : Je ne suis pas copine avec les mères de l’école (j’assume)
- Initiateur de la discussion Candice Satara
- Date de début
Franchement on s'en fiche ça n'a rien d'anormal...depuis quand il faudrait être ami avec les gens sans raison? Si y a pas d'atomes crochus y en a pas et puis voilà...pourquoi en faire tout un plat? J'ai traversé le lycée quasiment sans amis bon bah c'est la vie... j'en ai eu quelque uns à la fac c'était différent...on peut pas trouver des amis partout et c'est en ça que l'amitié est une chose rare.
Je te plussoie @LamaGras . Il n'y a aucune obligation à copiner avec des inconnu.es. Au parc, je n'engage pas la conversation avec les autres mères.
Je me reconnais totalement dans cet article ! je suis pareille
je ne comprend comment elles font toutes pour se connaître je les vois discuter entre elles, rigoler parler des projets de l'école....
Elles ont le temps quand? moi je depose l'enfant je vais bosser je rentre je recupere l'enfant et ça recommence....
spéciale dédicace aux réunions de parents d'élève 'au café d'en face à 09h30"... heu ??? mais j'ai un travail moi !!
lol
je ne comprend comment elles font toutes pour se connaître je les vois discuter entre elles, rigoler parler des projets de l'école....
Elles ont le temps quand? moi je depose l'enfant je vais bosser je rentre je recupere l'enfant et ça recommence....
spéciale dédicace aux réunions de parents d'élève 'au café d'en face à 09h30"... heu ??? mais j'ai un travail moi !!
lol
il n'y a rien d'anormal à ne pas être amie avec les autres mères de famille,
je n'ai pas d'enfants, mais je suis asociale, alors si un jour je suis maman, je ne me sentirais surtout pas obligée de faire amie-amie avec les autres mamans hein, et puis en général les mamans déposent leurs enfants et vont travailler et en sortant du travail récuperent leurs enfants et rentrent à la maison, donc ou trouvent elles le temps de papoter et de copiner? à moins qu'elles soient maman au foyer, et ca c'est une autre histoire!!
je n'ai pas d'enfants, mais je suis asociale, alors si un jour je suis maman, je ne me sentirais surtout pas obligée de faire amie-amie avec les autres mamans hein, et puis en général les mamans déposent leurs enfants et vont travailler et en sortant du travail récuperent leurs enfants et rentrent à la maison, donc ou trouvent elles le temps de papoter et de copiner? à moins qu'elles soient maman au foyer, et ca c'est une autre histoire!!
J'ai vraiment l'impression qu'il y a une différence nette entre les mères qui n'ont pas d'activité professionnelle (et donc ont le temps de s'investir dans la vie de l'école, les projets, les amitiés entre mères etc) et celles qui en ont une, et qui donc sont un peu exclues d'office. Je trouve ça dommage parce que ça crée une sorte de phénomène de "cool kids" que j'aurais volontiers laissé à l'époque du collège 
entre celles qui sont acceptées parce qu'elles ont le temps de s'investir, et les autres.
entre celles qui sont acceptées parce qu'elles ont le temps de s'investir, et les autres.
Je trouve qu'il y a un monde entre "faire des amis profonds" et "sourire ou dire bonjour à quelqu'un qu'on a déjà croisé." Je classe plus le second dans la catégorie "politesse".
Après je crois que ça dépend pas mal des villes ; dans certaines grandes villes (type Paris) tout le monde est ultra-pressé, se snobe et/ou se juge, personne ne se dit bonjour (oskour, je suis plus polie que 99% des commerçants parisiens
...).
Il y a d'autres endroits où tout le monde se dit bonjour (à minima).
Je pense que si j'étais la personne qui connaissait la témoignante, la croisait dans la rue, si je vois qu'elle me voit et qu'elle regarde ailleurs ou passe sur le trottoir d'en face ou m'évite, ça me blesserait un peu ... (alors bien sûr personne n'a l'obligation de sociabiliser avec personne, mais de là à snober??). Je pense aussi que le témoignage exagère volontairement là-dessus pour faire un côté comique '^^.
(Bon après un échange random avec un inconnu peut faire ma journée - une petite mamie qui me demande son chemin ou de l'aide dans la rue, un sourire complice échangé avec une personne inconnue parce qu'on a vu le même truc qui nous a fait rire, une discussion passionnante avec le voisin dans le train, ...)
Après je crois que ça dépend pas mal des villes ; dans certaines grandes villes (type Paris) tout le monde est ultra-pressé, se snobe et/ou se juge, personne ne se dit bonjour (oskour, je suis plus polie que 99% des commerçants parisiens
...).Il y a d'autres endroits où tout le monde se dit bonjour (à minima).
Je pense que si j'étais la personne qui connaissait la témoignante, la croisait dans la rue, si je vois qu'elle me voit et qu'elle regarde ailleurs ou passe sur le trottoir d'en face ou m'évite, ça me blesserait un peu ... (alors bien sûr personne n'a l'obligation de sociabiliser avec personne, mais de là à snober??). Je pense aussi que le témoignage exagère volontairement là-dessus pour faire un côté comique '^^.
(Bon après un échange random avec un inconnu peut faire ma journée - une petite mamie qui me demande son chemin ou de l'aide dans la rue, un sourire complice échangé avec une personne inconnue parce qu'on a vu le même truc qui nous a fait rire, une discussion passionnante avec le voisin dans le train, ...)
J'aurais tellement pu écrire cet article !! La seule différence que j'ai avec l'autrice est que je n'ai pas un poste à responsabilité !
@Aichathegypsy : du coup si tu ne parles pas aux autres parents, tu fais quoi pendant ce temps ? Tu ne t'ennuies pas ? (Question sincère, sans agressivité).
@Ciredutemps , Je t'assure que ce qui est raconté dans l'article est tout à fait plausible, malheureusement pour les mères asociales comme moi !!
Tu dois être trop sociable pour te rendre compte que la rencontre de nouvelles personnes peut être un pur stress, et quand il s'agit de personnes ayant un lien éventuel avec notre ou nos enfants, ça peut être un cauchemar pour s'en sortir convenablement et surtout que notre enfant n'en pâtisse pas !
Me fille termine le collège et entre en seconde dans quelques mois. S'il faut retenir des mauvais moments dans l'éducation de ma fille, ce sera ses otites à répétition durant lesquelles je la voyais souffrir, et ces p*** de sortie d'ecole !!
@Aichathegypsy : du coup si tu ne parles pas aux autres parents, tu fais quoi pendant ce temps ? Tu ne t'ennuies pas ? (Question sincère, sans agressivité).
@Ciredutemps , Je t'assure que ce qui est raconté dans l'article est tout à fait plausible, malheureusement pour les mères asociales comme moi !!
Tu dois être trop sociable pour te rendre compte que la rencontre de nouvelles personnes peut être un pur stress, et quand il s'agit de personnes ayant un lien éventuel avec notre ou nos enfants, ça peut être un cauchemar pour s'en sortir convenablement et surtout que notre enfant n'en pâtisse pas !
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@LavraiLilith , Je lis, j'écoute des podcasts tout en surveillant mon fils. Je répond lorsque l'on me salue mais ça s'arrête là.
@blobette
@alice-louve
Ce n'est pas juste une question de bosser ou pas, ici nous sommes toujours grosse modo la même brochette de parents à rester dehors longtemps pour que les enfants jouent et parmi ces gens les parents au foyer sont très minoritaires (la vie est très chère ici et les aides très réduites). Il y a dans le lot des gens qui bossent en horaires irréguliers, avec par exemple pas mal de nuits ou des horaires qui commencent très très tôt (3h ou 4h du matin ), ce n'est pas spécialement rare, chauffeurs de bus, employés d'aéroport, employés de la santé etc.
Il y a des enseignants du secondaire qui peuvent finir tôt certains jours, il y a des enseignants du primaire en temps partiel et plein d'autres métiers en temps partiel.
A la sortie à 16h on voit quand-même beaucoup d'enfants partir avec qqn (parents, grands parents, nounou au autres) et donc ne pas rester sous la responsabilité de l'école, je me demande toujours pourquoi ils rentrent aussi vite parce que les miens sont tellement plus faciles dehors !
@alice-louve
Ce n'est pas juste une question de bosser ou pas, ici nous sommes toujours grosse modo la même brochette de parents à rester dehors longtemps pour que les enfants jouent et parmi ces gens les parents au foyer sont très minoritaires (la vie est très chère ici et les aides très réduites). Il y a dans le lot des gens qui bossent en horaires irréguliers, avec par exemple pas mal de nuits ou des horaires qui commencent très très tôt (3h ou 4h du matin ), ce n'est pas spécialement rare, chauffeurs de bus, employés d'aéroport, employés de la santé etc.
Il y a des enseignants du secondaire qui peuvent finir tôt certains jours, il y a des enseignants du primaire en temps partiel et plein d'autres métiers en temps partiel.
A la sortie à 16h on voit quand-même beaucoup d'enfants partir avec qqn (parents, grands parents, nounou au autres) et donc ne pas rester sous la responsabilité de l'école, je me demande toujours pourquoi ils rentrent aussi vite parce que les miens sont tellement plus faciles dehors !
Parfois ce sont les enfants qui "provoquent" les amitiés. Si l'ami de ton enfant lui propose de venir faire les devoir à la maison ou goûter chez lui, il faut bien que t'intéragisses avec la mère (ou le père) donc au bout d'un moment j'imagine que si ça se répète souvent tu finis par devenir pote avec la mère (sauf si vraiment ça n'accroche pas du tout). Après c'est toi qui invites etc.
En tous cas c'est comme ça que ça se passait en général quand j'étais enfant, ma mère se sentait obligée de sympathiser avec les mères de mes copines. Avec certaines ça marchait et avec d'autres ça restait de la politesse.
De nos jours je ne sais pas comment ça se passe, la technologie a pas mal changé les rapports entre les gens. Autant avant tu disais pas non à discuter avec quelqu'un parce que sinon tu discutais avec personne d'autre, autant de nos jours Netflix et les réseaux sociaux peuvent facilement supplanter n'importe quelle relation.
En tous cas c'est comme ça que ça se passait en général quand j'étais enfant, ma mère se sentait obligée de sympathiser avec les mères de mes copines. Avec certaines ça marchait et avec d'autres ça restait de la politesse.
De nos jours je ne sais pas comment ça se passe, la technologie a pas mal changé les rapports entre les gens. Autant avant tu disais pas non à discuter avec quelqu'un parce que sinon tu discutais avec personne d'autre, autant de nos jours Netflix et les réseaux sociaux peuvent facilement supplanter n'importe quelle relation.
Je parle mal la langue du pays où on vit donc je reste en retrait car ça me complexe et que c’est pas suffisamment important de me faire des potes à l’école pour essayer. J’ai pas trop de souci à me lier avec les gens en général, mais la langue représente un gros frein.
PAR CONTRE, selon moi, la question c’est plus de s’intégrer selon les “exigences tacites” pour que ça n'impacte pas l’enfant. On attend des parents une certaine implication à l’école, du coup même si je ne connais personne et ne parle a personne en réel, sur le groupe de l’école je n’hésite pas à poster des photos, à liker les message et par ex j’ai orga une collecte pour la maîtresse (qui est vraiment formidable) pour son départ en congé mat. Je sais que du coup je reste “dans les clous sociaux” et évite de stigmatiser ma fille.
PAR CONTRE, selon moi, la question c’est plus de s’intégrer selon les “exigences tacites” pour que ça n'impacte pas l’enfant. On attend des parents une certaine implication à l’école, du coup même si je ne connais personne et ne parle a personne en réel, sur le groupe de l’école je n’hésite pas à poster des photos, à liker les message et par ex j’ai orga une collecte pour la maîtresse (qui est vraiment formidable) pour son départ en congé mat. Je sais que du coup je reste “dans les clous sociaux” et évite de stigmatiser ma fille.
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