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Hypersexualité : J’ai couché à l’excès pour oublier un traumatisme sexuel passé
Hypersexualité : J’ai couché à l’excès pour oublier un traumatisme sexuel passé
Commentaires sur Hypersexualité : J’ai couché à l’excès pour oublier un traumatisme sexuel passé
- Initiateur de la discussion Emilie Chan
- Date de début
Courage à la Mad ! 
Et merci pour ce courageux récit ! Je me suis beaucoup reconnue dans cette histoire même si j’ai eu la réaction opposée : limiter ma vie sexuelle au max pour me protéger et me créer une barrière physique très efficace pour cela aka le vaginisme... Bref c’est vraiment la double peine que ce genre de traumatisme qui marque sur le moment et le temps plus long et vraiment je lui souhaite de tout cœur de bientôt parvenir à totalement tourner la page !
Et merci pour ce courageux récit ! Je me suis beaucoup reconnue dans cette histoire même si j’ai eu la réaction opposée : limiter ma vie sexuelle au max pour me protéger et me créer une barrière physique très efficace pour cela aka le vaginisme... Bref c’est vraiment la double peine que ce genre de traumatisme qui marque sur le moment et le temps plus long et vraiment je lui souhaite de tout cœur de bientôt parvenir à totalement tourner la page !
J'espère que la Madz s'en sortira:
La reconstruction prends du temps, c'est sûre. Les études sur les SPT après les viols sont souvent en anglais et pas accessibles et parfois j'ai pas l'impression que les résultats soient souvent pertinents. Dans une études sur le stress (il me semble), des chercheurs ont trouvé que certaines femmes très nerveuses présentaient les mêmes signe qu'un SPT d'un soldat ayant fait une guerre et ils ont attribué ça à je ne sais plus quelle hormone au lieu d'examiner les causes sociétales : la domination masculine notamment.
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La reconstruction prends du temps, c'est sûre. Les études sur les SPT après les viols sont souvent en anglais et pas accessibles et parfois j'ai pas l'impression que les résultats soient souvent pertinents. Dans une études sur le stress (il me semble), des chercheurs ont trouvé que certaines femmes très nerveuses présentaient les mêmes signe qu'un SPT d'un soldat ayant fait une guerre et ils ont attribué ça à je ne sais plus quelle hormone au lieu d'examiner les causes sociétales : la domination masculine notamment.
@Neverland90
Mon psy m'avait aussi fait le parallèle entre le viol et la guerre, être constamment en état d'hyperviligence donc j'imagine que ça doit être assez documenté.
En tout cas l'article est assez clair et très intéressant. Je comprends bien cette idée de "reprendre le contrôle" pour "ne pas subir la relation".
Après, je me demande aussi s'il n'y a pas une forme de tentative d'insensibilisation à la douleur traumatique en voulant s'exposer encore et encore, en espérant que ça fasse de moins en moins mal...
Cela me fait aussi penser malheureusement à des profils "à risques" que l'on retrouve dans le milieu de la prostitution, à ce que j'ai pu lire...
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Mon psy m'avait aussi fait le parallèle entre le viol et la guerre, être constamment en état d'hyperviligence donc j'imagine que ça doit être assez documenté.
En tout cas l'article est assez clair et très intéressant. Je comprends bien cette idée de "reprendre le contrôle" pour "ne pas subir la relation".
Après, je me demande aussi s'il n'y a pas une forme de tentative d'insensibilisation à la douleur traumatique en voulant s'exposer encore et encore, en espérant que ça fasse de moins en moins mal...
Cela me fait aussi penser malheureusement à des profils "à risques" que l'on retrouve dans le milieu de la prostitution, à ce que j'ai pu lire...
@Manuella.
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@Manuella.
Je pense qu'il ne s'agit pas seulement du nombre de partenaires sexuels mais la façon dont une victime va hypersexualiser toutes ses relations avec le sexe opposé même si techniquement elle n'a pas de relation sexuelle.
Je pense qu'il ne s'agit pas seulement du nombre de partenaires sexuels mais la façon dont une victime va hypersexualiser toutes ses relations avec le sexe opposé même si techniquement elle n'a pas de relation sexuelle.
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