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Help ! Suis-je une « go muscu » qui s’ignore ?
Help ! Suis-je une « go muscu » qui s’ignore ?
Commentaires sur Help ! Suis-je une « go muscu » qui s’ignore ?
- Initiateur de la discussion Charlotte Arce
- Date de début
Merci pour cet article ! Perso ça fait un an (avec des pauses) que je vais à la salle, et j’adore 
Voir les poids que j’arrive à soulever, augmenter la charge, ma vitesse, mon endurance … C’est trop agréable. Je veux bien être une go muscu, j’ai même envie de voir mes muscles se pointer (surtout les abdos, j’les attends impatiemment ceux là)
Sentir mon corps gagner en force, ça me plait
Même les bleus que je m’y fais me plaisent
J’avais aussi des aprioris sur les salles de sport (odeur de sueur / vieilles chaussettes, drague lourde) Mais rien de rien, même que ça sent bon
Voir les poids que j’arrive à soulever, augmenter la charge, ma vitesse, mon endurance … C’est trop agréable. Je veux bien être une go muscu, j’ai même envie de voir mes muscles se pointer (surtout les abdos, j’les attends impatiemment ceux là)
Sentir mon corps gagner en force, ça me plait
Même les bleus que je m’y fais me plaisent
J’avais aussi des aprioris sur les salles de sport (odeur de sueur / vieilles chaussettes, drague lourde) Mais rien de rien, même que ça sent bon
Tellement.Sentir mon corps gagner en force, ça me plait
Une des expériences les plus marquantes de ma vie ça a été de passer ma première traction. « Débloquer » un nouveau mouvement que tu étais incapable de faire avant, c'est je trouve ce qu'il y a de plus gratifiant.
Si Anthony parle comme ça passé 12 ans, Anthony a un léger retard mental et/ou confond Youtube et vraie vie.
Le "Go Muscu", c'est aussi un mec blindé de troubles alimentaires, obsédé par l'idée de peser le moindre gramme ingéré. Moins sexy, du coup. Avec, parfois, une pointe de
dysmorphophobie
je ne traîne pas en salle de muscu mais au dojo. j'en bave ça brûle mais quand le prof te dit que tu t'es améliorée ( et il est avare en compliment) : je me sens prete à casser des briques.
une chose est sure j'aime me réapproprier mon corps chose que font les gens qui vont à la salle. +1 pour les femmes qui investissent des lieux qui a priori ne seraient pas pour elles.
une chose est sure j'aime me réapproprier mon corps chose que font les gens qui vont à la salle. +1 pour les femmes qui investissent des lieux qui a priori ne seraient pas pour elles.
@Rose_Eth Non, le Anthony ne parle pas vraiment comme ça, c'est juste Clémence* qui l'a caricaturé pour des enjeux de dramatisation du témoignage, afin de le rendre un peu plus divertissant.
Mais merci pour le diagnostic de "léger retard mental" validiste au possible, en plus d'être complètement déplacé. Et oui, je m'y connais plutôt bien en trouble d'insatisfaction corporelle, dysmorphophobie, TCA dont l'orthorexie et la bigorexie.
C'est avec ce genre de commentaires qu'on enfonce les gens plus qu'on ne les aide.
Mais merci pour le diagnostic de "léger retard mental" validiste au possible, en plus d'être complètement déplacé. Et oui, je m'y connais plutôt bien en trouble d'insatisfaction corporelle, dysmorphophobie, TCA dont l'orthorexie et la bigorexie.
C'est avec ce genre de commentaires qu'on enfonce les gens plus qu'on ne les aide.
Et du coup, pour la suite de mon message ?
Ça serait bien un petit encadré pour prévenir sur les risques sur la santé / santé mentale que peut engendrer le fait d'être un(e) "Go Muscu".
Derrière les arguments de "bien être", "meilleure version de soi-même", etc. il y a aussi de vrais enjeux sociétaux, une pression. Et je suis persuadée que le mag' est particulièrement vigilant à l'idée de les dénoncer.
https://www.telerama.fr/enfants/inf...influence-dangereuse-sur-les-ados-7015067.php
Bonjour @Rose_Eth,
Je rebondis à votre message puisque c'est moi qui ai édité le témoignage de Clémence*.
Un tel encadré aurait en effet eu toute sa place si le rapport de Clémence au sport, et en particulier à la musculation, était problématique. Je mets d'ailleurs toujours un point d'honneur à apporter des éléments ressources sur les témoignages en lien avec la santé, voire quand cela est nécessaire en complétant avec l'interview d'un.e spécialiste.
Or, ici, malgré l'interrogation présente dans le titre du témoignage, Clémence ne se considère pas comme une "go muscu" et n'a pas de rapport addictif au sport. Je la cite :
« Je vais à la salle de sport tous les dimanches matins, et je commence généralement par m’échauffer 30 minutes sur le vélo elliptique avant de passer aux exercices de musculation qui s’accordent avec mon humeur du jour, pendant une petite heure. Loin de la championne d’haltérophilie, je n’ai pas d’objectifs autres que la régularité, je ne prends pas de compléments alimentaires, ne gobe pas cinq œufs crus au petit déjeuner et n’enregistre mes exploits sur aucun support. »
Sur ce, bonne journée !
Oui, c'est exactement cela que je pointe du doigt
J'aurai aimé que le mag' dépasse le témoignage pour aborder le registre de la prévention. Et non se "contenter" d'une parole, fort intéressante au demeurant.
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