Comme l'ont habilement noté certaines d'entre vous plus haut, ce papier est effectivement un témoignage fictif, utopique et sublimé.
C'est le ton 1er avril qu'il faut y déceler : le papier n'a pas la prétention de réellement vous dévoiler l'envers du décor d'une maison de retraite, pour la simple et unique raison que je n'ai jamais mis les pieds dans une maison de repos de ma vie.
Si j'avais voulu vous faire part d'un reportage sérieux sur ces endroits, je me serais rendue sur place, je vous aurais rapporté le plus fidèlement possible ce que j'y ai observé, et surtout : je ne l'aurais pas fait dans le cadre très déconneur du 1er avril.
Et puis, voyez ça comme une touche de positivité, en clin d'oeil au texte beaucoup plus sombre de Jacqueline Parquet. De la même manière qu'il y a mille et une façon de vivre sa jeunesse, il y a mille et une façon d'envisager sa vie de personne mûre :small:
PS : par contre, pour les fautes d'orthographe, J'AI HONTE. Mamie Laystary devrait réviser son Bescherelle en même temps que ses petits enfants, au lieu d'écrire avec un petit coup dans le nez - oh comme Mamie Laystary tient beaucoup moins le cognac qu'avant !